La suite de l'Histoire RCF - page 3
Véronique Alzieu propose aux auditeurs de découvrir l’Histoire sous la forme d’un feuilleton quotidien. Des origines de l’Homme à la période contemporaine, elle dévoile et décrypte tous les jours en début d’après-midi, avec enthousiasme et curiosité, un nouveau chapitre. Une émission à retrouver en format long chaque dimanche.
Episodes
Le 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).
Droits image: Avril 1871, coin de la place de l'Hôtel de Ville et de la rue de Rivoli ©Wikimédia commonsLe 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).
Droits image: Barricade située à l'angle des boulevards Voltaire et Richard-Lenoir ©Wikimédia commonsLe 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).
Droits image: La barricade de la place Blanche défendue par des femmes, lithographie d'Hector Moloch ©Wikimédia commonsLe 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).
Droits image: Chute de la colonne Vendôme (photographie de Franck) ©Wikimédia commonsLe 22 avril dernier, l'Église catholique a béatifié cinq prêtres assassinés pendant la Commune de Paris. Une période insurrectionnelle de 71 jours qui est aujourd'hui encore une référence historique pour les mouvements de gauche. Pour l'historienne Claire L'Hoër, c'est même un mouvement "qui a été très instrumentalisé par les partis politiques". Elle est l'auteure avec Alain Frerejean du livre "Le siège et la Commune de Paris - Acteurs et témoins racontent, 1870-1871" (éd. de l’Archipel, 2020).
Droits image: Les gardes nationaux du Comité Central remontant à leur parc, les canons de Montmartre le 18 mars 1871 ©Wikimédia commonsAux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).
Droits image: ©FreepikAux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).
Droits image: ©FreepikAux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).
Droits image: ©FreepikAux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).
Droits image: ©FreepikAux frontons des écoles publiques anciennes, il est fréquent de lire encore aujourd'hui "École de filles" ou "École de garçons" : ces inscriptions nous rappellent que la mixité dans l'éducation est un phénomène récent. Si elle nous semble une évidence aujourd'hui, la mixité était impensable pendant longtemps ! Elle ne s'est généralisée qu'au XXe siècle. Et cela fait peu de temps que les historiens l'étudient. Parmi eux, Geneviève Pezeu, historienne spécialiste en sciences de l'éducation, auteure du livre "Des filles chez les garçons - L’apprentissage de la mixité" (éd. Vendémiaire, 2020).
Droits image: ©FreepikUn anneau à l'oreille, une jambe en bois et un perroquet à l'épaule : il n'en faut pas plus pour décrire un pirate. Une figure apparue dans la littérature au XIXe siècle, notamment dans le roman de Stevenson, "L'île aux trésors". Au-delà de l'imaginaire littéraire, la piraterie tient une place très sérieuse dans les études historiques. Pour parler corsaires et épopées maritimes, Véronique Alzieu accueille Pierre Prétou, maître de conférences en histoire du Moyen Âge à l'université de La Rochelle et auteur de "L'invention de la piraterie en France au Moyen Âge" (éd. PUF, 2021).
Droits image: ©Photo de Raimond Klavins sur UnsplashUn anneau à l'oreille, une jambe en bois et un perroquet à l'épaule : il n'en faut pas plus pour décrire un pirate. Une figure apparue dans la littérature au XIXe siècle, notamment dans le roman de Stevenson, "L'île aux trésors". Au-delà de l'imaginaire littéraire, la piraterie tient une place très sérieuse dans les études historiques. Pour parler corsaires et épopées maritimes, Véronique Alzieu accueille Pierre Prétou, maître de conférences en histoire du Moyen Âge à l'université de La Rochelle et auteur de "L'invention de la piraterie en France au Moyen Âge" (éd. PUF, 2021).
Droits image: ©Photo de Elena Theodoridou sur UnsplashUn anneau à l'oreille, une jambe en bois et un perroquet à l'épaule : il n'en faut pas plus pour décrire un pirate. Une figure apparue dans la littérature au XIXe siècle, notamment dans le roman de Stevenson, "L'île aux trésors". Au-delà de l'imaginaire littéraire, la piraterie tient une place très sérieuse dans les études historiques. Pour parler corsaires et épopées maritimes, Véronique Alzieu accueille Pierre Prétou, maître de conférences en histoire du Moyen Âge à l'université de La Rochelle et auteur de "L'invention de la piraterie en France au Moyen Âge" (éd. PUF, 2021).
Droits image: Long John Silver. Illustration de N. C. Wyeth sur une édition de 1911 ©Wikimédia commonsUn anneau à l'oreille, une jambe en bois et un perroquet à l'épaule : il n'en faut pas plus pour décrire un pirate. Une figure apparue dans la littérature au XIXe siècle, notamment dans le roman de Stevenson, "L'île aux trésors". Au-delà de l'imaginaire littéraire, la piraterie tient une place très sérieuse dans les études historiques. Pour parler corsaires et épopées maritimes, Véronique Alzieu accueille Pierre Prétou, maître de conférences en histoire du Moyen Âge à l'université de La Rochelle et auteur de "L'invention de la piraterie en France au Moyen Âge" (éd. PUF, 2021).
Droits image: ©Photo de Markus Spiske sur UnsplashUn anneau à l'oreille, une jambe en bois et un perroquet à l'épaule : il n'en faut pas plus pour décrire un pirate. Une figure apparue dans la littérature au XIXe siècle, notamment dans le roman de Stevenson, "L'île aux trésors". Au-delà de l'imaginaire littéraire, la piraterie tient une place très sérieuse dans les études historiques. Pour parler corsaires et épopées maritimes, Véronique Alzieu accueille Pierre Prétou, maître de conférences en histoire du Moyen Âge à l'université de La Rochelle et auteur de "L'invention de la piraterie en France au Moyen Âge" (éd. PUF, 2021).
Droits image: ©UnsplashPersonnalité hors norme, destin hors norme. Anne de Bretagne a marqué l'histoire de France. Comtesse, duchesse, reine de France, cette femme extraordinaire au caractère batailleur et pugnace fascine sa biographe Claire L'Hoër. Cette historienne est l’auteure de "Anne de Bretagne - Duchesse et reine de France" (éd. Fayard, 2020).
Droits image: Exposition du corps d'Anne de Bretagne dans la grande salle du château de Blois, par le Maître des Entrées parisiennes © Wikimédia commonsPersonnalité hors norme, destin hors norme. Anne de Bretagne a marqué l'histoire de France. Comtesse, duchesse, reine de France, cette femme extraordinaire au caractère batailleur et pugnace fascine sa biographe Claire L'Hoër. Cette historienne est l’auteure de "Anne de Bretagne - Duchesse et reine de France" (éd. Fayard, 2020).
Droits image: Anne de Bretagne recevant d'Antoine Dufour un manuscrit à l'éloge des femmes célèbres. Miniature attribuée à Jean Perréal, vers 1508 ©Wikimédia commonsPersonnalité hors norme, destin hors norme. Anne de Bretagne a marqué l'histoire de France. Comtesse, duchesse, reine de France, cette femme extraordinaire au caractère batailleur et pugnace fascine sa biographe Claire L'Hoër. Cette historienne est l’auteure de "Anne de Bretagne - Duchesse et reine de France" (éd. Fayard, 2020).
Droits image: Anne de Bretagne reine de France, Luigi Rubio ©Wikimédia commonsPersonnalité hors norme, destin hors norme. Anne de Bretagne a marqué l'histoire de France. Comtesse, duchesse, reine de France, cette femme extraordinaire au caractère batailleur et pugnace fascine sa biographe Claire L'Hoër. Cette historienne est l’auteure de "Anne de Bretagne - Duchesse et reine de France" (éd. Fayard, 2020).
Droits image: Second couronnement d'Anne de Bretagne en 1504 à Saint-Denis ©Wikimédia commonsPersonnalité hors norme, destin hors norme. Anne de Bretagne a marqué l'histoire de France. Comtesse, duchesse, reine de France, cette femme extraordinaire au caractère batailleur et pugnace fascine sa biographe Claire L'Hoër. Cette historienne est l’auteure de "Anne de Bretagne - Duchesse et reine de France" (éd. Fayard, 2020).
Droits image: Représentation d'Anne de Bretagne par Jean Bourdichon, ©Wikimédia Commons
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