Le Concert du bout du mois RCF - page 2

Après de nombreuses expériences musicales qui ont rayonné dans un large périmètre autour de l'Ardèche, c'est en duo que Julien Brillon revient, avec un projet complet, au combien onirique et anglophone : Temple.

En compagnie de Yoann Cauvin au clavier, ils nous feront tous deux découvrir le très bel univers aux accents folk de ce projet qui mèle musique et vidéo.

L'occasion pour votre émission de s'intéresser de prêt à ces artistes basés aux Vans, pendant près d'une heure sur les ondes .

Depuis septembre 2015, tous les derniers samedis du mois vibrent aux notes des artistes de nos départements sur RCF Ardèche et sur RCF Drôme, la 7eme saison des « concerts du bout du mois » s'achève avec son traditionnel « Best of », ou l'occasion de retrouver tous les artistes reçus depuis septembre.

De la musique et seulement de la musique avec : le duo Montparnot, la Meute, Epervier, Polaire, Jo Figaro, Rouliette Ruse, Oscar les Vacances et Skrank.

De quoi apprécier à leurs justes valeurs les qualités et le talent de nos artistes locaux.

Et si vous pensiez que nous allions passer un mois de Mai sans respecter l'adage, vous aviez tort !

En effet cette saison encore, on va faire ce qui nous plait en Mai, tout comme les invités de ce concert du bout du mois, qui ont tout juste changé de nom, il nous expliqueront pourquoi notamment dans cette émission avec un projet qui jusqu'alors s'appelait « ambroise », en hommage a Ambroise Croizat, créateur de la sécurité sociale à qui ces jeunes ardéchois engagés souhaitaient rendre hommage au travers du nom de leur groupe et au travers de leur musique.

Un groupe qui s'appelle désormais SKRANK, ils nous expliqueront aussi pourquoi, et on va se laisser porter par leur reggae énervé qui va du dub au métal, en passant par plus de 50 nuances de rouge et noir. Un projet tout nouveau avec des musiciens expérimentés...

Dévoilé à la face du monde en 2019 avec l'opus « Dansent les cygnes », premier élément d'un univers aussi beau qu'original, le jeune Oscar les vacances ne semble pourtant pas en prendre. Il est présent sur tous les aspects, toutes les déclinaisons de sa singularité artistique, depuis la composition et l'écriture jusqu'à la réalisation de ses clips, un artiste dont le talent n'a pour seule limite que son imagination débordante et qui nous entraine à coup sûr le long de ces élucubrations mélodieuses, couleur électro-pop et dont l'apparente naîveté cache une véritable profondeur, pour qui veut bien s'y attarder.

A nous d'essayer en ce mois d'Avril de vous le présenter à la hauteur de son talent et avant que ses aventures musicales ne le guident loin de sa belle Ardèche.

Rendez-vous avec notre traditionnel tribune aux artistes locaux, avec ce mois-ci une néo-ardéchoise dont le talent se fait entendre dans l'hexagone depuis de nombreuses années, et qui a décidé depuis peu de donner un nouvel élan à son projet avec des musiciens du sud de notre département.

Une artiste qui se nourrit de partages et d'émotions, qui nous berce au son d'une plume et d'une énergie tout autant sincères que provocatrices, une amoureuses des mots aux influences multiples et un concert du bout du mois nouvelle formule puisque les moments interview seront plus courts et plus nombreux, il permettront de respirer entre des morceaux enregsitrès le 18 mars dernier lors d'un concert au moulinage de Chirols et des morceaux captés directement dans nos studios privadois, servis par une formule inédite pour l'artiste.

Firgue emblématique de la scène ardéchoise, cet homme orchestre arpente les cafés concerts et les petites salles de la France entière en solo depuis 1989. Lunettes noires, chapeau vissé sur la tête, guitare et claquettes au service d'une plume aussi acide que poétique, on le reconnait facilement quand on le voit, on le comprend encore mieux quand on l'entend. Le fond et la forme sont au rendez-vous pour bien terminer ce mois de février.

Révélés par leur titre « rentabilité santé » lors du confinement de mars 2020, les deux frères originaires du sud Ardèche ont depuis conquis les oreilles d'un vaste public à travers l'hexagone.
L'occaion pour notre concert du bout du mois de janvier, de s'intéresser à ce duo atypique, à mi chemin entre la pop et la musique trap, leur univers singulier ne devrait pas vous laisser indifférents.

L'occasion comme chaque mois aussi de les découvrir coté « interview » et de mieux comprendre leur parcours et leurs ambitions musicales.

On prend de la hauteur avec un artiste ardéchois qui propose habituellement un ciné concert chargé en émotion et en profondeur, dont nous allaons savourer ici la bande son.

Un quatuor 100% féminin, à la poésie sauvage et sincère, une claque musicale, un émerveillement artistique, une émission qui ne s'écoute pas mais qui se vit.

Depuis septembre 2015, tous les derniers samedis du mois vibrent aux notes des artistes de nos départements sur RCF Ardèche et sur RCF Drôme, la 7eme saison des « concerts du bout du mois » s'achève avec son traditionnel « Best of », ou l'occasion de retrouver tous les artistes reçus depuis septembre.

De la musique et seulement de la musique avec : le duo Montparnot, la Meute, Epervier, Polaire, Jo Figaro, Rouliette Ruse, Oscar les Vacances et Skrank.

De quoi apprécier à leurs justes valeurs les qualités et le talent de nos artistes locaux.

Et si vous pensiez que nous allions passer un mois de Mai sans respecter l'adage, vous aviez tort !

En effet cette saison encore, on va faire ce qui nous plait en Mai, tout comme les invités de ce concert du bout du mois, qui ont tout juste changé de nom, il nous expliqueront pourquoi notamment dans cette émission avec un projet qui jusqu'alors s'appelait « ambroise », en hommage a Ambroise Croizat, créateur de la sécurité sociale à qui ces jeunes ardéchois engagés souhaitaient rendre hommage au travers du nom de leur groupe et au travers de leur musique.

Un groupe qui s'appelle désormais SKRANK, ils nous expliqueront aussi pourquoi, et on va se laisser porter par leur reggae énervé qui va du dub au métal, en passant par plus de 50 nuances de rouge et noir. Un projet tout nouveau avec des musiciens expérimentés...

Dévoilé à la face du monde en 2019 avec l'opus « Dansent les cygnes », premier élément d'un univers aussi beau qu'original, le jeune Oscar les vacances ne semble pourtant pas en prendre. Il est présent sur tous les aspects, toutes les déclinaisons de sa singularité artistique, depuis la composition et l'écriture jusqu'à la réalisation de ses clips, un artiste dont le talent n'a pour seule limite que son imagination débordante et qui nous entraine à coup sûr le long de ces élucubrations mélodieuses, couleur électro-pop et dont l'apparente naîveté cache une véritable profondeur, pour qui veut bien s'y attarder.

A nous d'essayer en ce mois d'Avril de vous le présenter à la hauteur de son talent et avant que ses aventures musicales ne le guident loin de sa belle Ardèche.

Rendez-vous avec notre traditionnel tribune aux artistes locaux, avec ce mois-ci une néo-ardéchoise dont le talent se fait entendre dans l'hexagone depuis de nombreuses années, et qui a décidé depuis peu de donner un nouvel élan à son projet avec des musiciens du sud de notre département.

Une artiste qui se nourrit de partages et d'émotions, qui nous berce au son d'une plume et d'une énergie tout autant sincères que provocatrices, une amoureuses des mots aux influences multiples et un concert du bout du mois nouvelle formule puisque les moments interview seront plus courts et plus nombreux, il permettront de respirer entre des morceaux enregsitrès le 18 mars dernier lors d'un concert au moulinage de Chirols et des morceaux captés directement dans nos studios privadois, servis par une formule inédite pour l'artiste.

Firgue emblématique de la scène ardéchoise, cet homme orchestre arpente les cafés concerts et les petites salles de la France entière en solo depuis 1989. Lunettes noires, chapeau vissé sur la tête, guitare et claquettes au service d'une plume aussi acide que poétique, on le reconnait facilement quand on le voit, on le comprend encore mieux quand on l'entend. Le fond et la forme sont au rendez-vous pour bien terminer ce mois de février.

Révélés par leur titre « rentabilité santé » lors du confinement de mars 2020, les deux frères originaires du sud Ardèche ont depuis conquis les oreilles d'un vaste public à travers l'hexagone.
L'occaion pour notre concert du bout du mois de janvier, de s'intéresser à ce duo atypique, à mi chemin entre la pop et la musique trap, leur univers singulier ne devrait pas vous laisser indifférents.

L'occasion comme chaque mois aussi de les découvrir coté « interview » et de mieux comprendre leur parcours et leurs ambitions musicales.

On prend de la hauteur avec un artiste ardéchois qui propose habituellement un ciné concert chargé en émotion et en profondeur, dont nous allaons savourer ici la bande son.

Un quatuor 100% féminin, à la poésie sauvage et sincère, une claque musicale, un émerveillement artistique, une émission qui ne s'écoute pas mais qui se vit.

A l'occasion du lancement d'un financement participatif visant à financer son 3eme opus à paraitre en Juin prochain ("la tête pied nu"), c'est à Matildy que Vincent Guigon ouvre la scène radiophonique de notre "concert du bout du mois" de mars. Artiste auteure, compositrice et interprète elle estégalement peintre à la fois, une peinture sans toile ni cadre, sans pinceau ni couleur, mais pas moins expressive ! Disons plutôt pour finir dedresser son portrait, qu’elle est suggestive à souhait, s’adressant à l’imagination visuelle des mots, à la couleur sonore des sons et à la profondeur de chant !

A l'occasion de la sortie de « Mikro Fatsoli », leur dernier 5 titres, les ardéchois les plus rock'n roll qui soient sont de sortie et de visite dans nos studios privadois. Avec près de 450 concerts dans toute l'Europe entre 2002 et 2013, le Baratin de la Joie s'est reformé en 2018, pour le plus grand plaisir de ses nombreux fans et avec l'ambition d'aller séduire un public plus jeune qui ne les connaitrait pas. Une émission haute en couleur et en guitares saturées, de quoi nous aider à patienter encore avant la reprise des concerts.

Ils auraient pu choisir de s’appeler les « frères terrasses » ou encore « la fraternité du clos » mais ils ont opté pour un mélange de patois et d’anglais, les sept membres des « Faysses Brothers » irriguent la scène locale d'un "speed blues ardéchois" qui prend sa source en aval de celle de la Loire, avec audace et spontanéité.