LE KIOSQUE À MUSIQUE - page 2

C'est un voyage musical dans quelques capitales européennes avec des enregistrements inédits de la radio suisse DRS, pour découvrir des musiques revues et corigées en version jazzy pas de grands orchestres.

Comme à l'habitude dans ce nouveau numéro de métamorphoses musicales, des mélodies de variété revisitées par des orchestres. De belles trouvailles au programme.

Un nouvel épisode de chansons réorchestrées par de merveilleux orchestres dans des rythmes inabituels.

En 1863, existaient environ 900 orphéons français, puis en 1867, 3 243 orphéons.
Pierre-Yves Deroche continue de nous parler de la belle époque de ces orphéons qui désignaient soit une chorale d'hommes, ou des instruments de musique fixe, à cordes et à clavier.

L’exposition universelle de Paris en 1867 croule sous la musique, mais la tension civile est devenue très forte.

Instrumentistes ou vocalistes comme on les appellent ne sont pas épargnés par cette tension politico - idéologique.

Les orphéonistes par leur chant, leur musique mais surtout par la masse d’électeurs qu’ils représentent sont un enjeu politique qui ne se néglige pas ! Retour sur l'histoire de ces sociétés musicales.

Que des thèmes musicaux passés à la postérité par la grâce du cinéma réinterprétés par de grands orchestes symphoniques. Avec aujourd;hui la musique des films : Goldfinger, le parrain, le professionel, les chariots de feu...

La sagesse populaire dit que tout Tchèque naît avec un violon sous l’oreiller.
Les portes drapeau de cette musique tchèque sont aujourd’hui connus dans le monde entier : Dvo?ák, Janá?ek ou Smetana.
Et Il y en a tellement d'autres.
Ce sera l’orchestre philarmonique tchèque qui animera et nous fera découvrir ces merveilleuses mélodies de cette âme tchèque...

Les orchestres symphoniquent interprètent des musiques de films : au programme de ce premier numéro la musique des films Circus, le train sifflera trois fois, le 3ème homme, Zorba le grec et bien d'autres...

Direction un pays où la musique classique est bien plus qu’un élément de la culture et de l'histoire : c’est l’âme du peuple, en route pour la Tchéquie.
Ce sera l’orchestre philarmonique tchèque qui animera et nous fera découvrir ces merveilleuses mélodies de cette âme tchèque.

Une émission découverte dans le jus de Cuba. Avec des rythmes repris par les grands compositeurs comme Ravel ou encore Berststein.
Une émission à écouter attentivement avec une musique déclarée patrimoine culturel de Cuba.

Un vrai coffre au trésor que cette musique cubaine.
Nous découvrirons comment ce rythme appelé maintenant « latino » imprégné de la musique des conquistadors espagnols et des esclaves africains arrive en Europe dans les années 20.

La sagesse populaire dit que tout Tchèque naît avec un violon sous l’oreiller.
Les portes drapeau de cette musique tchèque sont aujourd’hui connus dans le monde entier : Dvo?ák, Janá?ek ou Smetana.
Et Il y en a tellement d'autres.
Ce sera l’orchestre philarmonique tchèque qui animera et nous fera découvrir ces merveilleuses mélodies de cette âme tchèque...

Direction un pays où la musique classique est bien plus qu’un élément de la culture et de l'histoire : c’est l’âme du peuple, en route pour la Tchéquie.
Ce sera l’orchestre philarmonique tchèque qui animera et nous fera découvrir ces merveilleuses mélodies de cette âme tchèque.

D’où vient la création de toutes ces associations musicales amateurs instrumentales ou chorales ?
Tout nait après la Révolution, avec l'harmonie des Gardes Français qui est devenue l’harmonie de la Garde républicaine que nous connaissons. La liberté de réunion donnée sous le second Empire a pour conséquence la naissance des associations dans le but de chanter et de jouer de la musique et de la faire descendre la musique dans la rue !

D’où vient la création de toutes ces associations musicales amateurs instrumentales ou chorales qui font encore de nos jours partie de la vie dans nos villes, ou dans nos villages. Tout naît après la Révolution...

Suite de l'histoire musicale de la lutte et de l’idéal du compositeur Giuseppe Verdi pour une Italie unifiée et indépendante.

L’art lyrique de Giuseppe Verdi au service d’une grande cause : l’indépendance et l'unification de l’Italie.

Comment le compositeur de Nabucco, Aïda, la Traviata, entre autres, a t-il pu réussir dans un même combat à la fois chanter le Risorgimento, c’ est à dire la résistance à l’envahisseur autrichien puis français et faire triompher tout à la fois l’opéra romantique ??

A nouveau des chansons réorchestrées, revisitées, interprétées à l'origine par Léo Ferré, Charles Aznavour, Georges Brassens,ou encore la chanson « plaisir d'amour « qui date de 1784, dans une mélodie revue à la symphonique.
Toutes seront jouées par de merveilleux orchestres dans des versions exceptionnelles.

Comme à l'habitude ce seront des chansons revisitées, interprétées à l'origine par Lucienne Delyle, Gilbert Bécaud, Barbara et bien d'autres artistes que vous découvrirez dans des rythmes ou des réorchestrations complètement inhabituelles ou inconnues.

Poursuite de notre ballade musicale en orient, la Chine sera notre point d'arrivée.

Les orchestres de Billy May, de Ray Conniff, le Cincinnati Pop orchestra, Claude Bolling, nous conduiront sur les traces de Marco Polo, sur la route de la soie.