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La chronique nature
La Chronique nature @RCF Orne

La chronique nature

Une émission de RCF Orne présentée par Boisgallais, Vandenberghe

Toutes les semaines, l'A.F.F.O. (Association Faune et Flore de l'Orne) nous parle de notre département à travers une chronique nature.
 

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Episodes

  • La Chronique nature @RCF Orne
    1 mars 2025

    Les plantes invasives

    9 min
    Une espèce exotique envahissante dans un territoire est une espèce animale ou végétale qui a été introduite par l’homme et qui menace les écosystèmes, les habitats ou les espèces indigènes avec des conséquences écologiques, économiques et sanitaires négatives. Ces espèces accaparent une part trop importante des ressources dont nos espèces locales ont besoin pour vivre et parfois même elles se nourrissent directement des espèces indigènes, comme le frelon asiatique qui se nourrit d’abeilles.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    22 février 2025

    Les plantes venues d’ailleurs et naturalisées

    8 min
    On pourrait intituler cette rubrique Orne terre d’accueil. L’idée est amusante : si l’on regarde la liste des espèces de plantes présentes dans notre département, on remarque un nombre important de noms qui évoquent des contrées lointaines : Himalaya, Buenos Aires, Japon, Canada, Alexandrie, Canaries… Et si on se réfère au récent atlas des plantes sauvages que l’AFFO a publié en 2024, l’Orne compte environ 1400 espèces de plantes dont environ 1100 sont indigènes.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    15 février 2025

    La nature en ville

    9 min
    Aujourd’hui, on redécouvre l’importance de la nature en ville pour préserver la qualité de l’air, de l’eau et des sols pour le confort des habitants, mais les générations avant nous y pensaient aussi. Depuis que les villes existent, on a besoin d’avoir accès à un espace de nature pour des raisons de simple bien-être. C’était d’ailleurs l’intuition du baron Hausmann lorsqu’il a entrepris de reconstruire Paris, il a dessiné ses bâtiments denses en imposant que chaque habitant puisse avoir accès à un parc ou jardin à moins de 300 mètres de son habitation.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    8 février 2025

    Le sol source de vie

    9 min
    C’est passé plutôt inaperçu, mais cette année, la Normandie accueillait les journées mondiales des sols, selon un calendrier défini par la FAO, car le 5 décembre leur est consacré. C'est un sujet qui peut sembler étonnant tellement il est évident, mais c'est un grand problème mondial aujourd'hui. Partout, le sol en tant qu’organisme vivant est affaibli par de nombreuses agressions, en ville comme aux champs.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    1 février 2025

    Les légumineuses, source de biodiversité

    11 min
    Ce sont les légumes secs, ou encore les graines comestibles contenues dans les gousses, comme le haricot, la lentille, le pois, la fève, le lupin, le soja… Pour l’agriculteur, ce sont les légumineuses prairiales ou fourragères comme la luzerne, le trèfle, le sainfoin… Ces plantes présentent la caractéristique d’être en symbiose avec une bactérie qui leur permet de fixer l’azote de l’air.


    Bonjour Anne-Sophie, dans la ligne de la chronique de la semaine passée, vous avez décidé de nous
    parler des légumineuses, on n’est moins dans la nature que dans la cuisine avec ce sujet…
    C’est à moitié vrai, car il faut les cultiver et puis ce sont des plantes qui ont des choses à nous dire sur
    la biodiversité et pas seulement sur notre santé, alors avec cette chronique, on va naviguer entre le
    jardin, le champ et la cuisine. J’ai pensé à ce sujet car nous avons parlé la semaine dernière de la loi
    EGALIM selon laquelle toute cantine doit proposer au moins un menu végétarien par semaine, ce qui
    met les protéines végétales en avant. Et ces protéines végétales sont bien représentées dans les
    légumineuses justement.
    Peut-être qu’une petite définition s’impose… Qu’est-ce qu’une légumineuse ?
    En terme botanique, ce sont les plantes de la famille des fabacées, le latin faba signifiant fève. Pour la
    cuisine, ce sont les légumes secs, ou encore les graines comestibles contenues dans les gousses,
    comme le haricot, la lentille, le pois, la fève, le lupin, le soja… Pour l’agriculteur, ce sont les
    légumineuses prairiales ou fourragères comme la luzerne, le trèfle, le sainfoin… Ces plantes présentent
    la caractéristique d’être en symbiose avec une bactérie qui leur permet de fixer l’azote de l’air. Non
    seulement ces cultures n’ont pas besoin d’engrais azotés, mais en plus elles en apportent au sol et
    sont donc naturellement très riches en protéines.
    Traditionnellement, dans tous les régimes alimentaires du monde, on a compris que l’homme avait à la
    fois besoin d’énergie et de protéines, ce qui explique l’alliance entre céréales et légumineuses. Riz-soja
    en Chine, riz-lentilles en Inde, semoule de blé-pois chiche en Afrique du Nord, mil-arachide au Sénégal,
    maïs-haricot rouge au Mexique, pain-mogettes en Vendée…etc.
    Depuis l’invention de l’agriculture, dans la majorité des populations, la viande était mangée à
    l’occasion de fêtes mais non quotidiennement. Notre civilisation a développé les produits carnés avec
    tous les dégâts que l’on sait sur la santé mais aussi sur les écosystèmes avec les perturbations de la
    biodiversité, des cycles de l’eau et de l’azote notamment. Nous en avons parlé la semaine dernière.
    La fameuse loi Egalim dont on a beaucoup parlé ces derniers mois remet ces plantes à l’honneur à la
    fois pour rééquilibrer notre santé mise à mal par les maladies cardiovasculaires, mais aussi pour
    rééquilibrer les écosystèmes car leur introduction dans les systèmes de culture évite les pollutions et
    devient un pilier essentiel de la diversité dont nous avons tant besoin.
    Ce double avantage dans les champs et dans l’assiette est-il lié ?
    Oui, il procède du même type de raisonnement qui est celui de la mondialisation, à savoir la
    massification de la production et la maximisation de la consommation. Une protéine animale nécessite
    en moyenne (évidemment cela dépend des animaux) sept fois plus d’eau et sept fois plus d’espace
    qu’une protéine végétale. Et comme on a déséquilibré les sols avec les apports chimiques, on s’est
    affranchi de cette complémentarité ancestrale entre céréales et légumineuses. De façon
    malheureusement très cohérente, on a donc altéré la santé des sols autant que notre santé humaine.
    Aujourd’hui, cultiver plus de légumineuse ne met pas en péril l’élevage traditionnel des animaux sur
    prairies, mais permet d’éviter les élevages intensifs des animaux qui sont élevés en batterie. La majorité de la viande de mauvaise qualité provient de ces élevages qui, en raison de la promiscuité,
    consom
  • La Chronique nature @RCF Orne
    25 janvier 2025

    La « théorie des signatures »

    13 min
    La théorie des signatures, aussi appelé principe de signature repose sur le principe ou la croyance que l’apparence, l’allure, mais aussi parfois l’écologie des plantes est censée traduire leur fonction. En résumé la forme d’une plante doit nous indiquer l’usage que l’on doit en faire.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    18 janvier 2025

    Comment les plantes passent elles l’hiver ?

    10 min
    Dès l’automne, quand les températures et la luminosité commencent à baisser, les plantes se préparent à entrer dans une période de repos saisonnier. Période pendant laquelle ils vont ralentir leur métabolisme et arrêter leur croissance. Dans ce processus, les différentes espèces ne réagissent pas de la même façon.


    Suite au raccourcissement de la durée du jour, à la baisse des températures, la plupart des plantes pérennes ou vivaces entrent progressivement en dormance. Elles vont momentanément arrêter leur croissance, enclencher une modification hormonale et génétique permettant la protection contre le gel.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    11 janvier 2025

    Le coquelicot, une plante pleine de paradoxes

    8 min
    Notre coquelicot est utilisé en phytothérapie (essentiellement les fleurs) et en cuisine sauvage : pétales, graines et même jeunes feuilles. Pourtant certains diront qu’il est toxique du fait de ses alcaloïdes) mais les quantités consommées étant très faibles, cela n’a pas d’incidence.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    21 décembre 2024

    La vannerie sauvage

    8 min
    La vannerie désigne l’art de tresser des fibres végétales comme l’osier, le bambou et le rotin, ainsi que les objets réalisés par cette technique, par exemple les paniers et les meubles en vannerie. Elle est pratiquée depuis au moins 10 000 ans. Les savoir-faire de la vannerie sont divers et sont continuellement développés par des sociétés du monde entier.


    Depuis la préhistoire, l’homme a eu l’idée de tresser ou tisser des fibres souples et solides pour faire des contenants pour stocker la nourriture ou l transporter…
  • La Chronique nature @RCF Orne
    14 décembre 2024

    Le lien entre alimentation et environnement

    10 min
    Nos modes alimentaires ont beaucoup de conséquences dans plusieurs domaines. Par exemple, si l’on parle du changement climatique, il faut garder à l’esprit que le quart des émissions de gaz à effet de serre en France provient de nos assiettes. C’est autant que le transport ou le logement !


    Bonjour Anne-Sophie, aujourd’hui, nous allons parler des conséquences de nos modes alimentaires
    sur notre environnement. On en parle de plus en plus, mais pourtant, le lien ne semble pas direct…
    Pourtant, nos modes alimentaires ont beaucoup de conséquences dans plusieurs domaines. Par
    exemple, si l’on parle du changement climatique, il faut garder à l’esprit que le quart des émissions de
    gaz à effet de serre en France provient de nos assiettes. C’est autant que le transport ou le logement !
    De la production des aliments jusqu’à leur consommation, notre modèle alimentaire très industrialisé
    et très dépendant de transports internationaux contribue au réchauffement de la planète à cause des
    consommations d’énergie, des pollutions et des gaspillages… Même si les pratiques évoluent en même
    temps que les prises de conscience, on voit qu’il y a des impacts à toutes les étapes.
    Parlons d’abord de la production des aliments. En France, l’agriculture utilise beaucoup d’engrais et de
    pesticides. La dégradation des sols par l’utilisation d’engins mécaniques lourds et de produits
    chimiques a de multiples conséquences : perte de la fertilité des sols, érosion, pollution des nappes
    phréatiques… Le malaise des agriculteurs qui s’est exprimé fortement ces derniers mois vient en partie
    de leur déconnexion avec les rythmes et les fonctionnalités de la nature. Le système agro-chimique ne
    pourra pas durer très longtemps, car il est directement lié à l’industrie pétrolière.
    De plus, l’eau devient un enjeu majeur, non seulement pour la production agricole, mais aussi pour la
    transformation des aliments qui consomme aussi beaucoup d’eau. Le transport essentiellement
    routier des denrées pollue l’air et émet des gaz à effet de serre, sans compter l’impact des
    importations par avion, parfois pour des produits à contre-saison. Le stockage et la distribution des
    aliments imperméabilise de vastes surfaces autrefois agricoles et les chambres froides consomment
    beaucoup d’énergie. Dans les grandes surfaces alimentaires, la réfrigération représente à elle seule 40
    % de la facture énergétique.
    Au bout de la chaîne, il y a nous, les consommateurs. Les produits sont de plus en plus transformés et
    les emballages individuels de plus en plus demandés. Il faut les produire, souvent à partir du pétrole
    pour faire les plastiques, les façonner puis quand ils ont été utilisés, il faut les collecter, traiter, recycler
    ou incinérer. Aller faire ses courses, garder ses aliments au frais…Tout cela consomme encore de
    l'énergie. Et le pire, c’est sans doute le gaspillage : des denrées qui ont été très couteuses à produire
    en termes de ressources sont parfois jetées à la poubelle simplement à cause d’une date dépassée. En
    France, nous jetons environ 20 kg de nourriture par an et par habitant.
    Il faut pourtant bien manger chaque jour. Ce type de préoccupation semble très occidental, dans nos
    sociétés trop bien nourries, mais ce n’est pas le cas du monde entier…
    Oui et non, car la paysannerie est en train de disparaître à l’échelle mondiale. Quelques sociétés
    agraires continuent à exister en Afrique et en Asie notamment, mais toujours à côté de systèmes agro-
    industriels qui gagnent du terrain chaque jour dans l’esprit d’une exploitation minière de la nature : on
    l’exploite au-delà de son seuil de renouvellement, puis on va plus loin. C’est le cas de l’Amazonie.



    La production agricole est responsable de 70 à 80% de la déforestation dans le monde, via l’élevage
    intensif, la production de soja, ou d’huile de palme si on regarde du côté de l’Asie. Les grands
    écosystèmes naturels mondiaux disparaissent peu à peu. Les forêts, les zones humides
  • La Chronique nature @RCF Orne
    7 décembre 2024

    Les agriculteurs victimes des produits de traitements 3/3

    7 min
    Joseph Pousset, ingénieur agronome, évoque un sujet tabou depuis de nombreuses années : les produits de traitements agricoles ont fait énormément de victimes et de malades, d'ailleurs les demandes de reconnaissance de maladies professionnelles dans ce secteur croissent exponentiellement.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    30 novembre 2024

    Les agriculteurs victimes des produits de traitements 2/3

    9 min
    Joseph Pousset, ingénieur agronome, évoque un sujet tabou depuis de nombreuses années : les produits de traitements agricoles ont fait énormément de victimes et de malades, d'ailleurs les demandes de reconnaissance de maladies professionnelles dans ce secteur croissent exponentiellement.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    23 novembre 2024

    Les agriculteurs victimes des produits de traitements 1/3

    8 min
    Joseph Pousset, ingénieur agronome, évoque un sujet tabou depuis de nombreuses années : les produits de traitements agricoles ont fait énormément de victimes et de malades, d'ailleurs les demandes de reconnaissance de maladies professionnelles dans ce secteur croissent exponentiellement.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    16 novembre 2024

    L'exploitation traditionnelle de la haie bocagère

    9 min
    Tour d'horizon des différnets emploits et utilités de nos haies bocagères, qui, malgré ce que l'on en pense, ont malheureusement tendance à disparaître de nos paysages.
  • ©freepik.com
    9 novembre 2024

    Nouveauté : un atlas des plantes sauvages de l'Orne

    12 min
    On peut dire que les atlas sont aujourd’hui des publications scientifiques mises à disposition du grand public. Autrefois, il s’agissait de documents austères, au mieux illustrés par quelques dessins et regorgeant de termes scientifiques. L'AFFO a souhaité faire une sorte de dictionnaire des plantes sauvages accessible et agréable, avec des articles faciles à lire et abondamment illustrés.


    Bonjour Anne-Sophie, vous avez souhaité nous parler d’une la prochaine publication d’un atlas des
    plantes sauvages de l’Orne, fruit de plus de vingt ans de travail de votre association, c’est
    certainement un événement marquant !
    On peut dire que les atlas sont aujourd’hui des publications scientifiques mise à disposition du grand
    public. Autrefois, il s’agissait de documents austères, au mieux illustrés par quelques dessins et
    regorgeant de termes scientifiques. Nous avons souhaité faire une sorte de dictionnaire des plantes
    sauvages accessible et agréable, avec des articles faciles à lire et abondamment illustrés qui
    permettent d’apprendre et de comprendre plein de choses sur la botanique. Nous allons donc
    partager les connaissances acquises dans le cadre du programme d'inventaire de la flore de l'Orne
    réalisé entre 2003 et 2023.
    Vous nous avez parlé, lors d’une ancienne chronique, de l’abbé Letacq qui avait fait ce genre
    d’inventaire à lui tout seul il y a plus d’un siècle…
    C’est la chance formidable du département de l’Orne en effet, que de disposer d’un inventaire des
    plantes sauvages réalisé par Arthur-Louis Letacq, qui a la particularité d’avoir aussi réalisé ces
    inventaires pour les mammifères, les oiseaux, les poissons, les amphibiens, les mousses, les crustacés,
    etc. Nous sommes donc en mesure d’analyser l’évolution de la biodiversité de notre département
    depuis plus d’un siècle. J’en profite pour vous dire que l’Orne a beaucoup de chance encore
    maintenant, car le coordinateur de cet atlas, qui s’appelle Joachim Cholet, est un digne successeur de
    notre abbé Letacq et de sa capacité de travail ! Ce regard sur l’évolution historique permet aussi
    d’apporter les informations qui devraient aider à élaborer les politiques publiques. Dans le cadre des
    projets d’aménagement, certains choix de préservation pourront être faits par les décideurs, grâce à
    la localisation précise des stations de plantes rares ou en voie de disparition. Nous avons par exemple
    identifié 94 plantes qui n’ont pas été revues depuis plusieurs décennies, suggérant leur possible
    disparition de notre territoire. Il faut le plus possible arrêter les destructions de certains milieux
    naturels qui conduisent à cette érosion de biodiversité.
    Concrètement, vous pouvez nous détailler comment on se lance dans un tel ouvrage qui suppose
    des années de travail ?
    Déjà, au niveau méthodologique, nous ne sommes pas seuls ! La majorité des régions de France, à des
    échelles diverses, sont pourvues d’atlas, c’est une démarche nationale : l’Atlas de la Flore de la Seine-
    Maritime et de l’Eure (2015) Atlas du Calvados (2017), Atlas de la Manche (en cours). Le flore d’Ile de
    France est parue en 2011 et se décline depuis en atlas départementaux.
    Dès l’origine, l’Association faune et flore de l’Orne (AFFO) et le Conservatoire botanique national de
    Brest (CBNB) se sont engagés ensemble dans le projet. Les deux structures ont mutualisé leurs
    compétences scientifiques et techniques et l’AFFO a notamment investi sa capacité à mobiliser les
    acteurs. Imaginez ce que cela représente, en termes d’organisation, que d’animer un réseau de 200
    botanistes bénévoles pour réaliser les inventaires dans les 505 communes de l’Orne, avec un
    minimum de deux journées d’inventaire par commune. Nous sommes en effet restés aux 505
    communes traditionnelles du département telles qu’elles étaient définies en 2002. Concrètement,
    c’est assez amusant. On se donne rendez-vous tôt le matin au pied de l’église du village et l’inventaire
    commence toujours par le cimetière,
  • La Chronique nature @RCF Orne
    2 novembre 2024

    Incompréhensions autour de la taille des haies bocagères 2/2

    9 min
    La chronique de Joseph Pousset, ingénieur agronome, au sujet de la période de la taille des haies bocagères par les agriculteurs.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    26 octobre 2024

    Incompréhensions autour de la taille des haies bocagères 1/2

    10 min
    La chronique de Joseph Pousset, ingénieur agronome, au sujet de la période de la taille des haies bocagères par les agriculteurs.
  • La Chronique nature @RCF Orne
    19 octobre 2024

    La ronce 2/2

    7 min
    Les amateurs de jardin, les cultivateurs maudissent la ronce qui se montre exubérante et recouvre vite des sols délaissés. Sans compter le nombre de pantalons déchirés ou les mollets griffés par ses épines !
    Redorons donc le blason de cette crochue qui parfois nous barre le chemin. 2/2
  • ©Pexels_David J. Boozer
    12 octobre 2024

    La ronce 1/2

    5 min
    Les amateurs de jardin, les cultivateurs maudissent la ronce qui se montre exubérante et recouvre vite des sols délaissés. Sans compter le nombre de pantalons déchirés ou les mollets griffés par ses épines !
    Redorons donc le blason de cette crochue qui parfois nous barre le chemin. 1/2
  • ©Alexas_Fotos_Pixabay
    5 octobre 2024

    Le lierre 2/2

    7 min
    Une seule espèce pousse spontanément chez nous : Hedera helix. Appelé aussi lierre grimpant, lierre des poètes, herbe de Bacchus, herbe de Saint Jean herbe aux cors...Il fait partie de la famille des araliacées, une famille de plantes tropicales. Deuxième et dernière partie.

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