Au fil des écritures

La joie, telle que nous la trouvons exprimée dans le Nouveau Testament, se trouve en parfaite continuité avec celle de la Première Alliance. Des Évangiles jusqu’à l’Apocalypse, chaque auteur la mentionne et recueille l’inestimable enrichissement que la venue du Sauveur lui apporte. C’est bien dans le Christ que cette joie biblique trouve sa perfection.

La joie nous va bien. Ce n’est donc pas un hasard si les auteurs bibliques en font une caractéristique et un signe de la présence de Dieu, source de la joie véritable. Dans l’Ancien Testament, le peuple de Dieu expérimente concrètement l’action salvifique de son Créateur et la joie profonde qui en découle. Dès lors, la joie deviendra le signe d’une vie orientée vers le Bien.

Approfondissant les effets extérieurs et intérieurs de la peur, ce second volet va nous conduire au dépassement de la peur-réflexe en une crainte-constructive. Ce début de renversement est en fait l’amorce d’une expérience de vérité irremplaçable pour l’homme des écritures. Elle est celle de la découverte profonde et vécue d’une juste articulation entre la place de Dieu et celle de l’homme...

La peur, émotion fondamentale de l’être humain, est étonnamment bien décrite dans les textes de la Bible. Son apparition, sa complexité et ses mécanismes parsèment les écritures jusqu’à devenir une composante à part entière de l’expérience religieuse de l’homme biblique

Déjà évoqué lors des dernières émissions, le désert est un lieu unique que les Ecritures abordent à maintes reprises. L’examen de ce lieu particulier dans la Bible va nous permettre de faire une sorte de synthèse des 4 éléments (l’eau, le feu la terre et l’air) abordés les semaines précédentes. Nous verrons, à travers eux, que le désert condense l’apprentissage de l’homme à l’adoration véritable ».

Après avoir abordé les significations matérielles et théologiques de l’air dans les écritures, nous considérons maintenant l’expérience concrète de l’air pour la vie de l’homme de la Bible. Cet élément si insaisissable va peut-être justement nous permettre de saisir certains aspects de la vocation profonde de l’homme à participer à la vie de Dieu

Dernier élément fondamental dans les écritures, l’air est par nature invisible et insaisissable. Un petit aperçu de sa signification « matérielle » dans la Bible qui va, peu à peu, nous entrainer à considérer en lui une image qui rend visible certains aspects du Mystère de Dieu.

Après avoir abordé la terre comme élément de la création, considérons cette réalité comme étant également l’objet d’une promesse particulière : la terre promise. A travers toute son histoire et la réalisation de cette promesse, le peuple hébreux va peu à peu apprivoiser la présence de Dieu et découvrir sa mission au milieu des autres peuples de la terre

Après avoir abordé l’eau et le feu dans les émissions précédentes, nous nous tournons vers un troisième élément: la terre. Qu’elle soit une matière ou un lieu, elle est avant tout un élément fondamental de la Création. À travers la terre, l’homme se traduit et s’exprime, du commencement jusqu’à la fin

Après avoir considéré les deux aspects positifs du feu dans les écritures, nous abordons les deux autres aspects de cet élément insaisissable: le feu brûle et détruit. Ces effets sont, à priori, négatifs… mais le sont-ils vraiment ? Ne décrivent-ils pas plutôt la puissance et l’efficacité du travail de la Parole de Dieu dans le coeur du disciple ?

Les deux premières expériences du feu dans les écritures sont celles d’un élément qui réchauffe et illumine. Ces deux effets positifs du feu vont conduire l’homme de la Bible à comprendre et à se situer devant l’action de Dieu en sa faveur.

L’eau apparait comme un élément capital pour le peuple hébreu, dans sa compréhension de l’action de Dieu en sa faveur. Au fur et à mesure que les pages de la Bible se tournent, le symbole de l’eau s’amenuise pour laisser place à la réalité de sa Source: l’amour du Père qui fait de nous ses enfants d’adoption...

La Bible ne fait pas exception à nombre de récits fondateurs de diverses cultures et civilisations : l’eau y trouve une place prépondérante. Cependant, même si elle demeure une image ambivalente de mort et de vie, l’eau biblique tire son originalité dans son lien avec la Parole créatrice de Dieu. Ce premier volet d'Au fil des écritures explore les différents « types » d’eau présents dans les écritures et la signification que chacun revêt

Après avoir entrevu la signification générale des plantes dans la Bible, abordons maintenant le cas de quelques végétaux en particulier: la vigne, l’olivier, le cyprès, le figuier et le sycomore. Chacun de ses arbres est porteur d’une histoire, souvent très pratique, qui lui confère aussi une signification spirituelle particulière.

Pour les hommes et les femmes des écritures, les végétaux sont un moyen incontournable de subsistance. C’est donc tout naturellement que nous les retrouvons dès les premières pages de la Bible. Image de la vie qui se déploie, ils peuvent aussi illustrer de manière particulière la fragilité de cette dernière. C’est ainsi qu’ils conduisent l’homme à s’interroger sur son propre rapport à la vie.

Ce second volet de l’émission consacrée aux animaux dans les écritures, en abordant la figure de l’âne et de l’agneau. Symboles de douceur et de paix, ces deux animaux vont apporter une signification capitale pour comprendre l’identité et la mission des personnes qui leurs sont liées.

Nous débutons un nouveau cycle consacré aux animaux dans les écritures. Ce premier volet s’attachera à deux d’entre eux en particulier: le lion et le cheval. Symboles de force et de puissance, ils ne cessent de questionner sur l’origine du pouvoir conféré et sur la responsabilité de celui qui l’exerce.

Après avoir abordé les teintes blanche et dorée, nous poursuivons notre parcours dans les écritures, par le biais des couleurs bleue, noire et rouge. Les nuances sont nombreuses, mais une chose est certaine: les couleurs dans les écritures cherchent à caractériser l’état du coeur de l’homme, dans sa relation avec Dieu.

Après avoir entrevu la place et la signification du vêtement dans les écritures, nous débutons un nouveau volet consacré aux couleurs dans la Bible. Les quelques références chromatiques des écritures, en particulier le blanc et le doré, témoignent de la provenance et de la destination divine de la vie des hommes au cœur de la Création.

La Bible, sans faire du vêtement un thème principal, semble y recourir dans de nombreux textes. Et les Ecritures vont utiliser cet objet fascinant au delà de son simple aspect fonctionnel, le faisant passer au rang de signe, puis à celui de symbole. Il est ainsi possible de dire que Dieu, tout au long de l’histoire du salut, entre dans notre histoire pour revêtir l’humanité du salut.