Carrefours bibliques - page 2

Les esprits impurs qui partent dans les cochons… Les gens qui voient ce qui est arrivé à la vie pour de bon, dans l'intérêt des cochons… Comment comprendre cela si l'on ne voit pas que ces cochons-là ce sont les citoyens de l'Empire ? Et si leur étouffement dans la mer symbolisait leur baptême, ou entrée dans les Églises !

Comment l'histoire du démoniaque de Gérasa peut se comprendre à partir de l'histoire de la prise en main des assemblées nazaréennes par les Prêtres Esséniens ou Sadocites ?

Dans ce récit en forme de midrash, pourquoi les puissances que Jésus a chassées de l'homme demandent-ils d'habiter les cochons ? Pourquoi donc toute cette histoire est-elle developpée dans l'intérêt des cochons, comme le texte le dit lui-même ?

Une curieuse histoire que celle du dément Gérasénien. Ou Garadénien... ? Et si l'histoire tout court d'Israël nous permettait de comprendre le sens de ce midrash ?

Un récit de la traversée de la mer (de Galilée, quand même...) qui évoque une vieille tempête traversée par le prophète Jonas. Mais pourquoi ?

Quand Jésus parle du Règne de Dieu, il semble utiliser des comparaisons qui montreraient que celui-ci arrive sans que l'homme ait à peiner pour lui ? Comme si les choses se passaient toutes seules...

Pour une fois Jésus propose directement l'explication de sa parabole. Qui correspond à notre approche ? Il va poursuivre en présentant les caractéristiques de son enseignement…

Quand on sème, que l'on veut faire lever quelque chose, ce q ui compte le plus c'est la qualité de la semence, la technique du semeur ou la qualité du terreau ? Jésus va nous donner son avis là-dessus !

Jésus aurait-il pu dire que celui qui ne le reconnaît pas comme inspiré de Dieu n'obtiendrait jamais aucun pardon ? Vraisemblablement non ! Qui donc a pu écrire cela à ce propos ?
Et les relations tendues de sa propre famille avec lui ; est-ce qu'elles reflètent quelque chose de réel ou non ?

Dans Marc, les spécialistes des écritures accusent Jésus de chasser les démons par Belzeboul. Qu'est-ce que cela peut bien vouloir dire ? Comment Jésus de Nazareth va-t-il retourner la situation ?

Jésus qui institue les douze…, mais lesquels ? Les listes varient selon les
Évangiles sur au moins 2 noms ou 3. Et puis ces 12 sont inconnus et
n’apparaissent qu’à la fin du 1 er siècle !

Si il y a des élèves harcelés, c'est qu'il y a des élèves harceleurs. Qui sont-ils ?

La guérison de l'homme à la main desséchée. Où Jésus place cet homme au milieu et où il commence à s'attirer la haine de gens dont certains n'ont jamais conspiré contre lui... pour Marc !

Où Jésus commence par donner un cours de couture, puis de maître de chaix, avant de reprendre à son compte un épisode de l'histoire de David ! Une histoire avec des soldats qui se mettent à manger du pain consacré...

Pour les maîtres religieux de son époque, voir Jésus manger, partager le repas de ceux que l’élite classe comme impurs n’était déjà pas quelque chose de tolérable. Mais, en plus, comment se fait-il donc que les disciples de ce maître-là ne pratiquent pas le jeûne, démarche religieuse précédant toute sollicitation des hommes qui attendent une intervention divine ?

La rencontre de l’homme sans lequel nous ne connaîtrions peut-être pas les paroles de Jésus. La rencontre de Lévi (nommé encore Mathieu ou Jacques ou Nathanaël).

Évidemment, lorsqu’une bonne nouvelle est annoncée à quelqu'un qui en bavait jusque-là, les clercs de l’époque se liguent contre le déluré qui ose annoncer cette bonne nouvelle ! Mais ce Maître, si inclassable pour les religieux de l’époque, il fait une promesse, une annonce ou simplement une constatation ?

Est-ce bien un paralytique que Jésus rencontre dans la scène où cet homme passe par la toiture d'une maison où se sont réunis les auditeurs du Maître de Nazareth ?
Et si l'identité de ce Monsieur changeait tout ?

Une rencontre avec un lépreux qui va nous montrer comment l'auteur de
l'Évangile n'hésite pas à créer une histoire pour justifier sa capacité à interpréter librement celle de Jésus lui-même.

Marc nous présente Jésus sortant de nuit, / le tard étant venu, / le soleil s'étant enfoncé, / tôt dans le jour… Mais pourquoi donc tant insister sur la demi-pénombre en arrière-plan de son activité ? Et si c'était pour renvoyer à un passage qui serait la clé du tableau qu'il nous présente ?