Explique-moi la Foi - page 2

Au caté de Vaas, on parle aux enfants de l'épisode de la présentation de Jésus au temple. Siméon qui reconnaiten Jésus son Sauveur.
C'est l'occasion de réfléchir avec les enfants sur les moments de leur vie dans lesquelles ils reconnaissent que le Seigneur est avec eux, des moments dans lesquels ils peuvent lui ressembler.

Au caté de Vaas, on parle aux enfants de l'épisode de la présentation de Jésus au temple. Siméon qui reconnaiten Jésus son Sauveur.
C'est l'occasion de réfléchir avec les enfants sur les moments de leur vie dans lesquelles ils reconnaissent que le Seigneur est avec eux, des moments dans lesquels ils peuvent lui ressembler.

Le père Christian Montchatre décrypte pour nous l'évangile de St Matthieu sur les ouvriers de la dernière heure.

Le combat de David contre Goliath est l'un des plus célèbres passages de la Bible. Il nous enseigne que " Les hommes regardent l’apparence, mais le Seigneur regarde le cœur ". La Bible en donnant tout le temps la priorité au petit par rapport au fort, nous rappelle que dans la logique divine ce n'est pas la force qui compte mais c'est la capacité du cœur, la grandeur de la foi. Retour sur ce passage biblique, avec Bérengère Melot.

Philippe Le Noble est un passionné de musique sacrée. Aujourd'hui il nous explique la place à part qu'occupe le chant dans les célébrations catholiques.

Texte de Mauricette Vial-Andru (éditions Saint Jude)
Lu par Anne Brassié

Qui est le plus grand ? Quelle est notre place ? Ces questions, le P. Christian Monchâtre les détaille en s'intréressant à l'Évangile de Marc, chapitre 10, versets 35 à 45.

En ce temps de l'Avent, Bérengère Melot du service de la catéchèse, raconte aux enfants (et aux grands) l'histoire de la Nativité et de l'annonce de la naissance de Jésus.

En ce temps de l'Avent le P. Montchâtre nous présente quelques textes pour préparer nos coeurs à Noël et nourrir notre foi.

Philippe Le Noble est un passioné de musique sacrée. Aujourd'hui il nous explique la place à part qu'occupe le chant dans les célébrations catholiques.

Cette semaine, Anne Brassié nous emmène sur les pas de Saint Genès l'enfant.

Les super héros font rêver les petitsn et les grands. Superman, Batman, Catwoman, Aquaman, Spiderman, Ironman… Qui n’a pas rêvé de sauver le monde comme eux ? D‘être le plus fort ? Le plus beau, d’être admiré ? Aujourd’hui je vais vous parler de héros un peu différents. Des héros de la foi. Ils n’ont pas cherché à être célèbre, ou à être aimé. Non, leur objectif a été de faire la volonté de Dieu.

Avez-vous déjà essayé de vous comparer à l’église de votre village ? Cela vous semble peut-être étrange mais nous avons plus de points communs que vous ne l’imaginez. Je vous en propose un : la consécration. Pour une église, nous parlons de Dédicace, le jour où elle a été solennellement « dédiée » à Dieu. Mais, sur ses murs, ou plutôt ses piliers, tout autour, nous pouvons généralement observer douze croix. Ces croix sont souvent simplement peintes mais peuvent aussi prendre d’autres formes. Elles sont à ne pas confondre avec le chemin de croix. Lors de la dédicace de l’église, ces croix ont reçu l’onction ainsi que, comme l’ensemble de l’édifice une ablution d’eau bénite. En fait, ces rites sont calqués du baptême tandis que dans les temps anciens, la célébration de la messe était suffisante pour consacrer l’édifice. Mais nous alors ? Pour les baptisés enfants, nous avons été marqués du signe de la croix juste avant d’entrer dans l’église ; le bâtiment mais plus encore le peuple de Dieu. C’est le commencement de la célébration du baptême. Pour les adultes, c’est l’entrée en catéchuménat quelques mois avant le baptême. Avant d’englober le nouveau catéchumène par un grand signe de croix, ses sens ont été « signés » : ses oreilles, ses yeux, sa bouche, son cœur et ses épaules. Ainsi, pas encore baptisé, il est déjà consacré au Christ, il porte le beau nom de chrétien. « Ne savez-vous pas que vous êtes un sanctuaire de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu’un détruit le sanctuaire de Dieu, cet homme, Dieu le détruira, car le sanctuaire de Dieu est saint, et ce sanctuaire, c’est vous. » (1 Co 3,16-17) Cela c’est saint Paul qui le dit aux chrétiens de la ville de Corinthe. Nous le sommes en Jésus qui dira le premier dans une controverse au Temple de Jérusalem « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. » bien sûr, personne ne comprend, mais saint Jean poursuit : « Mais lui parlait du sanctuaire de son corps. Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite » Jn 2,19.21-22 Enfin, il y a douze croix pour les douze apôtres, colonnes de l’église puisque notre foi repose sur leur témoignage. Elle est aussi une image de la Jérusalem céleste, cette ville de la fin du livre de l’Apocalypse qui se trouve dans une vision un peu entre le ciel et la terre, où il n’y a plus de séparation entre Dieu et les hommes pour faire très court. Permettez-moi deux dernières citations : « En esprit, [l’ange] m’emporta sur une grande et haute montagne ; il me montra la Ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu : elle avait en elle la gloire de Dieu ; son éclat était celui d’une pierre très précieuse, comme le jaspe cristallin. Elle avait une grande et haute muraille, avec douze portes et, sur ces portes, douze anges ; des noms y étaient inscrits : ceux des douze tribus des fils d’Israël. Il y avait trois portes à l’orient, trois au nord, trois au midi, et trois à l’occident. La muraille de la ville reposait sur douze fondations portant les douze noms des douze Apôtres de l’Agneau. » Ap 21,10-14 et saint Paul dira aux Éphésiens « Ainsi donc, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage, vous êtes concitoyens des saints, vous êtes membres de la famille de Dieu, car vous avez été intégrés dans la construction qui a pour fondations les Apôtres et les prophètes ; et la pierre angulaire, c’est le Christ Jésus lui-même. En lui, toute la construction s’élève harmonieusement pour devenir un temple saint dans le Seigneur. En lui, vous êtes, vous aussi, les éléments d’une même construction pour devenir une demeure de Dieu par l’Esprit Saint. » Ep 2,19-22

Depuis quelques années nous avons de plus en plus de mal à entrer en dialogue les uns avec les autres... c'est à qui va imposer son opinion sans chercher à écouter la parole de l'autre dans sa différence. La période pré-électorale actuelle risque de durcir les positions si chacun ne fait pas effort pour favoriser un dialogue constructif. Dans le dialogue de Jésus avec la Samaritaine, laissons nous interroger par Celui qui est Parole. Il nous révèle comment un vrai dialogue peut conduire à un enrichissement mutuel ! C'est Jésus qui prend l'initiative d'une demande de service à cette étrangère qui vient puiser de l'eau au puits du village, pour sa propre consommation. Une femme qui a mauvaise réputation dans la région. Donne moi à boire ! Il ne s'agit pas d'un ordre, mais d'une proposition faite par Jésus, -si tu le veux, donne moi à boire- un style fréque,t tout au long des évangiles, pour mettre les gens en route, leur permettre, s'ils le souhaitent, de faire un bout de chemin. Une demande qui, il est vrai peut surprendre la Samaritaine ! Comment, toi, un juif, tu demandes à boire à une Samaritaine ? Tu sais que nous n'avons rien en commun !... une vieille histoire conflictuelle entre les habitants des 2 pays concernant le lieu saint pour adorer Dieu ! Malgré son étonnement , elle puise de l'eau pour Jésus assoiffé après une longue marche. Cette démarche semble suffisante pour qu'un vrai dialogue puisse s'instaurer, Le début d'un long cheminement pour cette femme en quête de ,sen,s Ni l'un, ni l'autre n'aont eu l'impression que leur liberté était remise en cause, il est donc possible d'aller en avant dans cette rencontre !… et ça commence fort :! De l'eau du puits qui désaltère, Jésus invite la Samaritaine à se tourner vers une autre source, celle de l'eau qui vivifie, donne vie ! La femme à l'écoute de la parole de Jésus comprend bien qu'il ne s'agit plus de l'eau du puits : 'D'où as tu donc cette eau vive ? Serais tu plus grand que notre père Jacob qui nous a donné ce puits ? Désormais, cette femme est prête à accueillir le message que Jésus souhaitait lui transmettre : 'Quiconque boit de cette eau (eau du puits) aura à nouveau soif, mais celui qui boira l'eau que je lui donnerai n'aura plus jamais soif. Elle deviendra en lui, source de vie jaillissante... pour la vie éternelle'. Désormais, la Samaritaine en est sûre, cet homme est un prophète ! Cette rencontre n'a rien à voir ,avec celles de tous les hommes qu'elle a connus précédemment, Jusque là personne n'avait eu le souci de donner sens à sa vie... mais plutôt d'en profiter ! Elle se dit qu'elle peut alors revenir à son questionnement de départ : 'Je vois bien que tu es prophète, alors dis moi où adorer Dieu ? Chez nous, au mont Garizhim ? vous, les juifs, vous dites qu'il ; faut adorer Dieu à Jérusalem! Qu'en est-il vraiment ? Nous sommes au cœur du message, cela n'a été possible parce que de part et d'autre une réelle volonté de s'écouter, de se comprendre, ont été vécues. Jésus peyt conduire cette femme à l'expression de sa recherche profonde. : celle d'un amour vrai qui se donne et valorise l'autre... dont Dieu doit être la Source ! La réponse de Jésus invite à un déplacement qui interpelle tout le monde : 'Femme, crois moi, l'heure vient où vous n'irez plus sur la montagne, ni à Jérusalem pour adorer le Père'... l'heure vient, et c'est maintenant- où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité. Cette réponse permet à la samaritaine de poursuivre sa recherche : 'Je sais qu'il vient le Messie, celui qu'on appelle Christ... Après cette expression de foi, Jésus ne peut que se faire reconnaître : Je le suis, moi qui te parle ! La fin du texte ne fait que confirmer la qualité de ce dialogue, puisque cette femme de retour au village informe de ce qui s'est passé... mais laisse à chacun ma porte entrouverte : 'N'est ce pas Lui, le Messie, le Fils de Dieu ?

Cette semaine, Anne Brassié nous emmène sur les pas de Sainte Opportune de Montreuil, une sainte importante du diocèse de Séez dans l'Orne.

Quand nous nous réunissons pour la messe, c’est un temps de joie, une action de grâce. Alors pourquoi est-ce que nous commençons par un acte pénitentiel ?La réponse du P. François Cléret qui en profite pour nous parler de la nouvelle traduction du Missel romain.

Cette semaine, Anne Brassié nous emmène sur les pas de St Brieuc, un des saints évangélisateurs de la Bretagne.

Sr Marie de la Trinité et Bérengère Melot du service de la catéchèse parle de foi aux enfants

Au cours de la messe, il y a un geste qui peut surprendre les participants peu habitués à la liturgie : c’est le geste de paix qui se traduisait, avant les règles sanitaires, par une accolade ou une poignée de main. Aujourd’hui nous le vivons d’une manière différente mais c’est peut être, justement, une bonne occasion pour en saisir toute la portée avec Fabienne Viala, membre de la pastorale liturgique.