Histoire de l'église en Franche-Comté - page 6

La vie religieuse des Vème et VIème siècles au milieu de bien des aventures et dangers : les invasions et le développement sous les mérovingiens.

On en termine aujourd’hui avec la vie si riche mais aussi si aventureuse de Jeanne-Antide Thouret. Elle la passera à Naples.

Nous retrouvons Jeanne-Antide à Besançon à la fin de la Révolution. Elle s’applique à mettre en place des activités charitables et d’éducation, au milieu de 1000 soucis de tous ordres.

Nous commençons aujourd’hui à évoquer une figure bien connue de la Comté et particulièrement dans le Doubs : Jeanne-Antide Thouret.
Nous la suivrons en 3 épisodes dans son invraisemblable parcours, dévorée par le souci de l’éducation des enfants pauvres.

Une pratique qui remonte aux Egyptiens, reprise par la tradition biblique et que l'Eglise a pratiqué sous différentes formes à travers les siècles.

Dernière émission de cette saison, la suite dans notre programme d'été à partir de ce lundi 10 juillet, tous les jours de la semaine à 17h30. Avant de rediffuser des émissions de l'année écoulée, Norbert Pétot et Michel Deblock, nous parlerons de Jeanne-Antide Thouret, une figure comtoise à la suite de la Révolution.

Notre avant-dernière émission avant les vacances d’été, nous la consacrerons à l‘évocation de la lèpre, maladie récurrente à travers les siècles en nos pays. Avec l'évocation de son traitement dans la ville de Besançon au 14ème et 15ème siècles.

Nous en terminons aujourd’hui avec le miracle de Favernay. Quel sort lui font les pèlerinages et congrès dans les siècles qui suivent la Révolution de 1789.

Après le miracle les 26 et 27 mai 1608, et sa reconnaissance par l’Eglise, les religieux et les paroisses s’emparent de l’événement et le mettent en œuvre au bénéfice de ses fidèles, et ce de diverses manières.

Le prodige accompli, on entend les témoins ; l’Eglise enquête et se positionne sur son authenticité. Le pape tranche.

On commence aujourd’hui l’évocation du miracle de Faverney, bien connu des Haut-Saônois. Nous y resterons pendant 4 émissions tant cet épisode qui se passe en 1608 va susciter engouement et interrogations.

Nous reprenons l’aventure initiée par Anne de Xainctonge à Dole, en ce début du 16ème siècle. Elle a demandé à l’archevêque de Besançon l’autorisation d’y établir « une compagnie de vierges pour vivre communément par ensemble » en se rangeant sous la règle de Saint Ursule.

On s’arrête aujourd’hui dans une petite ville du Jura : Poligny ; pour y observer la vie religieuse au 14ième siècle. La voir vivre dans la simplicité des jours.

On s’arrête aujourd’hui sur la figure d’une femme qui est obsédée par l’accès au savoir des jeunes filles pauvres dans la Comté du 16ès : Anne de Xainctonge.

En toute logique, après le développement de la Réforme protestante, voyons comment la Comté, en s’adossant à la Contre-réforme catholique, va réagir.

Penchons-nous aujourd’hui sur l’importance, toute relative, de la Réforme protestante, initiée au 16ème siècle par Luther puis Calvin, dans la Comté.

On aborde aujourd’hui le phénomène de l’Inquisition à laquelle l’Eglise s’est livrée du 13 au 18ème siècle à l’endroit des catholiques qui s’éloignaient du dogme.

Nous commençons aujourd’hui à évoquer une figure bien connue de Comté et particulièrement dans le Doubs. Jeanne-Antide Thouret.
Nous la suivrons en 3 épisodes dans son invraisemblable parcours, dévorée par le souci de l’éducation des enfants pauvres.

On en termine aujourd’hui avec la vie si riche mais aussi si aventureuse de Jeanne-Antide Thouret. Elle la passera à Naples.

Nous retrouvons Jeanne-Antide à Besançon à la fin de la Révolution. Elle s’applique à mettre en place des activités charitables et d’éducation, au milieu de 1000 soucis de tous ordres.

Nous continuons d’évoquer le parcours de Colette de Corbie, toujours aussi déterminée, désormais très en cheville avec les ducs de Bourgogne qui lui facilitent bien la tâche de réformatrice de la vie des couvents.