Artistes d'Occitanie

Un parcours de vie et artistique peu classique m’a conduite a être aujourd’hui insérée dans le paysage artistique d’occitanie :

- 2022 reportage par Alexandre Joanides pour France 3 Occitanie

2021 publication de mon travail dans « Les 30 Artistes d’Occitanie 2021 », édité par Artistes d’Occitanie.

L’émergence de mon goût pour le dessin et la peinture est très tôt nourri par une enfance dans une communauté d’artistes en Autriche.

L’art de la dérision et le pouvoir de l’absurde s’affine lors de ma formation et pratique de clown/comédienne sur scène et auprès d’enfants malades en Allemagne et en Espagne.

- 2007 premier Premier Prix du « Certament intergalactico del interior » au « Festiclown » à Saint Jaques de Compostelle.

J’ai eu la chance de pouvoir diversifier et renouveler mon savoir-faire technique auprès d’Alyssa Monks, Felicia Forte, Joan Ferco, l’Atelier of Realist Art et l’UB (Université de Barcelone- Faculté des Beaux Arts).

En 2017 j’ai obtenu le Certificat of Fine Art de la New York Academy of Art.

Johanne Cinier, originaire de Sète a étudié à l’École des Beaux-Arts de Sète, puis dans le stylisme/modéliste à Marseille. Elle intègre Givenchy et Arrow pendant 6 ans, puis viens le besoin de retrouver le temps à sa soif de création pour y peindre, dessiner, sculpter et associer toutes sortes de techniques. Elle rentre dans l’entreprise familiale afin de créer les pièces uniques de Cinier radiateurs, mais en parallèle laisse parler sa créativité et son imagination.

L’artiste américain Christopher Elliot a grandi aux Etats Unis sur la côte Est en Nouvelle Angleterre.

Diplômé en 1977 de l’école design Rhode Island School of Design, il travaille plusieurs années pour le cinéma et télévision dans le domaine des effets spéciaux et comme maquettiste des modèles miniatures à Los Angeles.

Elliot expose en France mais aussi aux Etats Unis, à Dubai, en Inde, en Irlande, en Suisse et en Pologne. En décembre 2015, il déménage avec sa femme à Ribaute, un village des Corbières où il installe son atelier de peinture.

Née à Adélaïde, en Australie, de parents estoniens, Chris Aerfeldt a obtenu une licence en enseignement artistique.

Elle a passé plus d’une décennie à perfectionner ses compétences en matière de couleurs et de design dans le secteur de la mode haut de gamme, en créant des vêtements uniques célèbres.

Aerfeldt a obtenu une licence en beaux-arts (avec mention) à l’Adelaide Central School of Art. Elle a reçu une bourse Samstag, ce qui lui a permis de se rendre à Londres pour obtenir une maîtrise en beaux-arts au Chelsea College of Art and Design.

Ses peintures s’inspirent des représentations des femmes dans l’histoire de l’art et de la photographie de mode contemporaine. Je revisite les thèmes de la maternité, du martyre et de la sainteté, en utilisant la métaphore et le symbolisme.

Mes femmes sont souvent représentées à l’extérieur, cherchant à s’évader de leurs quatre murs, même si leurs activités n’ont pas autant évolué qu’elles le voudraient.

Originaire d’Albi, Bé est une artiste qui s’exprime à la fois par la gravure et par la sculpture métal en ronde bosse ou en relief. Dans des techniques différentes, les œuvres se répondent néanmoins entre elles, formant un univers cohérent.

Grâce à ce coup de cœur, les organisateurs de la Foire vont donner l’occasion à l’artiste de présenter son travail au sein d’un espace d’expression qui lui sera consacré lors de l’édition 2024 d’Art Montpellier, la Foire méditerranéenne des arts contemporains, du 14 au 17 novembre, au Parc des Expositions.

Street artiste Toulousain et engagé (ses œuvres ont toutes un message sociétal ou politique), James Colomina est connu pour implanter, sans autorisation au préalable, ses sculptures teintées de rouge dans les espaces publics de la Ville rose, mais aussi dans celles du monde entier (Paris, Barcelone, Londres…).

Et à l’occasion des Jeux Olympiques 2024, ce dernier, âgé d’une cinquantaine d’années, a réalisé une nouvelle œuvre baptisée "Le pêcheur aux anneaux" qu’il a posée en hauteur dans une des rues passantes de l’hypercentre de Toulouse.

Solid’Art Montpellier, c'est le salon d’art contemporain du Secours Populaire, parrainé par l’artiste JonOne.

Au programme cette année, plus de 90 artistes et 1 500 œuvres vous attendent sur 1 800 m2 d'exposition : peintres, plasticiens, sculpteurs, dessinateurs, photographes, graveurs, pochoiristes, céramistes…

Solid'Art est un lieu de rencontre où amateurs d'art et artistes échangent et partagent, en toute simplicité et sans barrière, pendant 3 jours.
Sans oublier bien sûr LA SOLIDARITÉ, puisque grâce au Secours populaire, une œuvre achetée à Solid’Art, c’est un sourire pour un enfant !

Rendez vous les 20, 21 et 22 septembre au Zénith de Montpellier

Son travail invite à circuler dans un foisonnement urbain, des éclaboussures de couleurs et de formes. Il réinterprète les choses vécues dans les villes ou cités imaginaires. Emotions, rencontres, expériences sensorielles, graffitis, publicité, lumières…

Ecoutons Anne Devailly Rédactrice en chef, Artistes Occitanie, et Artistes Grand Ouest nous présenter cet artiste d' Occitanie qui nous vient du Lot

Son objectif est de créer une passerelle entre les arts traditionnels et numériques, pour amener le public à un sens nouveau de la contemplation et de l’appropriation mentale, symbolique et émotionnelle de la peinture ou de l’œuvre tridimensionnelle.

Découvrons cet artiste avec Anne Devailly, redactrice en chef du site artistes-occitanie.fr/

Sa démarche :
Chaque fois que, dans la montagne ou la campagne, il choisit une pierre pour la sculpter, un moment d’hésitation. Cette pierre est là, sortie des profondeurs de la terre depuis des dizaines de millions d’années, des millions de vies d’homme. Comment peut il oser l’enlever, sous le simple prétexte que sa matière et sa forme l' intéressent et l' inspirent.

6col est un collagiste classique: scalpel, ciseaux et colle. C’est en restant au plus près d’une technique artisanale que l’artiste rend compte d’un univers fragile et irrationnel. Vu l’état de la planète, son art colle au plus juste de ce que l’homme peut encore imaginer faire sur terre.

6 col a longtemps exercé comme graphiste indépendant. Un métier dans lequel on n’hésite pas à retoucher les images, revoir les couleurs, la lumière, les échelles entre les éléments, enlever les plis, etc. Tout est possible, même si les images du départ ne conviennent pas tout à fait.

> https://www.artistes-occitanie.fr/accueil-artistes/listing/6col/

>https://www.6col.fr

A partir de ces photos faites à la lumière naturelle, Leah BOSQUET dans son atelier imagine des diptyques, des triptyques, en associant des photos de différents marbres, pris à différentes distances, supprimant ainsi volontairement toute notion d’échelle ou de perspective.

Elle va réaliser des tirages sur des papiers classiques mais va également concevoir des tirages transparents pour en faire des installations lumineuses.

Cette artiste utilise de la peinture acrylique qui sert souvent de « sous-couche » pour les pastels à l’huile utilisés pour dessiner « par-dessus ». Elle a toujours eu du plaisir à voir une image, latente, et à la faire apparaître avec sa main sur du papier. Elle aime l’intimité et l’immédiateté de la création du dessin au trait

https://www.sarahbutsavage.com/

Ses petits êtres sont nés de la récupération (os, poupées, divers objets). A mi chemin entre la vie et la mort, l’humain et l’animal, le rire et les larmes mais toujours avec humour, tendresse et dérision.

Au travers de l’histoire de la peinture, l'artiste tente de mettre en place ce rapport entre la réalité du tableau et l’image qu’il représente et également dans la mesure du possible donner à ma production un caractère énigmatique, incertain.

Dans mes réalisations, la frontière, illusion / réalité est identifiée et matérialisée soit avec un tulle encollé, un voilage translucide, un verre, un transparent …

Installé dans les Montagnes Noires du Minervois,Gene Barbe ne représente pas le mouvement physique du paysage qui défile, mais plutôt le paysage mental qui envahit le passager, qui doit retenir un fragment de « choses vues » ici ou là.

Il en reste des formes, une gamme de couleurs, une atmosphère. Et pour intégrer encore davantage son quotidien minervois, l’artiste aime intégrer à ses toiles des traces de couleurs prises dans les vieux pots de peinture utilitaire qu’il récupère auprès des habitants du village. Les peintures existant dans l’histoire de Caunes se retrouvent ainsi fondues dans un paysage mental d’un des derniers habitants du village.