Lucarne

Né en 1950, ce créateur d’images iconiques et poignantes a fixé son objectif dans le monde entier, toujours centré sur l’humain, livrant ainsi un témoignage saisissant de notre époque.

Cette exposition recouvre près de 40 ans de carrière du photographe et illustre ses nombreux voyages, de l’Inde au Japon, en passant par le Pakistan et l’Asie du Sud Est. Le célèbre cliché de Sharbat Gula, la jeune Afghane photographiée par McCurry en 1984 dans un camp de réfugiés à Peshawar au Pakistan, est devenue une icône absolue de la photographie mondiale. Entre traditions ancestrales et cultures contemporaines, les clichés du photographe immortalisent des portraits et des paysages à la valeur aussi bien documentaire qu’artistique.
Réunis pour la première fois à Aix-en-Provence, ces clichés exceptionnels offrent aux visiteurs un voyage symbolique, une véritable histoire universelle faite de guerres et de poésies, de souffrances et de joies, mais aussi de surprises et d’ironies. À travers un parcours thématique et novateur, cette exposition évoquera notamment la fascination du photographe pour la mousson, thème très rarement abordé jusqu’à présent. L’exposition présentera des clichés récents jamais exposés en France, et se terminera par une projection saisissante rendant ainsi hommage à l’émouvant regard de l’artiste humaniste sur la beauté de notre monde.

Se définissant comme un « conteur visuel », Steve McCurry a été récompensé à de nombreuses reprises par des prix prestigieux comme le Robert Capa Medal, le National Press Photographers ou encore le Prix du World Press Photo.

Hôtel de Caumont Aix en Provence Du 8 novembre 2024 au 23 mars 2025

Né en 1950, ce créateur d’images iconiques et poignantes a fixé son objectif dans le monde entier, toujours centré sur l’humain, livrant ainsi un témoignage saisissant de notre époque.

Cette exposition recouvre près de 40 ans de carrière du photographe et illustre ses nombreux voyages, de l’Inde au Japon, en passant par le Pakistan et l’Asie du Sud Est. Le célèbre cliché de Sharbat Gula, la jeune Afghane photographiée par McCurry en 1984 dans un camp de réfugiés à Peshawar au Pakistan, est devenue une icône absolue de la photographie mondiale. Entre traditions ancestrales et cultures contemporaines, les clichés du photographe immortalisent des portraits et des paysages à la valeur aussi bien documentaire qu’artistique.
Réunis pour la première fois à Aix-en-Provence, ces clichés exceptionnels offrent aux visiteurs un voyage symbolique, une véritable histoire universelle faite de guerres et de poésies, de souffrances et de joies, mais aussi de surprises et d’ironies. À travers un parcours thématique et novateur, cette exposition évoquera notamment la fascination du photographe pour la mousson, thème très rarement abordé jusqu’à présent. L’exposition présentera des clichés récents jamais exposés en France, et se terminera par une projection saisissante rendant ainsi hommage à l’émouvant regard de l’artiste humaniste sur la beauté de notre monde.

Se définissant comme un « conteur visuel », Steve McCurry a été récompensé à de nombreuses reprises par des prix prestigieux comme le Robert Capa Medal, le National Press Photographers ou encore le Prix du World Press Photo.

Hôtel de Caumont Aix en Provence Du 8 novembre 2024 au 23 mars 2025

Un peu nostalgiques des années baba cool ? Collectionneurs d’imagerie de la pop culture indienne ? Amateurs d’artisanat et de bijoux du Rajasthan ?

Venez partager un moment de joie et de couleurs autour des gouaches polychromes rassemblées chez des imprimeurs indiens qui les avaient commandées à des artistes reconnus pour les dupliquer ensuite dans les calendriers très en vogue pendant la première moitié du XXe siècle en Inde.

Une jolie collection magnifiée par les cadres de Cécile Chappuis pour carton Noir, entourée des bijoux de Catherine Michiels et Rosa Maria, des objets d’artisanat d’art rapportés du Rajasthan par Retour De Voyage et des images de Denis Brihat et Hans Silvester.

Une exposition qui se tiendra à la galerie Retour de Voyage à l’Isle sur la Sorgue jusqu’à fin janvier.

La Fondation Blachère, à Bonnieux, présente l'exposition inédite "Kuvhunura : L’Écoled’Harare .

Cette exposition met en avant 25 peintres contemporains zimbabwéens qui font partie de l’École d’Harare.

Elle met en lumière la peinture contemporaine zimbabwéenne sur une période de quinze ans, de 2009 à 2024, et vise à promouvoir la culture visuelle des différentes traditions artistiques du Zimbabwe, qui se distinguent sous leur propre identité plutôt que sous une étiquette générique.

Après une période de difficultés politiques et économiques, l'art contemporain zimbabwéen a connu un essor remarquable, marqué par un renouveau artistique et une transmission de connaissances aux jeunes générations. Ces peintres ont dynamisé le paysage artistique après 2009, en valorisant la capacité de la peinture à transmettre des messages symboliques et engagé sur des questions sociopolitiques et culturelles, complémentant ainsi la renommée de la sculpture sur pierre qui était auparavant le symbole de la créativité du Zimbabwe.

Le titre Kuvhunura : kupinda ne mwenje mudziva, traduit du Shona signifie : la "mue" ou le renouveau en entrant avec une bougie dans un lac. Cette exposition narre l'histoire de cette renaissance artistique et met en lumière le travail des jeunes artistes qui ont contribué à l'évolution de l'art zimbabwéen contemporain pour en faire un mouvement à nul autre pareil.

Second volet de la trilogie «Symptômes du vivant», cette exposition interroge la relation entretenue par l’homme avec la machine, autrefois mécanique ou électronique et aujourd’hui algorithmique, dans un contexte de déploiement croissant des intelligences artificielles et de
grande porosité des frontières, fantasmée ou réelle, entre l’humanité, la robotique, la chair et le code.

Après un premier volet consacré au végétal, cette nouvelle exposition explore l’interaction homme-machine. Comment les artistes questionnent-ils la relation aux interfaces qui régulent nos existences à l’heure d’internet, des réseaux sociaux, des IA génératives et du Métavers ?

A travers un parcours émaillé d’oeuvres, d’objets et de films, l’exposition réunit 13 artistes d’horizons différents et autant de productions artistiques relevant de pratiques variées (installation interactive, automate, vidéo, photographie, robotique, animation, ….Ces oeuvres interrogent l’identité propre de l’homme, sa corporéité et son devenir, de l’obsolescence au transhumanisme. Elles invitent à se perdre là où la science et l’imaginaire se mêlent intimement.

Exposition associée à Chroniques, Biennale des Imaginaires numériques Du 7 novembre au 31 décembre 2024

Le Centre national du costume et de la scène, à Moulins dans l’Allier, conserve une prestigieuse collection de 10 000 costumes de scène, déposées par ces trois grandes institutions que sont la Bibliothèque nationale de France, la Comédie-Française et l'Opéra national de Paris. Il est la première structure de conservation, en France comme à l’étranger, à être entièrement consacrée au patrimoine matériel des théâtres et opéras.
Collection Noureev
L’espace permanent présente une exposition consacrée à Rudolf Noureev, l’un des plus grands danseurs du XXe siècle. La Collection dévoile des aspects de la vie personnelle et artistique de cet artiste à la carrière internationale exceptionnelle, dans une scénographie théâtralisée conçue par le décorateur, ami fidèle de Noureev, Ezio Frigerio.

En avril 2023 le CNCS s'est agrandi d'un nouvel espace "La Scène" dédié à la scénographie . D'une superficie de 2000 m², c’est un lieu d'interprétation de la scénographie théâtrale pour montrer au public l'envers du décor. Ces salles valoriseront les métiers des arts de la scène. Pour cette ouverture, Eric Ruf, administrateur général et scénographe est à l'honneur : maquettes, story-board, accessoires, vidéo et une partie du décor de Cyrano de Bergerac, dans la mise en scène de Denis Podalydès de 2006 à la Comédie-Française.

Le CNCS est ouverte tous les jours de 10h à 18h.

Le centre national du costume et de la scène à Moulins met à l’honneur un chorégraphe majeur de la nouvelle vague française de la fin des années 80, Philippe Decouflé, qui n’a cessé de créer des univers à mi-chemin de la danse, du cinéma et du dessin animé vivant. Chacune de ses productions, depuis Codex premier triomphe international, révèle des mondes burlesques, fantastiques.

Le parcours de l’exposition explore ces multiples planètes , chacune abordant un thème cher au créateur prodigue qu’est Decouflé.
Anatomique, Micro/Macro, Kaléidoscopique, Ombres, les vitrines révèlent les mondes chorégraphiés de cet enfant terrible de la danse française.

La dernière salle, clou du spectacle des expositions du CNCS, présente une trentaine des costumes les plus emblématiques des Jeux Olympiques d’Albertville. Ponctué de projections vidéo pour offrir aux visiteurs une expérience au plus près du mouvement et de dessins de Philippe Decouflé comme autant de journaux de bord de création, Planète(s) Decouflé est une ballade qui invite chacun à se plonger dans des paysages dansés sans pareil.

« Je n’aime pas faire de l’artificiel, j’ai besoin de beauté, j’ai besoin de pleurer lorsque je fais quelque chose. Je veux être touché et toucher les gens. Avec les Cérémonies des Jeux Olympiques, on changeait d’échelle, de dimensions certes. Mais il était important de garder en tête ce besoin d’émotion… Même dans un stade ». Philippe Decouflé
Extraits du catalogue Planète(s) Decouflé, une exposition Éditions Cinq Continents/CNCS

Du 25 mai 2024 au 05 janvier 2025

Léon Colombier (4 janvier 1869 - 30 mai 1960), est un artiste peintre qui adhéra au Groupe des Treize fondé par Clément Brun et à la Société Vauclusienne des Amis des Arts, fondée le 1er mai 1899.
« Colombier (et c’est sa marque propre) est le roi du contre-jour ; le roi des ciels fluides et verlainiens, mais d’un Verlaine qui serait du Midi » (Auguste Chabaud)

Pourtant, Léon Colombier est le Parisien de la « nouvelle école d’Avignon ». Installé à Roquemaure (Gard), puis à Avignon où il s’inscrit à l’école des Beaux-Arts présenté par Paul Saïn en 1894, son goût pour le paysage le conduit à s’établir à Cavaillon en 1916 d’où il portera son regard sur le Luberon.

Du 2 juillet - 31 décembre 2024 – Musée Vouland – Avignon

Du 02/07 au 22/09/2024 de 13h à 18h Fermé le lundi
Du 23/09 au 31/12/2024 de 14h à 18h Fermé le lundi
Horaires 24 et 31 décembre : de 14h à 17h
Fermeture 25 décembre

Dans la continuité des célébrations du Centenaire de la villa Noailles et de l’année du centenaire du manifeste du surréalisme, cette exposition propose d’explorer un aspect moins connu de la vie de Marie-Laure de Noailles.
Célèbre mécène, muse, icône de mode, figure mondaine, écrivaine et poétesse, elle se revendique pourtant artiste.

Des clichés pris au Clos Saint-Bernard à Hyères révèlent Marie-Laure de Noailles dans son atelier, où elle crée des œuvres initialement inspirées par Christian Bérard, un artiste ami qui a aussi peint son portrait. Elle élabore une œuvre picturale qui sera plus tard marquée par le surréalisme, usant d’un vocabulaire proche de ceux qui seront à la fois ses amis et ses pairs Dorothea Tanning, Max Ernst ou encore Oscar Dominguez. Avec ce dernier, avec qui elle entretient des liens étroits, elle explore notamment la technique surréaliste de la décalcomanie.

Personnalité excentrique, la vicomtesse de Noailles se joue des conventions ; elle incarne par sa personnalité autant que par son goût éclectique l’avant-garde des années folles.

Du 28 juin au 12 janvier 2025 VILLA NOAILLES, 47 Montée Noailles 83400 Hyères
Exposition ouverte du mercredi au dimanche
de 13h à 18h. Fermeture le lundi, le mardi et jours fériés Entrée libre Visites guidées du mercredi au dimanche à 15h sans réservations.

Accrochage des collections du musée Estrine.

Ayant délibérément fait le choix de montrer la peinture et les arts graphiques dans un contexte peu enclin à ceux-ci, à la fin des années 1980, les œuvres réunies dans la collection du musée Estrine ont infusé en un corpus scientifiquement légitime.

Vincent van Gogh a ouvert la voie à de nombreux autres artistes qui viendront à leur tour habiter ce territoire des Alpilles, formant un groupe riche par son hétérogénéité. Là réside la mission du musée Estrine : rendre compte de l’activité plastique qui a émaillé cette Provence sans toutefois se limiter à ses frontières en montrant une contemporaines, représentatives de 100 ans de peinture.

Le parcours des collections 2024 observera une progression thématique à travers les différents salons de l’Hôtel Estrine.

Plusieurs visites guidées seront organisées tout au long de l’année ainsi que de nombreux ateliers de pratique artistique pour les différents publics.

Du 17 février au 22 décembre 2024.

Formée à la sculpture par Ossip Zadkine, Marie-Pierre Thiebault (1933-2010) collabore en 1967 et 1968, en Algérie, avec l’architecte Fernand Pouillon. La lumière et les matières du sud la marquent profondément et constituent le socle de son travail.
Elle développera un lien intime avec la Nature qui se manifestera par une intégration progressive d’éléments glanés au sein même de ses compositions. Le corps est celui par qui tout passe, il occupe le cœur de sa pratique. C’est par lui que jaillit le geste mais c’est aussi lui qui imprime sa forme comme dans la série des Empreintes de pouce, seins ventre, etc. L’organique caractérise la sculpture de Marie-Pierre Thiebaut comme la réminiscence d’une pulsation originelle, un mouvement primaire incarné, une expansion vitale que nous reconnaissons comme l’évidence.

Sa relative discrétion sur le devant de la scène artistique en fait une artiste rare dont une partie
de l’œuvre s’est imaginée dans la garrigue provençale à côté de Gordes où elle avait installé une
maison- atelier. Marguerite Duras a été une des premières à reconnaître « la force et la grâce » de sa
sculpture dans un texte qu’elle écrit dès 1972.

Cette exposition à caractère rétrospectif, à Saint-Rémy-de-Provence, sur les terres provençales qu’elle avait choisies, rappellera les profondes conversations à l’œuvre dans son travail, ce va-et-vient permanent entre le moi et le monde dans ce lien indéfectible qui l’unissait à la Nature.

Une exposition qui se tiendra du 3 aout au 22 décembre.

La curiosité, objet de doutes, d’interrogations, mais surtout formidable moteur de recherches, constitue le fil rouge de l’exposition au Musée Angladon - Collection Jacques Doucet d’Avignon.

Pour la directrice Lauren Laz, c’est une nécessité, intimement liée à la vocation d’un Musée : étendre sans cesse la connaissance de ce que l’on conserve. Cette nécessité a poussé l’équipe du Musée à revisiter la totalité des collections, interroger les réserves, rouvrir les armoires, les tiroirs de cette demeure qui conserve un patrimoine constitué par plusieurs générations de collectionneurs : Jacques Doucet (1853-1929), grand couturier-collectionneur de la Belle Époque, puis Léon Dubrujeaud (1845-1920), son beau-frère, enfin Jean Angladon (1906-1979), petit-neveu de Jacques Doucet, et son épouse Paulette Martin (1905-1988), tous deux artistes avignonnais. Le fonds qu’ils ont constitué compte plus d’un millier d’œuvres et d’objets. Des trésors qui disent les regards à l’œuvre et entraînent le public sur les traces d’une curiosité vagabonde.

Exposition du 6 juin au 3 novembre 2024

Dans le cadre d’une démarche écoresponsable et de valorisation de la création contemporaine, le Mobilier national invite depuis trois ans des designers et des artistes à intervenir sur des pièces déclassées de ses collections, afin qu’ils s’en emparent et les transforment selon leur sensibilité.

À l’occasion du Festival Design Parade architecture intérieure, ces collaborations artistiques se poursuivent et s’invitent à l’Hôtel des Arts à Toulon. À partir d’une large sélection de tapisseries et de tapis de savonnerie contemporains issus des collections du Mobilier national et d’œuvres du Centre national des arts plastiques, en collaboration avec la Métropole Toulon Provence Méditerranée, la villa Noailles, le Centre Pompidou et le Musée des Arts décoratifs, l’exposition réunit près de 60 artistes designers et architectes d’intérieur à travers 68 oeuvres.

Ces artistes leur ont insufflé un nouveau souffle servi par la scénographie d’une grande beauté de Paul Bonlaron. Il a agencé les salles d’exposition comme les pièces à vivre d’une demeure fabuleuse où chacun des aliénés s’inscrit dans des tableaux visuels soulignés par des fresques décoratives ou des tapisseries magnifiques.

Une exposition qui se tiendra jusqu’au 3 novembre.

Dans la continuité d'une année 2023 emplie de légèreté et d’immatérialité dans l’univers de la Zéro Gravité, L’exposition DANS LA VAGUE, promet une nouvelle invitation à l’évasion, une plongée au cœur de l’élément aquatique en compagnie d'une vingtaine d'artistes contemporains invités par Campredon art & image.

En totale immersion et à contre-pied d'une actualité pessimiste, les artistes se mettent à rêver d'un paradis bleu. Ils rendent ici hommage à la puissance et la beauté de la nature, nous conviant à prendre de la hauteur ou accoster encore plus près.

L'édition 2024 explore un motif de la vague convoquant une grande richesse pluridisciplinaire, avec des créations emblématiques et productions inédites (art digital, art textile, gravure, vidéo, design, photographie, installation), articulées en quatre séquences : Blue therapy, Impermanence, Eau forte, La glisse.

Programme complet ici : www.campredonartetimage.com

Centre d’Art Campredon, l’Isle sur la Sorgue – du 30 mars au 6 octobre.

Fortes, lascives, fatales, soignantes, démoniaques, mythiques, les femmes ont été représentées de nombreuses manières à travers les siècles pour répondre à une vision patriarcale du monde.
Puisant dans les mythes originels jusqu’aux représentations les plus contemporaines ou subversives des corps féminins, l’exposition The Infinite Woman propose de remettre en lumière leur potentiel émancipateur, de la réappropriation du désir jusqu'à l’élévation des corps désobéissants qui bouleversent les conventions occidentales de la beauté et du pouvoir.
Tissant le récit d’artistes qui, quel que soit leur genre, ont su défier non seulement les normes sociales, mais aussi les limites de l’art et de ses catégories oppressives, l’exposition The Infinite Woman trouble les limites du genre et invite à une redéfinition des Féminités dans l’art.

De Sandro Botticelli a Judy Chicago en passant par Michael Armitage, John Currin, Loie Hollowell, Lisa Yuskavage, Lee Bul ou encore Martine Gutierrez et Billie Zangewa, l’exposition associe des oeuvres majeures de la Collection Carmignac (Sandro Botticelli, Roy Lichtenstein) avec des prêts exceptionnels (Louise Bourgeois / Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, Mary Beth Edelson / TATE), ainsi que des productions réalisées spécifiquement pour l’exposition (France-Lise McGurn).


L’exposition The Infinite Woman à la Villa Carmignac, sur l’île de Porquerolles, au large d’Hyères (Var), se tiendra du samedi 27 avril au dimanche 3 novembre 2024, sous le commissariat d’Alona Pardo.

Si vous traversez le centre-ville de Carpentras, ouvrez bien les yeux, vous pourriez y découvrir des œuvres de l’un des street artistes les plus connus du monde. Célèbre pour ses portraits de Simone Veil, Christiane Taubira, Lucie Aubrac ou encore Missak Manouchian, Christian Guémy, alias C215, utilise la technique du pochoir.

L’exposition « C215 autour de l’Inguimbertine »est composée de deux parties. La première dans la galerie d’honneur de l’hôtel-Dieu présente une rétrospective de sa carrière et la seconde est à découvrir dans tout le centre-ville. Elle est consacrée à son interprétation des œuvres présentes dans la collection permanente de l’Inguimbertine.
Cette exposition est l’occasion de poursuivre l’œuvre de Malachie d’Inguimbert qui soutenait les artistes de sa génération. Cet art contemporain d’alors qui orne aujourd’hui les plus belles salles des musées français.

Une exposition qui se déroulera du 1er juin au 30 octobre 2024.

Cette année, pour sa 14 ° exposition, la Fondation Villa Datris ,à l’Isle sur la Sorgue, explore la vision du corps par 66 artistes, franc?ais(es) et internationaux(ales). La diversité des œuvres soigneusement sélectionnées par Danie?le Kapel Marcovici et Ste?phane Baumet gagnent les espaces a? échelle humaine de la villa et de ses jardins.

Dans le contexte du retour ple?biscite? de la peinture figurative, la fondation présente, elle, la scène exhaustive de la figure dans la sculpture actuelle.

Une exposition qui se tiendra du 19 mai au 3 novembre.

Cette année, pour sa 14 ° exposition, la Fondation Villa Datris ,à l’Isle sur la Sorgue, explore la vision du corps par 66 artistes, franc?ais(es) et internationaux(ales). La diversité des œuvres soigneusement sélectionnées par Danie?le Kapel Marcovici et Ste?phane Baumet gagnent les espaces a? échelle humaine de la villa et de ses jardins.

Dans le contexte du retour ple?biscite? de la peinture figurative, la fondation présente, elle, la scène exhaustive de la figure dans la sculpture actuelle.

Une exposition qui se tiendra du 19 mai au 3 novembre.

C’est un enjeu que d’aborder une œuvre d’une richesse si exceptionnelle qui regroupe autant de médiums dans lesquels Alfred Latour (1888-1964) a excellé. De son vivant Alfred Latour est d’abord connu et reconnu pour sa pratique de la gravure, du livre illustré, ainsi que pour la création textile pour de grandes maisons lyonnaises, sa peinture et son œuvre dessinée.

Sa pratique de la photographie, peu connue du public, est néanmoins un outil essentiel à son travail artistique. Par son regard, il a produit une véritable œuvre photographique découverte en 2016.

Le travail de recherche mené par les partenaires de l’exposition (Fondation Alfred Latour de Lausanne, musée des Tissus et des Arts décoratifs de Lyon, musée Réattu d’Arles), aborde l’œuvre au travers d’un prisme, qui révèle l’imbrication permanente et les allers-retours entre les différents modes d’expression : dessin, gravure, peinture, photographie, tissus. Le parcours de l’exposition présentant plus d’une centaine d’œuvres, repose sur un dialogue fructueux entre ces pratiques artistiques, montrant comment l’artiste a pu passer d’un médium à l’autre, alimentant son regard et son goût pour les formes et la ligne.

Une exposition qui se tiendra au musée Réattu- Arles du 26 avril au 6 août.

À travers cette exposition, le public pourra (re)découvrir les oeuvres de Bonnard ainsi qu’une sélection d’estampes japonaises provenant de la prestigieuse collection Leskowicz, afin de bien comprendre comment le style de Bonnard fut marqué jusqu’au bout par les concepts et l’esthétique japonais.

Une présentation scénographique dynamique permettra de montrer comment des oeuvres d’artistes aussi éloignés dans le temps, l’espace et la culture, soulèvent des questionnements esthétiques proches et expriment des idées, des émotions, des situations présentant de nombreux points communs.
Très tôt, le Japon aura mis Bonnard sur la voie de la couleur, de la lumière, de l’instantané et de l’expression des sentiments éphémères.

Sous la direction d’Isabelle Cahn historienne d’art et directrice du musée Bonnard au Cannet, une exposition qui se tiendra du 3 mai au 6 octobre à l’hôtel de Caumont d’Aix en Provence.