Histoire de Belfort-Montbéliard - page 5

Qui est le colonel Denfert-Rochereau, dont nous célébrons le bicentenaire de la naissance cette année ? On revient sur sa famille protestane, ses études. Ses diffèrentes affectations, son mariage avec la fille du pasteur de Bavans. Bien sûr on évoque le siège de Belfort (1870), et enfin sa carrière politique et son décès à 55 ans.

Vincent Auriol, Charles De Gaulle, François Mitterand, Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron : ils sont tous venus en visites présidentielles à Belfort, mais que venaient-ils faire dans la région ? Réponses.

Les problèmes dans l'histoire liés à l'eau dans le Territoire de Belfort c'est les inondations, les maladies, la pollution. Mais l'eau est aussi une "amie" : force motrice pour l'industrie, eau potable pour la population.

Les mines dans le Territoire de Belfort c'est l'histoire des mines de plomb argentifère dans le pays sous-Vosgien, du côté de Giromagny, et les mines de fer en surface et en profondeur, du côté de Roppe et Châtenois-les-Forges. Tous les détails avec Jean-Christophe Tamborini et Jean-Marie Bressot.

L'histoire de la presse locale est liée aux lois nationales relatives à la presse, par exemple celle de 1881. À Belfort c'est le journal "La Frontière" en 1882, "La Croix de Belfort" en 1890. En 1903, "L'Alsace", en 1913 "Germinal" et en 1928 "L'Est Républicain". Un mot aussi de la presse catholique.

Et cela se fait en fonction de la production. Accompagnés des logements pour les ouvriers, pour les cadres, pour les patrons. Enfin, cela donne naissance à de nouveaux quartiers comme "St Joseph".

L'armistice de 1918. Avec le rôle du président Wilson, du capitaine Hengy de Valdoie et du caporal Seiller de Beaucourt. Le 11 novembre 1918 dans les rues, c'est la liesse.

Dans le Territorie de Belfort après 1870, on peut noter les implantations depuis Mulhouse de la Société Alsacienne de construction mécanique : locomotives, dynamos, etc. Pendant la guerre de 14-18, on produit du matériel de guerre. Après la guerre de 39-45 : le TGV... En 1960, l'informatique chez Bull.

Dans le Territorie de Belfort avant 1870, on peut noter la présence de l'industrie textile et métallurgique. L'une manuelle puis mécanique, l'autre dédiée au tréfilage, à la boulonnerie, puis aux hameçons. La proximité avec la Suisse permet de produire aussi des pièces d'horlogerie.

L'arrivée des juifs se fait en 1648. On évoque l'accueil par la population, leur travail, le nombre de familles. En 1850, c'est la construction de la synagogue, qui sera détruite pendant la guerre en 1939-1940. Sa rénovation est prévue dans les années à venir par la Fondation du Patrimoine.

L'année 1870 est une année charnière. Il y a des objectifs pour le sport à l'école, dans les collèges et les lycées. On note la création de sociétés sportives dans tout le département. Les sports sont divers : marche, gym, cyclisme, ski, etc.

Nous sommes en 1923, une école d'apprentissage voit le jour à l'Alsthom : comment se déroule la formation ? Quelle est la durée des études ? On parle des élèves, des enseignants, de la pratique, de la théorie... Et des autres écoles techniques : l'Ecole pratique des garçons en 1930, le centre de formation des apprentis en 1974. Et enfin du lycée technique ouvert en 1961.

Ludovic-Oscar Frossard (1889-1946) est mis au placard. On fait sa biographier d'homme politique (maire, député, ministe, secrétaire de la SFIO). Il n'est pas toujours bien vu, ni bien jugé, pour ses idées révolutionnaires et antimilitaristes. Il fut donc actif sous le Front Populaire mais aussi sous le Régime de Vichy...

Avec les lois Jules Ferry de 1880, l'enseignement devient obligatoire. On parle de l'enseignement après la guerre de 1914, de la concurrence avec le privé pour ensuite arriver à 1959 : la réforme Berthouin, puis en 1975 les lois Haby du collège unique.

Comme le lycée la dernière fois, on parle de son histoire, ses élèves, ses enseignants, le recrutement : "les régents", on évoque les disciplines enseignées dont la religion. Et enfin, son devenir après 1873.

Voici l'histoire du quartier des Résidences à Belfort. Pourquoi a-t-il été construit ? Avec 300 logements, c'était une véritable agglomération secondaire. Avec une véritable vie de quartier "autonome", avec de nombreuses structures commerciales et culturelles. Et enfin, la construction de l'église Ste Jeanne Antide.

Cette semaine une émission sur la situation industrielle dans le Territoire de Belfort en 1892. Alors nous allons parler de brasserie/charcuterie. Du textile dans le pays sous-vosgien. On évoque aussi la question des salaires et du temps de travail.

À travers les élections municipales de 1900 à Belfort, nous découvrons les différents journaux locaux de l'époque avec leurs tendances politiques et leur contenu, en particulier "La Frontière" du jour avec les faits divers au tribunal et autres récits de voisinages...

À travers ses portraits, c'est le rôle des femmes pendant la guerre de 1914-1918 qui apparaît : infirmières ou ouvrières. Dans la région de Belfort, on peut évoquer les noms de Louise Viellard, de Mme Engel ou encore d'Émilie Mottet. Évidemment, cela amène à parler de leur place et de leur rôle dans la société et donc par exemple de leur droit de voter.

Ou la fin de la peine de mort. Rappel de la loi de 1981 avec le rôle de Robert Badinter, Raymond Forni, et Michel Dreyfus-Schmitt. On raconte l'histoire du dernier condamné à mort, italien, du Territoire de Belfort : Pozzi. Le procès a lieu à Vesoul, son exécution publique à Belfort, les journaux locaux réagissent.