Toutes les semaines, dans "L'éco des solutions", Patrick Lonchampt s'intéresse à une problématique économique et à ses solutions. Interview, portrait, reportage autant de possibilité pour découvrir ces entrepreneurs du changement. Le programme se décline sur le web où tous les mois vous pouvez retrouver l'intégralité de nos échanges et de manière indépendante le portrait et le reportage.
La France est le leader européen du secteur avec un marché estimé à 568 millions d'euros en 2022. L'Allemagne et le Royaume-Uni complètent le podium. La force principale du marché national est l’attrait des joueurs français pour les jeux de société. En effet, 91% des Français jouent régulièrement aux jeux de société ; ce qui fait d'eux l'une des populations les plus friandes au monde de ce type de divertissement. Avec une volonté affichée du made in France et de L'éco responsabilité.
Dans le paysage économique français, l'industrie et la métallurgie représentent des piliers historiques, essentiels à la prospérité et à l'innovation. Cependant, ces secteurs font face aujourd'hui à un défi majeur : renforcer leur attractivité dans un monde en constante évolution. Alors que les nouvelles générations aspirent à des carrières qui allient sens, innovation et responsabilité environnementale, l'industrie doit se réinventer pour séduire et retenir les talents.
Cette semaine, comme chaque mois, nous partons à la rencontre d'un acteur du changement, d'un visage d'entrepreneur. Aujourd'hui, je souhaite vous faire découvrir ou redécouvrir Dafna Mouchenik, qui est à l'origine de Logi Vitae, une PME au service des plus fragiles. On les appelle les auxiliaires de vie, les aides ménagères, les aides à domicile… Nous avions reçu Dafna il y a quelques années à l'occasion de la sortie de son premier livre, 'Derrière vos portes'. Il y en a eu ensuite deux autres dont 'Première Ligne', qui nous raconte tout le travail réalisé par ces hommes et ces femmes durant la COVID. Marie Basile, aide à domicile chez Logivitae, et héroïne du livre 'Femme de lien', raconté par Vincent Jarousseau sera notre invitée dans nos 7 minutes pour changer le monde
Il y a des conflits qui durent et qui laissent des traces. Celui-ci fête aujourd’hui ses 50 ans. Il ne s’agit pas du conflit entre Israël et la Palestine. Ce conflit a eu lieu il y a 50 ans, pour être précis, dans le domaine de l’industrie horlogère. On l’appelait le conflit Lip, tout simplement parce qu’il y a 50 ans, cette entreprise était au bord de la faillite. Des salariés se sont levés pour créer une coopérative et reprendre en main le destin de leur propre outil de travail.
Dans le tableau de notre époque, où les hommes se perdent souvent dans le labyrinthe de leurs propres ambitions, il est rare de rencontrer un personnage tel que Philippe Royer. Philippe Royer, avec la foi pour boussole et la bienveillance pour voile, navigue dans les eaux tumultueuses du monde moderne tout au long de son parcours professionnel, Transformant un groupe coopératif en profondeur tant sur le management que sur l’activité économique. Il reprend avec les salariées une librairie en déclin pour en faire phare culturel qui sera par la suite cédée à l'enseigne de la Fnac, montrant que l'entreprise peut être un acte de création, un moyen de redonner vie à ce qui semblait perdu. À la tête des Entrepreneurs et Dirigeants Chrétiens, il a prêché, non pas avec des mots, mais par l'exemple, pour une économie du bien commun.
Au cours des dernières décennies, l'industrie française a été profondément impactée par la mondialisation et la quête incessante de réduction des coûts. Cette dynamique a contraint de nombreuses entreprises à fermer, délocaliser ou transférer une partie de leur technologie pour rester compétitives. Certaines ont résisté, tels des villages gaulois, tandis que d'autres ont choisi de rapatrier leur production en France. Néanmoins, la compétitivité sur un marché mondialisé demeure un défi majeur. Comment, dès lors, l'industrie française peut-elle regagner en compétitivité ? Quelles stratégies adopter pour réindustrialiser la France ? Faut-il explorer de nouvelles voies, comme les giga-factories, ou soutenir les entreprises traditionnelles qui ont bâti la renommée de notre industrie ? Et quel rôle les territoires jouent-ils dans cette transformation ? Autant de questions auxquelles la nouvelle convention collective de l'UIMM tente de répondre et de permettre à l'industrie et la métallurgie française de tirer son épingle du jeu.
Les Français ont souvent tendance à éprouver ce que l'on pourrait appeler un 'syndrome de l'imposteur', particulièrement lorsqu'il s'agit d'évaluer leur propre capacité à produire et à innover. Cette perception est cependant une erreur monumentale. En effet, une visite dans les allées du Salon du Made in France suffit pour constater, avec une fierté légitime, que l'industrie et l'artisanat français sont florissants. Dans ce salon, se côtoient harmonieusement des marques ancestrales qui ont bâti et continuent de contribuer au rayonnement de la France. À leurs côtés, de jeunes entreprises émergentes s'installent peu à peu, notamment dans le secteur textile, tandis que des startups prometteuses laissent entrevoir un avenir radieux pour notre industrie, suggérant qu'elle est sur la bonne voie.
La finale de la coupe du monde de Rugby ayant lieu demain, Franck Mesnel, ancien joueur et cofondateur de la marque Eden Park, était l'évidence même pour notre série de visages d'entrepreneurs. Des pelouses vertes aux podiums de la mode, il retrace son parcours de sportif et de chef d’entreprise au micro de RCF.
Actuellement au Sénat depuis quelques jours, le débat sur la loi d’immigration a commencé. Au cœur de cette loi, une interrogation fait la une de tous les médias faut-il oui ou non corréler la régularisation des sans papier à l’acceptation de travailler dans les métiers répertoriés comme en tension. Question centrale certes, mais restreignant l’immigration aux sans papier ou aux demandeurs d'asile alors que la notion d’immigration est nettement plus large selon la définition de L’INSEE. Les a priori sont lourds et l’on stigmatise rapidement le migrant à une seule chose, la charge économique supplémentaire, à un poids économique. Mais qu’en est-il réellement ? Selon Ekrame Boubtane docteur en science économique et spécialisée sur la question du rapport entre économies et immigration s’il y a en effet des efforts budgétaires réel réalisé par l’État pour l’accueil ses travaux démontrent que pris dans l’ensemble l’immigration participe à la vie économique du pays et est globalement positif.
À la suite de la pandémie de COVID, le gouvernement a largement souhaité inciter et insister sur la nécessité pour la France de voir son économie et son industrie reprendre des couleurs. Bien évidemment, le secteur de l'industrie et de la métallurgie n'a pas attendu les annonces gouvernementales pour prendre conscience de la nécessité d'adapter son cadre social à la mutation du secteur. C'est pourquoi, en janvier 2024, l'ensemble du secteur de l'industrie et de la métallurgie française adoptera une nouvelle convention collective. Une convention qui a été repensée en profondeur et plus particulièrement en ce qui concerne les descriptifs de poste et les cotations d’indices. Une nouvelle convention collective qu'il a fallu appréhender pour les services RH qui ont cette double casquette à la fois de l'intégrer dans leurs processus et de la vulgariser pour l'ensemble des collaborateurs.
En mai 2019, le pape François s'adressait aux jeunes du monde entier en leur demandant de réanimer l'économie. Trois ans après, Dans la ville d'Assise, le pape invite de jeunes professionnels du monde entier à réfléchir l'économie de François. Le mouvement « Economy of Francesco » est donc lancé à travers le monde avec une vision mobiliser les énergies de la jeune génération vers un changement d’OS économique et financier. Mais que recouvre réellement cette « économie de François » Est-ce à la jeunesse de réinventer des modèles économiques et financiers ? Autant de questions qui sont adressées à la jeunesse et auxquels certains comme Mathilde Montovert et Alexis Ferté se sentent le devoir de répondre. Le pape François leur affirmant qu'il y a d'abord « urgence de reconstituer le capital spirituel », qui est «essentiel», et qui «génère une joie de vivre nécessaire à l'économie».
Augustin de Romanet l'actuel PDG du Groupe ADP (Aeroport de Paris) nous livre son visage d’entrepreneur au travers de son parcours personnel, professionnel et intérieur dans un échange exclusif de 58 minutes. Il a 62 ans, mais c’est dès l’âge de 12 ans, nous confie-t-il, qu’ils s’intéressent à une carrière dans l’administration. Marquée qu'il est par la notion de service et d’engagement de ses grands-parents durant les deux premières guerres mondiales. Il fera SC PO et l’ENA et sera tour à tour, à la direction du budget, membre de différents cabinets ministériels, secrétaire général adjoint de l’Élysée sous Jacques Chirac, puis dirigera la Caisse des dépôts pour devenir en 2012 le PDG du group Aéroport de Paris. Même si au plus profond de lui-même, il aurait aimé être explorateur ou entrepreneur.
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