Accompagner les personnes concernées par les troubles anxieux, le trouble bipolaire et la dépression sévère.
Les aidants (familles, proches, amis...) accompagnent au quotidien les personnes concernées par les troubles psychiques. Ils sont là en cas de crise, aident pour els démarches si nécessaires, et soutiennent l'espoir. ils nous sont indispensable.
La rentrée est une période de changement : mode vestimentaire, programmes tv, air du temps... Ces changements sont éprouvants pour les perosnnes concernées par les troubles psy ; le GEM Médiagora Bordeaux propose un espace d'échange pour mettre en commun nos stratégies afin de mieux "vivre avec".
L'état dépressif nous coupe du monde, de nos sensations, de nos sentiments et jusqu'à nos sens. C'est aussi l'opportunité de réaliser, lorsqu'on en guérit, la richesse de chaque instant de vie.
Nous, personnes concernées par les troubles psy, nous demandont à être acceptes avec leurs singularités. Mais pour cela, encore faut-il que nous fassions ce même chemin : accepter nos propre différences.
En ce début d'année, beaucoup de personnes se fixent des bonnes résolutions. Mais attention à ne pas tomber dans le piège des objectifs irréalistes ou qui ne nous correspondent pas. Pour que vos résolutions soient durables, il est essentiel de prendre en compte vos besoins réels et de vous fixer des objectifs qui vous procurent du plaisir et du bien-être.
La crise sanitaire liée à la Covid-19 a mis en lumière l'importance de la santé mentale, mais les préjugés et les stéréotypes persistent. Or, la souffrance psy est une réalité complexe et individuelle qui ne peut être ni jugée ni minimisée. Ensemble, cultivons l'écoute, la compassion et l'empathie pour les autres et pour soi-même.
La qualité de nos relations dit quelque chose de nous. D’une certaine manière, elles sont le reflet de notre équilibre, et donc de notre santé mentale. Dans cette édition de Santé mentale etc, nous vous proposons une visualisation de cet équilibre. Car ce qui compte c’est d’être acteur ; mais pour cela encore faut-il savoir ce que l’on veut…
Étre concerné par le trouble psychique isole, car il n'est pas possible d'échanger de façon productive et réparatrice sans partage d'expérience. Et pourtant, il nous faut bien avoir une vie sociale et aussi, faire reculer coûte que coûte cette stigmatisation que nous payons si cher.
Vos pensées négatives vous font plus de mal que vous ne le pensez. Si elles vous empêchent de vivre pleinement, il est important d’accepter qu’elles ne vous définissent pas. L'acceptation, ce n'est pas se résigner, c'est se donner la chance de guérir.
Avoir la révélation du trouble ou du handicap psychique est un moment douloureux. Mais c'est aussi, et peut-être surtout, la possibilité de mettre des mots sur ce qui entrave, et enfin se donner la possibilité de vivre avec.