Couple et Famille

Depuis plus de 10 ans, des sans-abris et des jeunes actifs vivent ensemble dans les colocations solidaires Lazare qui mettent la rencontre au coeur de la reconstruction des personnes. Cette expérience a déjà transformé de nombreuses vies.

Les maisons Lazare sont présentent dans 11 villes et France, et le projet montpelliérain, porté par Yann et Elodie de Courville, va démarrer en septembre dans une maison située au Plan des Quatre Seigneurs, mise à disposition par le diocèse après le départ d’une communauté de franciscaines.

Yann et Elodie nous témoignent de leur appel à cet engagement, malgré une vie familiale et professionnelle très active. Ils précisent leurs besoins: recruter 5 jeunes actifs pour accueillir 5 hommes sans-abris, et solliciter la générosité de donateurs pour équilibrer le budget de cette maison, qui ne bénéficie d’aucun financement public.

Infos: https://www.lazare.eu

Yann et Elodie de Courville témoignent de leur parcours de couple: leur long temps de fiançailles ayant permis de s’ajuster l’un à l’autre, les premières années surchargées par les engagements professionnels, un long séjour professionnel en Colombie qui leur fait découvrir un autre style de vie.

La naissance de leur troisième enfant, porteur de trisomie 21, et son accueil par une population joyeuse et profondément croyante, leur retour en France avec un « atterrissage » difficile. Yann et Elodie font aujourd’hui partie de l’équipe de préparation au mariage des fiancés à la paroisse Sainte Bernadette. Ils sont le couple référent du projet de
Maison de Lazare qui va démarrer à l’automne. Ils nous le présenterons lors d’une prochaine émission.

En 2022, le pape François a préfacé un document proposé par le dicastère pour les laïcs, la famille et la vie, intitulé « Itinéraires catéchuménaux pour la vie conjugale ». Il s’agit de proposer une préparation au mariage de type catéchuménal, comme pour le baptême, avec trois phases:

-la phase pré-catéchuménale, qui commence dès l’enfance,
-une phase intermédiaire de quelques semaines à quelques mois qui est une initiation au sacrement, et une première annonce joyeuse du kérygme. Cette phase s’achève avec un rituel d’accueil par la communauté chré tienne.
-Suit la phase catéchuménale proprement dite qui dure une année pendant laquelle sont proposés la prière, la catéchèse et la participation à la vie de l’Eglise. Un travail est réalisé sur la relation au sein du couple, avec un accompagnement et le témoignage de couples « expérimentés ».
A la fin de cette étape est le rite des fiançailles, célébrant la certitude intérieure du couple de leur appel au mariage chré tien.

La préparation immédiate du mariage implique personnellement les fiancés qui ne sont pas spectateurs mais ministres du sacrement.
-Le document porte une attention particulière aux premières années de vie conjugale car le couple est un « projet ouvert » et non une « oeuvre achevée ». L’accompagnement des couples en crise se doit d’être un service pastoral, de même l’accueil par l’Eglise en cas de séparation.

Geneviève et Michel Voisin échangent aujourd’hui sur un ouvrage de Marion Muller-Colard, Les grandissants, qui, avec profondeur et humour, évoque la période de l’adolescence.

L’auteur est protestante, théologienne, et auteur de plusieurs ouvrages de spiritualité. En se basant sur la parabole du fils prodigue et avec beaucoup de pertinence, elle évoque cette étape pas toujours facile pendant laquelle l’adolescent fait valoir son autonomie et fait l’expérience de la solitude.

Elle montre en quoi cela peut générer de la peur et de l’inquiétude chez les parents... qui, pour l’auteur, doivent rester eux-mêmes des grandissants.

A l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, nous échangeons aujourd’hui avec le Dr Jean-Pierre Bénézech, médecin de soins palliatifs au CHU de Montpellier. Après un rappel historique sur les temps où la mort faisait partie de la vie et était prise en charge par toute la communauté, les pratiques actuelles sont analysées : la grande majorité des personnes meurent à l’hôpital, où sont parfois mises en pratique des mesures thérapeutiques disproportionnées. La mort à la maison est l’idéal, mais difficile à mettre en pratique dans une société qui ne privilégie plus la relation.
Quelques pistes sont analysées, visant à recréer une dynamique de village, avec une communauté de "croyants en l’humain" qui accompagnent. C’est un véritable projet de société, cohérent par rapport aux préoccupations écologiques actuelles.

Jean-Pierre Bénézech. Mourir à l’ancienne. Ars moriendi pour aujourd’hui. Sauramps médical Ed 2023.

L’engagement, c’est d’abord le sacrement de mariage qui, au même titre que le sacrement de l’Ordre, est une consécration. L’engagement, c’est d’abord dans sa famille, pour en faire une petite église, une ecclesiola. C’est aussi, aller en couple annoncer au monde la Bonne Nouvelle du Salut.
Charles-Edouard et Hélène témoignent de leur parcours de parents, des engagements qui les a aidés dans leur vie: les Equipes Notre Dame, la communauté des Béatitudes, de leur engagement comme couple missionnaire dans la Communion Priscille et Aquila, de leur insertion dans la paroisse, de leur expérience de la pastorale des funérailles. Ils sont dans la logique de l’exhortation du pape François en 2015: « désormais, j’invite les couples à la mission et à s’engager davantage ».

Traditionnellement, une messe solennelle regroupe les Equipes Notre Dame le 8 décembre, fête de l’Immaculée Conception.
Dans la perspective de cet évènement, Pierre-Yves et Sophie Cozon,
responsables des Equipes pour l’Hérault, nous présentent le mouvement, fondé en 1938 par le père Caffarel.
Il y a dans l’Hérault 20 équipes, avec 200 équipiers et 16 conseillers spirituels.
Une vingtaine de jeunes couples ont intégré le mouvement ces deux dernières années, le brassage des générations étant une vraie richesse. Les piliers du mouvement sont évoqués: spiritualité conjugale, entre-aide fraternelle, points concrets d’effort, et le fonctionnement d’une équipe précisé. « J’appelle désormais les couples à la mission » a déclaré le pape François lors d’un rassemblement des END à Rome en 2015.
Dans un monde où le mariage et la famille sont maltraités, le témoignage en couple est essentiel.

Au terme de leur carrière professionnelle, les enfants ayant quitté la maison, Sophie et Jean-Marc ont besoin d’un temps de réflexion et de prière et décident de partir sur les chemins de Saint Jacques, à partir de leur domicile, en empruntant le « camino » d’Arles. Ils nous racontent leurs inquiétudes avant le départ, et nous cheminons avec eux sur les 1300 km qui les séparent de Compostelle. Proximité du Seigneur, émotion, gratitude, belles rencontres marquent les moments forts. Orages, chemins boueux non praticables, solitude, faim, douleurs multiples sont aussi au rendez-vous... jusqu’à l’arrivée dans la basilique qui leur permet, dans un « abrazo », de remettre toutes leurs intentions à l’intercession de l’Apôtre. Oui, concluent-ils, il y a un avant et un après
Compostelle, en nous montrant fièrement leur « crédential ».

Ludovine de la Rochère est mère de 4 enfants. Après avoir été enseignante puis responsable de communication à la Conférence des Evêques de France, elle a participé à la création du mouvement « La manif pour tous », qu’elle préside depuis plus de 10 ans. L’objectif était alors de mobiliser pour réagir à la révolution anthropologique en cours autour de la famille et du mariage.
Elle nous présente le « Syndicat de la Famille », de création récente, qui vise à alerter, mobiliser, influencer, former, en réaction à des projets de réformes sociétales toujours plus délétères pour le bien-être du couple, de l’enfant, de la personne tout simplement. Le Syndicat de la famille se veut une force de proposition.

Paul et Béatrice Regnier Vigouroux étaient tous deux médecins à Nîmes. Les enfants ayant quitté la maison, à 60 ans, ils ont fait un pèlerinage entre Saint Michel del Gargano, au sud de l’Italie, et le Mont St Michel, pour discerner ce que le Seigneur attendait d’eux. « Accueil » et « répit » sont les deux pistes qui leur ont été données.
Ils ont alors tout lâché à Nîmes, créé à Vallouise Saint Antoine dans les Hautes Alpes une structure d’accueil : les Chalets de répit Saint Michel, qu’ils nous présentent dans cette émission. Ils ont comme objectif de proposer des temps de répit aux familles d’enfants présentant divers type de handicap.

Jasmine et Aymeric sont parents de 5 enfants. Ils sont en service d’Eglise, et les missions qui leur ont été confiées les ont amenés à Madagascar, puis dans le diocèse de Toulon, dans centre d’accueil de SDF, et enfin, depuis un an à l’Ecole d’Evangélisation CapMissio à Montpellier.

 

Ils témoignent de l’appel qu’ils ont ressenti, sept ans après leur mariage, alors qu’ils étaient bien insérés dans la vie sociale et professionnelle, de la confiance totale au Seigneur qu’il a fallu pour un tel engagement. Ils présentent leur mission actuelle, au service des jeunes « CapMissionnaires », dans leur paroisse, dans laquelle ils ont organisé en Novembre 2022 un « 10 heures chrono pour les couples », journée qui permet aux participants de relire leur engagement de couple avec l’éclairage de l’Esprit Saint.

 

Enfin, ils présentent la Communion Priscille et Aquila, communion de couples missionnaires dans laquelle ils sont engagés, et qui est à l’initiative d’un certain nombre de propositions: journées des fiancés, cénacles de couples, session annuelle de formation à la mission en couple.
https://www.communion-priscille-aquila.com

Marie-Laure et Marcelo Pessoa ont participé à la rédaction du livre « Zoom sur la vie de couple », coordonné par Dominique Fily. Il est le prolongement d’un parcours de formation à distance mis en place pendant la pandémie de COVID-19 par le mouvement « Familles Nouvelles » branche des Focolari.
Dans la vie de couple, rien n'est jamais gagné d'avance. C'est une aventure au quotidien.
Chacun peut avoir la possibilité de bénéficier d'accompagnement pour lui-même, pour son développement personnel ou sa vie spirituelle. On peut aussi se trouver désemparé quand les difficultés surgissent au sein de son couple. Comment alors aborder les questions importantes avec celui ou celle qui partage sa vie ?
Le livre se présente comme une réflexion pratique pour aider à relever les défis de chaque jour autour d'une dizaine de thèmes : le rythme de vie, les différences, la communication, l'argent, la tendresse, la sexualité, les crises, l'éducation, le rayonnement social de la famille... Chaque sujet est illustré par des témoignages de couples d'âges différents.

Le livre:
https://www.nouvellecite.fr/product/128513/zoom-sur-la-vie-de-couple/
Le parcours:
https://zoomtoncouple.fr

Fondé sur la vision chrétienne de l’amour humain, le parcours Alpha Couple: « un couple ça se construit ! » est un moyen pour l’Eglise de montrer au monde qu’elle croit à l’amour solide des couples et qu’elle peut les aider à durer. En donnant aux couples l’occasion de prendre du temps « pour eux », en leur permettant de parler ensemble de leur amour, le parcours les aide à construire et affirmer leur amour dans la durée. Un parcours Alpha couple va débuter le 8 mars 2023, accueilli par la paroisse Saint Cléophas à Montpellier. Patricia et François Fontaine le présentent. Il est destiné à tous les couples, mariés ou vivant ensemble depuis plus de 2 ans, chrétiens ou non. Sept soirées sont proposées avec le déroulé suivant : dîner aux chandelles servi pour deux, exposé présenté par un couple marié, temps d’échange en tête à tête sur la base d’un guide de discussion:
1-Poser les bons fondements: prendre du temps pour l’autre.
2-L’art de la communication: savoir écouter efficacement.
3-La résolution des conflits: exprimer notre estime de l’autre.
4-La puissance du pardon: repartir ensemble.
5-L’impact de la<br>famille: guérir les blessures.
6-Une sexualité de couple épanouie: élément vital.
7-Donner et recevoir de l’amour: identifier les besoins de l’autre.

Inscriptions: alphacouplemontpellier@gmail.com 
Site alpha couple: https://www.parcoursalpha.fr/couple

La prochaine journée des futurs mariés se tiendra, à l’invitation de notre archevêque Mgr Norbert Turini, le samedi 11 mars au collège de l’Assomption à Montpellier. Geneviève et Michel Voisin reçoivent pour la présenter Audrey et Christophe Freytes. Cette journée regroupe divers
mouvements de la pastorale du mariage et de la famille, et propose aux futurs mariés, en complément de leur parcours de préparation, une journée encadrée de temps de louange et de moments festifs. Le matin, trois couples témoigneront en quoi le Seigneur est venu sauver leur
couple dans des moments de difficultés, parfois de grande difficulté. Les couples participants seront accompagnés par des couples parrains, avec lesquels ils partageront leurs réactions aux témoignages. L’après-midi, lors d’une table ronde avec l’évêque, un couple et un « expert », ils
pourront poser toutes les questions qu’ils souhaitent, sur le mariage, sur l’ouverture à la vie, sur l’Eglise. La journée se terminera dans l’Eglise Sainte Thérèse par la bénédiction individuelle de chaque couple par l’archevêque ou l’un des prê tres présents.

Infos sur le site du diocèse
https://montpellier.catholique.fr/journee-diocesaine-des-fiances-et-futurs-maries/

Le père Cyprien Ouedraogo est prêtre au Burkina Faso, missionné en France par son évèque pour compléter ses connaissances en anthropologie. Il nous présente son village, sa famille, sa vocation, sa mission en France. Il nous présente les caractéristiques de la famille dans son pays dont 90% de la population est rurale, et est à 60% musulman. Il vit depuis les années 1960 une instabilité politique, aggravée depuis quelques années par le terrorisme islamique. La cellule sociale de base est la famille élargie, regroupée en villages. Les enfants sont nombreux, associés aux tâches agricoles dès leur jeune âge. La majorité des ethnies sont patrilinéaires, les enfants d’une femme ne faisant pas partie de sa parenté mais de celle de son mari. Les personnes âgées sont respectées: le « vieux » est le pilier de la famille, celui qui va en transmettre l’histoire, les us et coutumes, les interdits. Il est le garant de la cohésion familiale. Un grand esprit de partage et d’entraide caractérise la famille. La famille burkinabé reste donc très traditionnelle, même si on constate en milieu urbain une évolution vers l’autonomie et l’individualisme.

Qu’est-ce qui nous relie les uns aux autres et avec la nature? Comment repérer ce qui est en jeu? Tel est le thème du récent ouvrage de Pascale Vidal, psychologue et psychanalyste, et son mari Alain Vidal: « Ces liens qui nous unissent », publié aux éditions « Les impliqués ». Ils identiJient un
certain nombre de fractures dont les fondements sont: une différence exprimée et vécue de plus en plus comme un duel (homme-femme, enfant et généalogie, humain et nature, vie et mort), une place phénoménale de la technologie, et la perte par l’homme de sa dignité alors qu’elle lui est
intrinsèque. Ils reviennent sur les trois axes anthropologiques essentiels de la nature humaine qui font aujourd’hui l’objet de dé-liaisons dangereuses: vie et mort, homme et femme, mensonge et vérité. Les impacts sur le couple et la planète sont discutés. Rétablir la communion dans ces domaines est indispensable pour retrouver nos places respectives. Sont convoqués dans cet ouvrage tant la lettre apostolique « Laudato si » du pape François, que la complexité si chère à Edgar Morin.

La transmission de la foi aux enfants passe par plusieurs outils. Laure Guisth’au, responsable de la catéchèse à la paroisse Sainte Bernadette de Montpellier nous les présente: éveil à la foi pour les tout petits, catéchisme bi-mensuel pour les écoliers et les lycéens, avec des propositions diversifiées selon leur âge et leur goût. Deux fois par an, pendant l’Avent et pendant le Carême, est proposée une Ecole de prière Mariale sur un week-end, qui allie temps de louange, réflexion personnelle, prière, célébrations, ateliers. Chaque école de prière réunit plus de 100 enfants, de la paroisse ou venant de l’école sainte Odile. Parfois est proposée en parallèle aux parents une
journée spirituelle. Le 26 novembre, ce sera un « 10h chrono: du temps pour s’aimer », temps fort pour demander une effusion de l’Esprit Saint sur les couples présents. Les informations sur ces divers évènements sont disponibles sur le site de la paroisse Sainte Bernadette.

« J’appelle aujourd’hui les couples à la mission », déclarait le pape François il y a quelques années. Geneviève et Michel Voisin échangent avec trois couples missionnaires:
-Philippe et Myriam, qui, à l’appel de Mgr Brouwet, évêque de N??mes, participent à l’organisation d’une « journée Mission » à Uzès (infos sur le site du diocèse de N??mes)
-Renaud et Françoise pilotent un cénacle « Pentecô te sur notre couple », le week-end des 11,12,13 novembre à la maison diocésaine de N??mes (infos sur le site du diocèse de N??mes),
-Aymeric et Jasmine qui, avec le père Jean-Gabriel, curé de la paroisse Sainte Bernadette, organisent un « 10 heures chrono pour réveiller son couple » le samedi 26 novembre. En parallèle, se tiendra pour les enfants une école de prière mariale (infos sur le site de la paroisse sainte Bernadette)
Tous ces évènement ont pour objectif de renforcer l’ardeur missionnaire des couples, et pour les deux derniers, de faire une relecture de sa vie de couple avec l’éclairage de l’Esprit Saint.

L’association VMEH, « Visite des malades en établissement hospitaliers » est l’héritière désormais laïques des dames de la charité qui officiaient en France dès le XVII° siècle. La mission de ses bénévoles est d’apporter par des visites régulières une présence amicale et chaleureuse, d’atténuer l’isolement de personnes privées de leur cadre de vie habituel, de redonner confiance et espoir à ceux qui se sentent en marge de la société, de distraire en proposant des animations. Les bénéfiiciaires sont les personnes âgées en Ehpad ou maisons de retraite, les personnes en situation de handicap, les enfants et adultes hospitalisés. L’association est présente à Montpellier et sur plusieurs sites du territoire héraultais. Informations: vmeh-national.com

Les pélé-VTT ont fêté leur 20 ans en 2020. Ils sont nés à Rocamadour. C’est une expérience de 5 jours en vélo à travers les sentiers de campagne, à destination d’un sanctuaire ou d’une cathédrale. Ils sont aujourd’hui organisés dans plusieurs dizaines de départements. Ils regroupent des « pédalants », collégiens de 11 à 15 ans en équipes de 12 encadrés par deux animateurs, étudiants ou jeunes pro. Toute une infrastructure est mise en place, sous la responsabilité de l’OGM (organisateur général merveilleux), l’accompagnement spirituel étant sous la responsabilité du GPS (Guide pour le salut). De très nombreux TTV (très très vieux... plus de 25 ans) font partie du staff, pour l’intendance, le montage et le démontage du camp. Les pélés VTT ne recherchent pas la performance physique, ils sont ouverts à tous, et sont une belle expérience d’amitié trans-générationnelle et de vie spirituelle. Celui du diocèse partira cette année de Nissan-lez-Enserune, pour se terminer àla cathédrale de Maguelone.