Bises de clowns : quand le rire fait oublier la douleur
L'activité du clown en milieu de soin a été lourdement impactée par la crise sanitaire engendrée par la COVID 19, les établissements ont mis pour certains beaucoup de temps à réouvrir leurs portes aux associations. D'autres ne les réouvreront plus jamais car l'hôpital, les structures de soins ou d'accueil n'ont plus de budget pour accueillir des associations ou une amélioration du cadre de vie pour leurs patients ou résidents.
Association Bises de ClownsL'inquiétude de l'association Bises de Clowns.
Depuis le début de la crise sanitaire liée au Covid 19, les clowns hospitaliers ont du s'adapter aux différentes restrictions d'abord le confinement et l'impossibilité de se rendre au chevet des personnes fragilisées que ce soit dans les hôpitaux ou les lieux de soins comme les maisons de retraites. ils ont du s'adapter avec des vidéos. Un temps qu'ils ont aussi mis à profit pour créer un spectacle.
Mais depuis la fin du confinement la situation reste compliquée.
Si certains établissements ont mis du temps à réouvrir leurs portes aux associations. D'autres ne les réouvreront plus jamais car l'hôpital, les structures de soins ou d'accueil n'ont plus de budget pour accueillir des associations ou une amélioration du cadre de vie pour leurs patients ou résidents.
Pour l'association Bises de Clowns il faut donc trouver des fonds ailleurs et faire appel à la générosité de tous donateurs, mécènes, et citoyens pour collecter les fonds nécessaires pour permettre aux clowns professionnels et donc salariés de continuer à exercer leur activité.
Deux d'entre eux, Marie Florence BROCHIER et Jérôme LE BOURG se sont confiés à notre micro.
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