12h15 en Lozère - page 7 | RCF

Créé en février 2021, ALTHEYS est un laboratoire français basé en Lozère dans le petit village d’Albaret-le-Comtal. Fondé par Hanane Drissi et Pierre Vausselin, deux passionnés d’extraits végétaux, ALTHEYS a développé une gamme de soins brevetés uniques exclusivement formulés à l’extrait de plantain lancéolé : Zematopic®.
Entre Aubrac et Margeride, ALTHEYS est un laboratoire français fondé par l’experte en cosmétiques Hanane Drissi et Pierre Vausselin, ingénieur chimiste, figure bien connu dans le monde de l’aromathérapie. Spécialisés dans les soins brevetés exclusivement formulés à l’extrait de plantain lancéolé, les soins ALTHEYS permettent de traiter l’acné, l’anti-âge, l’eczéma et l’atopie à la fois chez l’adulte, l’enfant, le bébé et chez les chiens et chats. Sans cortisone et 100% naturels, ils soulagent dès la première utilisation les peaux les plus fragiles. Par ailleurs, le laboratoire coopère activement avec l’Association Française de l’Eczéma. L’entreprise compte aujourd’hui 5 salariés et envoie environ 3 000 colis chaque mois.
www.ALTHEYS.com

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Entre Aubrac et Margeride, ALTHEYS est un laboratoire français fondé par l’experte en cosmétiques Hanane Drissi et Pierre Vausselin, ingénieur chimiste, figure bien connu dans le monde de l’aromathérapie. Spécialisés dans les soins brevetés exclusivement formulés à l’extrait de plantain lancéolé, les soins ALTHEYS permettent de traiter l’acné, l’anti-âge, l’eczéma et l’atopie à la fois chez l’adulte, l’enfant, le bébé et chez les chiens et chats. Sans cortisone et 100% naturels, ils soulagent dès la première utilisation les peaux les plus fragiles. Par ailleurs, le laboratoire coopère activement avec l’Association Française de l’Eczéma. L’entreprise compte aujourd’hui 5 salariés et envoie environ 3 000 colis chaque mois.
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Entre Aubrac et Margeride, ALTHEYS est un laboratoire français fondé par l’experte en cosmétiques Hanane Drissi et Pierre Vausselin, ingénieur chimiste, figure bien connu dans le monde de l’aromathérapie. Spécialisés dans les soins brevetés exclusivement formulés à l’extrait de plantain lancéolé, les soins ALTHEYS permettent de traiter l’acné, l’anti-âge, l’eczéma et l’atopie à la fois chez l’adulte, l’enfant, le bébé et chez les chiens et chats. Sans cortisone et 100% naturels, ils soulagent dès la première utilisation les peaux les plus fragiles. Par ailleurs, le laboratoire coopère activement avec l’Association Française de l’Eczéma. L’entreprise compte aujourd’hui 5 salariés et envoie environ 3 000 colis chaque mois.
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Entre Aubrac et Margeride, ALTHEYS est un laboratoire français fondé par l’experte en cosmétiques Hanane Drissi et Pierre Vausselin, ingénieur chimiste, figure bien connu dans le monde de l’aromathérapie. Spécialisés dans les soins brevetés exclusivement formulés à l’extrait de plantain lancéolé, les soins ALTHEYS permettent de traiter l’acné, l’anti-âge, l’eczéma et l’atopie à la fois chez l’adulte, l’enfant, le bébé et chez les chiens et chats. Sans cortisone et 100% naturels, ils soulagent dès la première utilisation les peaux les plus fragiles. Par ailleurs, le laboratoire coopère activement avec l’Association Française de l’Eczéma. L’entreprise compte aujourd’hui 5 salariés et envoie environ 3 000 colis chaque mois.
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La vie de Pascal fut courte. Né en1623, il est mort en 1662. Sur ces 39 années, Pascal en aura passé
Le quart environ dans la ville de Clermont-Ferrand qui l’avait vu naître, un peu plus de la moitié à
Paris et près du 6e à Rouen. Si son existence fut brève, elle n’en fut pas moins d’une grande fécondité.
Parmi les visages dominants de Pascal, il y a celui d’homme de science. Par la science, il devient cé-
lèbre auprès de ses contemporains. Pascal a été géomètre en se penchant sur la question des coniques, puis physicien en s’attachant à démontrer l’existence du vide (pensons à l’expérience du Puy-de-Dôme); enfin mathématicien, pionnier dans le calcul des probabilités. On connaît aussi de Pascal, le visage d’inventeur de la machine à calculer qui permettait d’e?ectuer additions, soustractions, multiplications et divisions. Deux autres visages bien connus de Pascal: le polémiste, redoutable, qui écrivit sous le pseudonyme de Louis de Montalte, Les Provinciales pour y dénoncer la morale, jugée trop laxiste, des jésuites et leur théologie de la grâce suffisante ; le penseur-moraliste qui s’est fait l’apologiste du christianisme et dont les Pensées, publiées post mortem, ont connu aussitôt un vif succès. Ces pensées, comme “L’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant”, s’impriment dans notre mémoire et se trouvent aujourd’hui encore citées par les personnalités les plus diverses. Pascal, sans jamais chercher la gloire littéraire, est devenu l’un de nos plus grands écrivains. Mais il ne faut pas négliger des visages moins connus. Intéressé par des projets innovants, l’inventeur de la presse hydraulique a ainsi investi dans la société de dessèchement du marais poitevin et lui a apporté sa science d’ingénieur. Pour aider les élèves de Port-Royal, il met au point le mécanisme permettant de remonter d’importantes quantités d’eau: c’est le puits dit “de Pascal”. À la fin de sa vie, il investira dans le projet des carrosses à cinq sols, les biens hérités de son père. Ces carrosses sillonneront bientôt avec un grand succès la capitale et un système de correspondance sera mis en place. Pascal se faisait ainsi pionnier des transports urbains contemporains. Il convient aussi d’évoquer, parmi les visages méconnus de Pascal, celui du théologien et du spirituel, du pédagogue et du mystique. Les écrits de Pascal sont imprégnés par la théologie augustinienne et il s’est e?orcé de vivre selon la spiritualité port-royaliste. À ses yeux, l’éducateur du prince devait lui apprendre à diriger les autres avec bienveillance, de manière honnête et charitable. Enfin, celui qui connut en novembre 1654 l’expérience mystique du Mémorial s’est attaché à tourner son regard et le regard des autres vers l’infini. Un dernier visage trop méconnu de Pascal est à souligner, celui d’ami des pauvres. À la fin de sa vie, il multiplie les actions ou les paroles qui montrent sa passion pour les pauvres dans lesquels il voyait le visage du Christ. Où se trouve l’unité de ces déférents visages ? Qu’apprend-on en cheminant sur les pas de l’auteur des Pensées ? Cheminer avec l’Auvergnat Blaise Pascal, c’est en définitive répondre à une invitation, celle d’aimer toujours et partout la vérité, tout en sachant que le dernier mot de la vérité se trouve dans l’amour. Les explications du conférencier Bernard Grasset.

La vie de Pascal fut courte. Né en1623, il est mort en 1662. Sur ces 39 années, Pascal en aura passé
Le quart environ dans la ville de Clermont-Ferrand qui l’avait vu naître, un peu plus de la moitié à
Paris et près du 6e à Rouen. Si son existence fut brève, elle n’en fut pas moins d’une grande fécondité.
Parmi les visages dominants de Pascal, il y a celui d’homme de science. Par la science, il devient cé-
lèbre auprès de ses contemporains. Pascal a été géomètre en se penchant sur la question des coniques, puis physicien en s’attachant à démontrer l’existence du vide (pensons à l’expérience du Puy-de-Dôme); enfin mathématicien, pionnier dans le calcul des probabilités. On connaît aussi de Pascal, le visage d’inventeur de la machine à calculer qui permettait d’e?ectuer additions, soustractions, multiplications et divisions. Deux autres visages bien connus de Pascal: le polémiste, redoutable, qui écrivit sous le pseudonyme de Louis de Montalte, Les Provinciales pour y dénoncer la morale, jugée trop laxiste, des jésuites et leur théologie de la grâce suffisante ; le penseur-moraliste qui s’est fait l’apologiste du christianisme et dont les Pensées, publiées post mortem, ont connu aussitôt un vif succès. Ces pensées, comme “L’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant”, s’impriment dans notre mémoire et se trouvent aujourd’hui encore citées par les personnalités les plus diverses. Pascal, sans jamais chercher la gloire littéraire, est devenu l’un de nos plus grands écrivains. Mais il ne faut pas négliger des visages moins connus. Intéressé par des projets innovants, l’inventeur de la presse hydraulique a ainsi investi dans la société de dessèchement du marais poitevin et lui a apporté sa science d’ingénieur. Pour aider les élèves de Port-Royal, il met au point le mécanisme permettant de remonter d’importantes quantités d’eau: c’est le puits dit “de Pascal”. À la fin de sa vie, il investira dans le projet des carrosses à cinq sols, les biens hérités de son père. Ces carrosses sillonneront bientôt avec un grand succès la capitale et un système de correspondance sera mis en place. Pascal se faisait ainsi pionnier des transports urbains contemporains. Il convient aussi d’évoquer, parmi les visages méconnus de Pascal, celui du théologien et du spirituel, du pédagogue et du mystique. Les écrits de Pascal sont imprégnés par la théologie augustinienne et il s’est e?orcé de vivre selon la spiritualité port-royaliste. À ses yeux, l’éducateur du prince devait lui apprendre à diriger les autres avec bienveillance, de manière honnête et charitable. Enfin, celui qui connut en novembre 1654 l’expérience mystique du Mémorial s’est attaché à tourner son regard et le regard des autres vers l’infini. Un dernier visage trop méconnu de Pascal est à souligner, celui d’ami des pauvres. À la fin de sa vie, il multiplie les actions ou les paroles qui montrent sa passion pour les pauvres dans lesquels il voyait le visage du Christ. Où se trouve l’unité de ces déférents visages ? Qu’apprend-on en cheminant sur les pas de l’auteur des Pensées ? Cheminer avec l’Auvergnat Blaise Pascal, c’est en définitive répondre à une invitation, celle d’aimer toujours et partout la vérité, tout en sachant que le dernier mot de la vérité se trouve dans l’amour. Les explications du conférencier Bernard Grasset.

La vie de Pascal fut courte. Né en1623, il est mort en 1662. Sur ces 39 années, Pascal en aura passé
Le quart environ dans la ville de Clermont-Ferrand qui l’avait vu naître, un peu plus de la moitié à
Paris et près du 6e à Rouen. Si son existence fut brève, elle n’en fut pas moins d’une grande fécondité.
Parmi les visages dominants de Pascal, il y a celui d’homme de science. Par la science, il devient cé-
lèbre auprès de ses contemporains. Pascal a été géomètre en se penchant sur la question des coniques, puis physicien en s’attachant à démontrer l’existence du vide (pensons à l’expérience du Puy-de-Dôme); enfin mathématicien, pionnier dans le calcul des probabilités. On connaît aussi de Pascal, le visage d’inventeur de la machine à calculer qui permettait d’e?ectuer additions, soustractions, multiplications et divisions. Deux autres visages bien connus de Pascal: le polémiste, redoutable, qui écrivit sous le pseudonyme de Louis de Montalte, Les Provinciales pour y dénoncer la morale, jugée trop laxiste, des jésuites et leur théologie de la grâce suffisante ; le penseur-moraliste qui s’est fait l’apologiste du christianisme et dont les Pensées, publiées post mortem, ont connu aussitôt un vif succès. Ces pensées, comme “L’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant”, s’impriment dans notre mémoire et se trouvent aujourd’hui encore citées par les personnalités les plus diverses. Pascal, sans jamais chercher la gloire littéraire, est devenu l’un de nos plus grands écrivains. Mais il ne faut pas négliger des visages moins connus. Intéressé par des projets innovants, l’inventeur de la presse hydraulique a ainsi investi dans la société de dessèchement du marais poitevin et lui a apporté sa science d’ingénieur. Pour aider les élèves de Port-Royal, il met au point le mécanisme permettant de remonter d’importantes quantités d’eau: c’est le puits dit “de Pascal”. À la fin de sa vie, il investira dans le projet des carrosses à cinq sols, les biens hérités de son père. Ces carrosses sillonneront bientôt avec un grand succès la capitale et un système de correspondance sera mis en place. Pascal se faisait ainsi pionnier des transports urbains contemporains. Il convient aussi d’évoquer, parmi les visages méconnus de Pascal, celui du théologien et du spirituel, du pédagogue et du mystique. Les écrits de Pascal sont imprégnés par la théologie augustinienne et il s’est e?orcé de vivre selon la spiritualité port-royaliste. À ses yeux, l’éducateur du prince devait lui apprendre à diriger les autres avec bienveillance, de manière honnête et charitable. Enfin, celui qui connut en novembre 1654 l’expérience mystique du Mémorial s’est attaché à tourner son regard et le regard des autres vers l’infini. Un dernier visage trop méconnu de Pascal est à souligner, celui d’ami des pauvres. À la fin de sa vie, il multiplie les actions ou les paroles qui montrent sa passion pour les pauvres dans lesquels il voyait le visage du Christ. Où se trouve l’unité de ces déférents visages ? Qu’apprend-on en cheminant sur les pas de l’auteur des Pensées ? Cheminer avec l’Auvergnat Blaise Pascal, c’est en définitive répondre à une invitation, celle d’aimer toujours et partout la vérité, tout en sachant que le dernier mot de la vérité se trouve dans l’amour. Les explications du conférencier Bernard Grasset.

La vie de Pascal fut courte. Né en1623, il est mort en 1662. Sur ces 39 années, Pascal en aura passé
Le quart environ dans la ville de Clermont-Ferrand qui l’avait vu naître, un peu plus de la moitié à
Paris et près du 6e à Rouen. Si son existence fut brève, elle n’en fut pas moins d’une grande fécondité.
Parmi les visages dominants de Pascal, il y a celui d’homme de science. Par la science, il devient cé-
lèbre auprès de ses contemporains. Pascal a été géomètre en se penchant sur la question des coniques, puis physicien en s’attachant à démontrer l’existence du vide (pensons à l’expérience du Puy-de-Dôme); enfin mathématicien, pionnier dans le calcul des probabilités. On connaît aussi de Pascal, le visage d’inventeur de la machine à calculer qui permettait d’e?ectuer additions, soustractions, multiplications et divisions. Deux autres visages bien connus de Pascal: le polémiste, redoutable, qui écrivit sous le pseudonyme de Louis de Montalte, Les Provinciales pour y dénoncer la morale, jugée trop laxiste, des jésuites et leur théologie de la grâce suffisante ; le penseur-moraliste qui s’est fait l’apologiste du christianisme et dont les Pensées, publiées post mortem, ont connu aussitôt un vif succès. Ces pensées, comme “L’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant”, s’impriment dans notre mémoire et se trouvent aujourd’hui encore citées par les personnalités les plus diverses. Pascal, sans jamais chercher la gloire littéraire, est devenu l’un de nos plus grands écrivains. Mais il ne faut pas négliger des visages moins connus. Intéressé par des projets innovants, l’inventeur de la presse hydraulique a ainsi investi dans la société de dessèchement du marais poitevin et lui a apporté sa science d’ingénieur. Pour aider les élèves de Port-Royal, il met au point le mécanisme permettant de remonter d’importantes quantités d’eau: c’est le puits dit “de Pascal”. À la fin de sa vie, il investira dans le projet des carrosses à cinq sols, les biens hérités de son père. Ces carrosses sillonneront bientôt avec un grand succès la capitale et un système de correspondance sera mis en place. Pascal se faisait ainsi pionnier des transports urbains contemporains. Il convient aussi d’évoquer, parmi les visages méconnus de Pascal, celui du théologien et du spirituel, du pédagogue et du mystique. Les écrits de Pascal sont imprégnés par la théologie augustinienne et il s’est e?orcé de vivre selon la spiritualité port-royaliste. À ses yeux, l’éducateur du prince devait lui apprendre à diriger les autres avec bienveillance, de manière honnête et charitable. Enfin, celui qui connut en novembre 1654 l’expérience mystique du Mémorial s’est attaché à tourner son regard et le regard des autres vers l’infini. Un dernier visage trop méconnu de Pascal est à souligner, celui d’ami des pauvres. À la fin de sa vie, il multiplie les actions ou les paroles qui montrent sa passion pour les pauvres dans lesquels il voyait le visage du Christ. Où se trouve l’unité de ces déférents visages ? Qu’apprend-on en cheminant sur les pas de l’auteur des Pensées ? Cheminer avec l’Auvergnat Blaise Pascal, c’est en définitive répondre à une invitation, celle d’aimer toujours et partout la vérité, tout en sachant que le dernier mot de la vérité se trouve dans l’amour. Les explications du conférencier Bernard Grasset.

La vie de Pascal fut courte. Né en1623, il est mort en 1662. Sur ces 39 années, Pascal en aura passé
Le quart environ dans la ville de Clermont-Ferrand qui l’avait vu naître, un peu plus de la moitié à
Paris et près du 6e à Rouen. Si son existence fut brève, elle n’en fut pas moins d’une grande fécondité.
Parmi les visages dominants de Pascal, il y a celui d’homme de science. Par la science, il devient cé-
lèbre auprès de ses contemporains. Pascal a été géomètre en se penchant sur la question des coniques, puis physicien en s’attachant à démontrer l’existence du vide (pensons à l’expérience du Puy-de-Dôme); enfin mathématicien, pionnier dans le calcul des probabilités. On connaît aussi de Pascal, le visage d’inventeur de la machine à calculer qui permettait d’e?ectuer additions, soustractions, multiplications et divisions. Deux autres visages bien connus de Pascal: le polémiste, redoutable, qui écrivit sous le pseudonyme de Louis de Montalte, Les Provinciales pour y dénoncer la morale, jugée trop laxiste, des jésuites et leur théologie de la grâce suffisante ; le penseur-moraliste qui s’est fait l’apologiste du christianisme et dont les Pensées, publiées post mortem, ont connu aussitôt un vif succès. Ces pensées, comme “L’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant”, s’impriment dans notre mémoire et se trouvent aujourd’hui encore citées par les personnalités les plus diverses. Pascal, sans jamais chercher la gloire littéraire, est devenu l’un de nos plus grands écrivains. Mais il ne faut pas négliger des visages moins connus. Intéressé par des projets innovants, l’inventeur de la presse hydraulique a ainsi investi dans la société de dessèchement du marais poitevin et lui a apporté sa science d’ingénieur. Pour aider les élèves de Port-Royal, il met au point le mécanisme permettant de remonter d’importantes quantités d’eau: c’est le puits dit “de Pascal”. À la fin de sa vie, il investira dans le projet des carrosses à cinq sols, les biens hérités de son père. Ces carrosses sillonneront bientôt avec un grand succès la capitale et un système de correspondance sera mis en place. Pascal se faisait ainsi pionnier des transports urbains contemporains. Il convient aussi d’évoquer, parmi les visages méconnus de Pascal, celui du théologien et du spirituel, du pédagogue et du mystique. Les écrits de Pascal sont imprégnés par la théologie augustinienne et il s’est e?orcé de vivre selon la spiritualité port-royaliste. À ses yeux, l’éducateur du prince devait lui apprendre à diriger les autres avec bienveillance, de manière honnête et charitable. Enfin, celui qui connut en novembre 1654 l’expérience mystique du Mémorial s’est attaché à tourner son regard et le regard des autres vers l’infini. Un dernier visage trop méconnu de Pascal est à souligner, celui d’ami des pauvres. À la fin de sa vie, il multiplie les actions ou les paroles qui montrent sa passion pour les pauvres dans lesquels il voyait le visage du Christ. Où se trouve l’unité de ces déférents visages ? Qu’apprend-on en cheminant sur les pas de l’auteur des Pensées ? Cheminer avec l’Auvergnat Blaise Pascal, c’est en définitive répondre à une invitation, celle d’aimer toujours et partout la vérité, tout en sachant que le dernier mot de la vérité se trouve dans l’amour. Les explications du conférencier Bernard Grasset.

Une invitation à se laisser aller le long du Tarn sauvage, c’est ce que propose ce livre, en partant de la source, au mont Lozère, jusqu’à la confluence, à Saint-Nicolas-de-la-Grave, un voyage qui traverse cinq départements : Lozère, Aveyron, Tarn, Haute-Garonne et Tarn-et-Garonne. Les photographies ont toutes été prises dans un rayon de cinq kilomètres autour du cours d’eau, au plus près du Tarn, afin de faire découvrir ses différents visages. Suivre le Cingle plongeur dans les eaux tumultueuses des pentes du Lozère, frôler les falaises des Gorges avec les vautours, prendre le temps de déambuler dans les Raspes à la recherche du Martin pêcheur, partir à la rencontre du faucon pèlerin et des oiseaux d'eaux de la basse vallée... Des textes accompagnent les photographies de Patrice Geniez, des textes longs, énergiques, bouillonnants comme la rivière, des petits textes avec des anecdotes ou des récits sur la faune et les paysages, mais aussi des haïkus et poésies, courtes, dansantes, reflets sur l’eau.
Une rivière sauvage dévoile ses plus beaux atours.
"Au fil du Tarn une escapade sauvage" à la Maison de ma Région. Patrice Geniez a préparé une sélection de photographies de son livre "Au fil du Tarn, une escapade sauvage" qui sera exposée à la Maison de ma Région du 9 au 30 novembre. A mende.

La loi sur la fin de vie, la RN 88, le loup, les EPHAD ou encore les élections au sein du parti des Républicains. Pierre Morel à l'huissier répond aux questiuons d'actualités qui concenrnet le lozériens.

La Convention des Entreprises pour le Climat a pour ambition d’aider toutes les entreprises de France à basculer leur économie vers la transition écologique. C’est une initiative leur permettant de repenser leurs modèles de fonctionnement en intégrant des enjeux écologiques, sociaux et économiques. 150 firmes, tous secteurs confondus, ont pu participer à la première convention l’année dernière. Cette manifestation avait donné lieu à un rapport écrit, transmis au ministère de l’Écologie.
La convention concerne neuf les neufs départements du Massif Central. Et pour cause, c’est un territoire rural qui compte énormément de communes, devant être revitalisées.
Durant neuf mois de travail, ces organisations locales auront accès à des documents pour comprendre les enjeux de la transition écologique. Des experts viendront également aborder des thématiques complexes. La sensibilisation débutera en octobre prochain et se terminera en juin 2024. C’est avec des actions concrètes que les entreprises auront toutes les clés en main pour s’engager sur le long terme. La Convention des Entreprises pour le Climat est déjà présente dans plusieurs régions françaises, notamment le bassin lyonnais. D’autres projets d’expansion sont prévus en 2024. Une opération ambitieuse résultant d’une conscience collective sur le dérèglement climatique.

M'LIRE : LITTÉRATURE ET GOURMANDISE

Place du Foirail - 48000 MENDE
Mardi 14 : projection de la comédie (2023) « A la belle étoile » réalisée par Sébastien Tulard. Proposé par le ciné-club mendois. Cinéma Trianon à 20h15. Mercredi 16 : conférence « gourmande » par Jorge Borgès, professeur de cuisine, lauréat du prix Etoile de Lozère 2021. Médiathèque Lamartine à 18h. Vendredi 17 : rencontre littéraire tout public en présence des intervenants. Salle Marguerite Yourcenar (sous la médiathèque) à 18h. Samedi 18 : salon du livre en présence des libraires, auteurs, illustrateurs, associations lozériennes. Expositions, ateliers enfants et adultes. Halle Saint-Jean de 9h30 à 17h30. Organisé par la Médiathèque Lamartine en partenariat avec Les Amis de la médiathèque.

Le Souvenir Français est créé en 1887 par François-Xavier Niessen. Originaire d’Alsace, François-Xavier Niessen s’est installé à Neuilly-sur-Seine quelques années avant la guerre de 1870. Il y exerce la profession de précepteur. Il reste très lié à la communauté alsacienne lorraine qui se développe de manière très importante après 1871 à Paris. Il crée en 1873 la Société de prévoyance et de secours mutuelle des Alsaciens-Lorrains. Il en sera le secrétaire général jusqu’à son décès en 1919. Parallèlement, il élargit ses centres d’intérêt à la sauvegarde de la mémoire des combattants de 1870. A cette date, cette sauvegarde est assurée par deux structures, l’Etat, qui par la loi du 4 avril 1873 a encadré la création d’ossuaires et de tombes, et une association catholique « l’Œuvre des tombes et des prières ». Créée par le père Joseph, cette association construit des monuments et des stèles en Allemagne pour sauvegarder la mémoire des prisonniers de guerre français et en France, en particulier en Alsace Moselle et dans la région parisienne. Elle organise de nombreuses messes en hommage aux combattants.