Cap Education

Le périnée fait partie de ces tabous impossibles à lever. Pourtant, des millions de femmes ainsi que des hommes, sont concernés par le mauvais fonctionnement de ce muscle pelvien primordial, qui handicape et désocialise trop de personnes, qui vivent alors un calvaire silencieux. Pour nous en parler, Marie José Falevitch conceptrice de la méthode du "périnée ludique" et Sybille Ducoutumany, toutes deux sages-femmes, qui chaque jour, sont à l'écoute de ces problèmes.

Kanopee est une jeune application créée par une équipe de chercheurs du CHU de Bordeaux, psychiatres, addictologues, ingénieurs hi tech, graphistes... regroupés dans le laboratoire Snanspy, sous la houlette du CNRS. L'application permet de tester soi même son degré d'addiction à l'alcool, au tabac, au cannabis ou aux écrans, ou tester la qualité de son sommeil. A mettre entre toutes les mains, tous les âges, sans modération !

L'épilepsie : un mot, une maladie si mal connue et qui par conséquent génère de l'inquiétude et même de la peur.Le délégué régional de l'association Epilepsie France, Gilles Guibert et le docteur Claire Bar, neurologue pédiatrique et chef de clinique à l'hôpital Pellegrin, donnent quelques clés pour dédramatiser la maladie et aider à la détecter, car c'est un enjeu majeur si on veut bien la soigner.

Dans la continuité des entretiens avec des étudiants du master Religions et Sociétés de l'Université Bordeaux Montaigne, nous nous intéressons au rapport de notre société avec la religion. Aujourd'hui, nous parlons de la laïcité. Dans notre contexte particulier de tensions politiques, cultuelles et sociétales, qu'en est-il exactement de la laïcité ? Est-ce un dogme ou plutôt une règle du jeu du vivre-ensemble ?

Jean Claude Snyders est normalien, fils de résistant juif déporté, et surtout un fils et un père aimant. Il témoigne dans son livre "Il faudrait enfin que tu croies à ma tendresse" de la difficulté de croire en la tendresse de l'autre, de la difficulté à établir un dialogue avec les personnes que l'on aime le plus au monde. Sincère et touchant, un appel que chacun peut entendre.

Pour la clôture de ce festival des mini entreprises, un florilège de témoignages de jeunes qui sont heureux d'avoir participé et surtout d'avoir découvert leurs capacités à faire, créer, imaginer, travailler en équipe.
Témoignage aussi d'un coach et puis bien sûr le clap de fin par Anaïk Jusy, directrice du festival, qui dessine déjà l'avenir.

Le Festival des Mini Entreprises ne peut avoir lieu que grâce à des participations engagées et multiples : chef d'entreprise mentor, coach pour apprendre la prise de parole en public, société partenaire, et bien sûr les jeunes ! Toute une énergie bienveillante et enthousiaste autour de ce beau projet : apprendre aux jeunes qu'ils sont capables de créer une mini-entreprise.

Lors du Festival des Mini-Entreprises, Victoria Guillomon est venue parler de son livre "Ce qu'on n'apprend pas à l'école", dans lequel elle retrace son parcours. Elle incite les jeunes à prendre du recul sur la vie pour mieux la savourer. Un cri optimiste à toute une génération !

Pendant quatre mardis d'affilée, nous partons à la découverte de mini-entreprises et de "EPA", une fédération d'associations qui signifie "Entreprendre Pour Apprendre". Rencontre sur le terrain avec des jeunes, enseignants, coachs, entrepreneurs qui se confient sur ces belles aventures humaines. Aujourd'hui, notre invité est Guillaume Prévost qui a repris les rênes de "VersLeHaut", un think tank dédié aux enjeux pédagogiques et aux moyens qui seront mis en oeuvre dans les années à venir pour tous nos jeunes.

Anne Sophie Vives a vécu un burn-out sévère ! Elle en est sortie plus forte pour aider les autres femmes aussi. Son association, créée en 2019, lance une recherche sur la spécificité du burn-out féminin, accueille et accompagne les personnes en situation de burn-out et les aide à retrouver une place dans la société et la vie professionnelle.

Depuis quatre ans, l'eau a coulé dans le fleuve Congo. Aujourd'hui, l'hydrolienne a été mise à l'eau et produit de l'électricité jour et nuit, le tout en continu sans coupures. Aujourd'hui, nous entendons divers témoignages qui abordent chacun un aspect du projet.

Pour clôre cette série d'émissions sur les religions et leur vie en société, nous accueillons Bernadette Rigal-Cellard, professeur émérite, fondatrice du master Religions et Sociétés, situé à l'Université Bordeaux Montaigne. Elle nous apporte son expertise sur ce que sont les religions, les sectes et surtout ce qu'en font les sociétés au sein desquelles elles oeuvrent.

Dans la continuité des entretiens avec des étudiants du master Religions et Sociétés de l'Université Bordeaux Montaigne, nous nous intéressons au rapport de notre société avec la religion. Aujourd'hui, nous parlons de la laïcité. Dans notre contexte particulier de tensions politiques, cultuelles et sociétales, qu'en est-il exactement de la laïcité ? Est-ce un dogme ou plutôt une règle du jeu du vivre-ensemble ?

Aujourd'hui, la visibilité des religions s'accroît avec internet. Mais comment les jeunes perçoivent cette mise en avant de la religion dans la société, par le biais des réseaux sociaux ? Pour partager leur ressenti, des étudiants du Master Religions et Sociétés, de l'Université Bordeaux Montaigne, sont nos invités.

Les religions sont très présentes aujourd'hui, dans notre société. En effet, selon un sondage OpinionWay de 2016, les jeunes de 18-30 ans se tournent davantage vers la religion que leurs aînés. Le questionnement religieux est présent dans l'enseignement supérieur, comme à l'Université Bordeaux Montaigne, qui propose un master Religions et sociétés. Aujourd'hui, rencontre avec Jean-Pierre Moisset, historien et universitaire en charge de ce master ainsi que trois de ses étudiants Sarah, Thibault et Thomas.

Selon un sondage de l'Ifop publié en août 2021, la religiosité est de retour chez les jeunes générations. En effet, les 18-30 ans sont désormais 48% à croire en Dieu. Les causes en sont multiples entre insécurité et perte de repères, ceux-ci ont besoin d'un appui spirituel pour pouvoir espérer et avancer dans la vie. Aujourd'hui, rencontre avec quatre étudiants de la faculté de Bordeaux, en master 1 religion et société. L'occasion pour nous de les questionner sur leur choix de suivre cette formation.