Véronique Alzieu propose aux auditeurs de découvrir l’Histoire sous la forme d’un feuilleton quotidien. Des origines de l’Homme à la période contemporaine, elle dévoile et décrypte tous les jours en début d’après-midi, avec enthousiasme et curiosité, un nouveau chapitre. Une émission à retrouver en format long chaque dimanche.
86,5% des mots français viennent du latin. Notre langue a bien des origines latines, mais pas seulement. Elle a subi de nombreuses influences : comme toutes les langues, elle a évolué selon les époques et les circonstances. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit l'historienne Mireille Huchon, professeur à la Sorbonne, ancienne directrice de l'UFR de langue française, auteure notamment de l'ouvrage "Le français de la Renaissance" (éd. PUF, 1998)
86,5% des mots français viennent du latin. Notre langue a bien des origines latines, mais pas seulement. Elle a subi de nombreuses influences : comme toutes les langues, elle a évolué selon les époques et les circonstances. Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit l'historienne Mireille Huchon, professeur à la Sorbonne, ancienne directrice de l'UFR de langue française, auteure notamment de l'ouvrage "Le français de la Renaissance" (éd. PUF, 1998)
Des champs de blé dorés, symbole d'abondance... En France nos yeux sont habitués à ces cultures, essentielles pour notre alimentation, et à ces paysages. L'histoire de l'agriculture se compte en milliers d'années. Cela remonte au Néolithique, ce moment où l'homme, qui était chasseur-cueilleur, est devenu cultivateur. On en parle avec Alain Bonjean, généticien des plantes et ethnobotaniste, est l'auteur avec Benoît Vermander de "L'Homme et le grain - Une histoire céréalière des civilisations" (éd. Les Belles Lettres).
Des champs de blé dorés, symbole d'abondance... En France nos yeux sont habitués à ces cultures, essentielles pour notre alimentation, et à ces paysages. L'histoire de l'agriculture se compte en milliers d'années. Cela remonte au Néolithique, ce moment où l'homme, qui était chasseur-cueilleur, est devenu cultivateur. On en parle avec Alain Bonjean, généticien des plantes et ethnobotaniste, est l'auteur avec Benoît Vermander de "L'Homme et le grain - Une histoire céréalière des civilisations" (éd. Les Belles Lettres).
Des champs de blé dorés, symbole d'abondance... En France nos yeux sont habitués à ces cultures, essentielles pour notre alimentation, et à ces paysages. L'histoire de l'agriculture se compte en milliers d'années. Cela remonte au Néolithique, ce moment où l'homme, qui était chasseur-cueilleur, est devenu cultivateur. On en parle avec Alain Bonjean, généticien des plantes et ethnobotaniste, est l'auteur avec Benoît Vermander de "L'Homme et le grain - Une histoire céréalière des civilisations" (éd. Les Belles Lettres).
Des champs de blé dorés, symbole d'abondance... En France nos yeux sont habitués à ces cultures, essentielles pour notre alimentation, et à ces paysages. L'histoire de l'agriculture se compte en milliers d'années. Cela remonte au Néolithique, ce moment où l'homme, qui était chasseur-cueilleur, est devenu cultivateur. On en parle avec Alain Bonjean, généticien des plantes et ethnobotaniste, est l'auteur avec Benoît Vermander de "L'Homme et le grain - Une histoire céréalière des civilisations" (éd. Les Belles Lettres).
En 1896, les premiers Jeux olympiques de l'ère moderne voient le jour à Athènes. Le baron Pierre de Coubertin est à l'origine de cette renaissance. En quelques années le JO sont devenus une énorme machine, au-delà de la compétition sportive. Comment est-on passé des jeux hellénistique de la Grèce antique, qui avaient une fonction religieuse, à un événement sportif planétaire, reflet d'enjeux politiques et de tensions géopolitiques ? Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit Pierre Lagrue, historien des sports et écrivain, co-auteur de "Cyclistes de légendes" (éd. de Paris-Max Chaleil).
En 1896, les premiers Jeux olympiques de l'ère moderne voient le jour à Athènes. Le baron Pierre de Coubertin est à l'origine de cette renaissance. En quelques années le JO sont devenus une énorme machine, au-delà de la compétition sportive. Comment est-on passé des jeux hellénistique de la Grèce antique, qui avaient une fonction religieuse, à un événement sportif planétaire, reflet d'enjeux politiques et de tensions géopolitiques ? Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit Pierre Lagrue, historien des sports et écrivain, co-auteur de "Cyclistes de légendes" (éd. de Paris-Max Chaleil).
En 1896, les premiers Jeux olympiques de l'ère moderne voient le jour à Athènes. Le baron Pierre de Coubertin est à l'origine de cette renaissance. En quelques années le JO sont devenus une énorme machine, au-delà de la compétition sportive. Comment est-on passé des jeux hellénistique de la Grèce antique, qui avaient une fonction religieuse, à un événement sportif planétaire, reflet d'enjeux politiques et de tensions géopolitiques ? Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit Pierre Lagrue, historien des sports et écrivain, co-auteur de "Cyclistes de légendes" (éd. de Paris-Max Chaleil).
En 1896, les premiers Jeux olympiques de l'ère moderne voient le jour à Athènes. Le baron Pierre de Coubertin est à l'origine de cette renaissance. En quelques années le JO sont devenus une énorme machine, au-delà de la compétition sportive. Comment est-on passé des jeux hellénistique de la Grèce antique, qui avaient une fonction religieuse, à un événement sportif planétaire, reflet d'enjeux politiques et de tensions géopolitiques ? Pour en parler, Véronique Alzieu reçoit Pierre Lagrue, historien des sports et écrivain, co-auteur de "Cyclistes de légendes" (éd. de Paris-Max Chaleil).
Elles s’appellent Ernestine, Françoise, Mathilde, Augustine ou Martine. Elles sont nées en 1851, en 1900 ou encore en 1960. Ce sont des filles d’ouvriers, d’aristocrates, d’artisans, de mineurs ou d’ouvriers. Chacune de leur trajectoire dit quelque chose des conditions féminines. C’est tout l’avantage de l’ouvrage de l’éditrice et généalogiste Marie-Odile Mergnac, "Les femmes au quotidien de 1750 à nos jours" (éd. Archives et Culture) : montrer qu’il n’y a pas une condition féminine mais des parcours de femmes, certes soumis aux injonctions de leur temps et de leur milieu social.
Elles s’appellent Ernestine, Françoise, Mathilde, Augustine ou Martine. Elles sont nées en 1851, en 1900 ou encore en 1960. Ce sont des filles d’ouvriers, d’aristocrates, d’artisans, de mineurs ou d’ouvriers. Chacune de leur trajectoire dit quelque chose des conditions féminines. C’est tout l’avantage de l’ouvrage de l’éditrice et généalogiste Marie-Odile Mergnac, "Les femmes au quotidien de 1750 à nos jours" (éd. Archives et Culture) : montrer qu’il n’y a pas une condition féminine mais des parcours de femmes, certes soumis aux injonctions de leur temps et de leur milieu social.
Elles s’appellent Ernestine, Françoise, Mathilde, Augustine ou Martine. Elles sont nées en 1851, en 1900 ou encore en 1960. Ce sont des filles d’ouvriers, d’aristocrates, d’artisans, de mineurs ou d’ouvriers. Chacune de leur trajectoire dit quelque chose des conditions féminines. C’est tout l’avantage de l’ouvrage de l’éditrice et généalogiste Marie-Odile Mergnac, "Les femmes au quotidien de 1750 à nos jours" (éd. Archives et Culture) : montrer qu’il n’y a pas une condition féminine mais des parcours de femmes, certes soumis aux injonctions de leur temps et de leur milieu social.
Elles s’appellent Ernestine, Françoise, Mathilde, Augustine ou Martine. Elles sont nées en 1851, en 1900 ou encore en 1960. Ce sont des filles d’ouvriers, d’aristocrates, d’artisans, de mineurs ou d’ouvriers. Chacune de leur trajectoire dit quelque chose des conditions féminines. C’est tout l’avantage de l’ouvrage de l’éditrice et généalogiste Marie-Odile Mergnac, "Les femmes au quotidien de 1750 à nos jours" (éd. Archives et Culture) : montrer qu’il n’y a pas une condition féminine mais des parcours de femmes, certes soumis aux injonctions de leur temps et de leur milieu social.
Elles s’appellent Ernestine, Françoise, Mathilde, Augustine ou Martine. Elles sont nées en 1851, en 1900 ou encore en 1960. Ce sont des filles d’ouvriers, d’aristocrates, d’artisans, de mineurs ou d’ouvriers. Chacune de leur trajectoire dit quelque chose des conditions féminines. C’est tout l’avantage de l’ouvrage de l’éditrice et généalogiste Marie-Odile Mergnac, "Les femmes au quotidien de 1750 à nos jours" (éd. Archives et Culture) : montrer qu’il n’y a pas une condition féminine mais des parcours de femmes, certes soumis aux injonctions de leur temps et de leur milieu social.
L'université a vu le jour au XIIIe siècle en Europe. Elle naît de la transformation d'écoles souvent déjà existantes et crée de véritables communautés qui rassemblent maîtres et étudiants. ÂÀ Paris, Oxford, Bologne ou Montpellier, tout au long du Moyen Âge, les université rayonnent dans l'Europe entière. Elles formeront des milliers d'hommes et diffuseront un réel savoir. Explications d'Antoine Destemberg, auteur de "L'honneur des universitaires au Moyen Âge" (éd. PUF, 2015).
L'université a vu le jour au XIIIe siècle en Europe. Elle naît de la transformation d'écoles souvent déjà existantes et crée de véritables communautés qui rassemblent maîtres et étudiants. ÂÀ Paris, Oxford, Bologne ou Montpellier, tout au long du Moyen Âge, les université rayonnent dans l'Europe entière. Elles formeront des milliers d'hommes et diffuseront un réel savoir. Explications d'Antoine Destemberg, auteur de "L'honneur des universitaires au Moyen Âge" (éd. PUF, 2015).
L'université a vu le jour au XIIIe siècle en Europe. Elle naît de la transformation d'écoles souvent déjà existantes et crée de véritables communautés qui rassemblent maîtres et étudiants. ÂÀ Paris, Oxford, Bologne ou Montpellier, tout au long du Moyen Âge, les université rayonnent dans l'Europe entière. Elles formeront des milliers d'hommes et diffuseront un réel savoir. Explications d'Antoine Destemberg, auteur de "L'honneur des universitaires au Moyen Âge" (éd. PUF, 2015).
L'université a vu le jour au XIIIe siècle en Europe. Elle naît de la transformation d'écoles souvent déjà existantes et crée de véritables communautés qui rassemblent maîtres et étudiants. ÂÀ Paris, Oxford, Bologne ou Montpellier, tout au long du Moyen Âge, les université rayonnent dans l'Europe entière. Elles formeront des milliers d'hommes et diffuseront un réel savoir. Explications d'Antoine Destemberg, auteur de "L'honneur des universitaires au Moyen Âge" (éd. PUF, 2015).
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