Faire découvrir, redécouvrir, aimer la poésie.
Jim Harrison, écorché vif, dans un corps de grizzly des montagnes fut Membre de l'Académie américaine des Arts et des lettres. Le recueil « Une heure de jour en moins » nous plonge au coeur des grands espaces américains du nord qu'il a sillonnés en tous sens. Ecoutons un extrait de « Suite de Livingstone » suivi de « Arbre clôture ».
Un film documentaire sorti récemment, montrant le grand écrivain américain Jim Harrison au coeur des grands espaces qu’il affectionnait, a incité Danielle Vaginay à se replonger dans sa poésie moins connue que ses romans.
Un recueil réunissant des poèmes inédits écrits entre 1965 et 2010 a été publié sous le titre « Une heure de jour en moins ». Il se fait le chantre vagabond des vastes étendues sauvages, comme dans ce poème « Marcher».
KATEB YACINE restera pour la postérité un grand poète. Il décède à Grenoble en 1989 et nous laisse une œuvre riche en poésies, théâtre et romans. Ecrivain engagé, il fit du théâtre une cause militante jusque dans les milieux de l’émigration en France. Terminons cette semaine par une de ses poésies
traduisant parfaitement l’amour, un des thèmes majeurs de sa poésie.
Voici une poésie lue par Odile, extraite de «SOLILOQUES»
KATEB YACINE était avant tout un poète rebelle. Intellectuel engagé, s’affirmant algérien, ancré dans la berbérité, il considère son écriture en langue française comme «un butin de guerre» .
Voici deux poèmes courts de son recueil «éclats de miroir», lus par Odile.
Le grand écrivain algérien, KATEB YACINE, n’a que 15 ans quand il commence à écrire SOLILOQUES, recueil qui sera publié en 1946, après les évènements dramatiques de SETIF le 8 Mai 1945 où l’élève Kateb fut emprisonné.
Kateb dira plus tard que «dans ses poèmes de jeunesse, il y a deux thèmes majeurs: l’amour et la révolution. Voici deux poésies issus de son recueil, lus par Odile.
KATEB YACINE était avant tout un poète rebelle. Vingt ans après sa disparition, il occupe en Algérie la place d’un mythe national et reste aussi l’une des figures les plus importantes et révélatrices de l’histoire franco-algérienne, toute de douleurs et de passion. Voici un poème lu par Odile.
A l’occasion des 60 ans de l’indépendance de l’Algérie, Odile HOW SHING KOY a voulu rendre hommage à un grand écrivain algérien, poète et journaliste KATEB YACINE, né en 1929 à Constantine. Tout au long de cette semaine, Odile lira des poèmes extraits de son œuvre «SOLILOQUES» écrite en 1946, alors qu’il n’avait que 17 ans. Voici deux courtes poésies.
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