Faire découvrir, redécouvrir, aimer la poésie.
En ce dernier jour du Printemps des poètes sous le signe de l'éphémère,
deux textes,
L'eau discrète de Claude Roy dit par Danielle Vaginay et Claude Fournier
puis toute l'équipe clôt cette fête annuelle de la poésie en lisant Ephémérides d'Esther Granek.
En ce second lundi du Printemps des poètes sous le signe de l'éphémère, l'émission Ondes Poétiques vous propose deux poèmes : Le Bonheur de Paul Fort lu par les 5 voix de l équipe puis Après l'amour de Louis Aragon dit par Danielle Vaginay.
En ce Printemps des poètes sous le signe de l'éphémère, deux textes,
Illuminations de Michel Martin dit par Anne Chantal Berger puis
Passage de Louis Philippe Dalembert dit par Danielle Vaginay.
A lundi pour la seconde semaine du Printemps des poètes.
En ce premier lundi du Printemps des poètes sous le signe de l'éphémère, l'émission Ondes Poétiques vous propose deux poèmes : 2ème chant de Caligula extrait des Odelettes de Gérard de Nerval lu par les 5 voix de l équipe puis
Sonnet pour Hélène dit par Odile How Shin Koy.
Dans un monde redevenu instable, nous avons une pensée pour le peuple d’Ukraine. Une fois
encore des femmes, des hommes, des enfants sont obligés de fuir leur pays en catastrophe.
Les poèmes de cette semaine évoquent l’exil. Dans son poème « Un homme a tendu la
main » le poète haïtien Louis Philippe Dalembert rend hommage au courage de Cédric
Herrou qui en tendant la main aux migrants a gommé les frontières.
Dans un monde redevenu instable, nous avons une pensée pour le peuple d’Ukraine. Une fois
encore des femmes, des hommes, des enfants sont obligés de fuir leur pays en catastrophe.
Les poèmes de cette semaine évoquent l’exil. Dans son dernier recueil Omar Youssef
Souleimane, poète syrien arrivé en France en 2012, éprouve le spleen de l’exilé, l’équilibre
toujours fragile entre le pays que l’on a quitté et celui qui vous a accueilli.
Dans un monde redevenu instable, nous avons une pensée pour le peuple d’Ukraine. Une fois
encore des femmes, des hommes, des enfants sont obligés de fuir leur pays en catastrophe.
Les poèmes choisis cette semaine évoquent l’exil. Dans le poème « Gares d’émigrants:Italie
du Sud » de 1934, la scène décrite par Marguerite Yourcenar pourrait se situer aujourd’hui.
Dans un monde redevenu instable, nous avons une pensée pour le peuple d’Ukraine. Une fois
encore des femmes, des hommes, des enfants sont obligés de fuir leur pays en catastrophe.
Les poèmes de cette semaine évoquent l’exil. Marilyse Leroux nous dit tout le courage
nécessaire pour migrer, puis la poétesse syrienne Maram al-Masri est triste de voir ses
compatriotes mendier de l’aide dans « Denfert-Rochereau. »
Dans un monde redevenu instable, nous avons une pensée pour le peuple d’Ukraine. Une fois
encore des femmes, des hommes, des enfants sont obligés de fuir leur pays en catastrophe.
Les poèmes choisis cette semaine évoqueront l’exil. Qu’il soit volontaire ou contraint, celui-ci
est toujours vécu comme un traumatisme. L’écrivain poète italien Erri de Luca décrit le long
chemin de ces gens venus d’Afrique, et la difficulté d’être accepté dans un nouveau pays.
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