Tempéraments

Il coïncide chez nous avec les jours les plus courts et les températures les plus froides, mais dans peu de temps, le solstice d'hiver augmentera la durée de la journée et fera diminuer celle de la nuit. Les hivers particulièrement rigoureux influent sur nos sociétés humaines, mais pour éviter de sombrer dans une léthargie ou une somnolence, la musique va nous réveiller ce soir avec Frédéric Chopin, Sergheï Prokofiev, Ludwig Spohr, Jean Sibelius, Charles Koechlin, , Franz Schubert ou encore Christopher Simpson.

Dimanche dernier s’est terminée la 25ème Fête des Lumières à Lyon. A partir du dimanche 15 décembre à 17h00, vous êtes conviés à la célébration joyeuse et colorée de la Lumière venue de Bethléem dans la cathédrale de Chambéry. Pour célébrer en musique la lumière hivernale, nombre de compositeurs vous accompagnent ce soir, parmi lesquels Zoltán Kodály, Ronan Hardiman, Arcangelo Corelli, Antonio Vivaldi, Henry Purcell, Jean-Sébastien Bach, Ralph Vaughan Williams, Piotr Ilyitch Tchaïkovski, Gustav Malher ou encore Alexandre Borodine.

Anima Mea avait à l’origine le sens de souffle, haleine, l’air que l’on respire, un souffle puissant, celui qui donne vie. Les musiques que vous découvrez ce soir renvoient à l'âme et vous feront peut-être prendre de la hauteur, en quête de beauté avec Jean-Philippe Goude, Jean-Sébastien Bach, Arianna Savall, Petter Udland Johansen, Francis Poulenc, Félix Mendelssohn ou encore Robert Schumann.

Celui dont on célèbre dans 3 jours le centenaire de la mort aura traversé de gigantesques transformations dans le monde, que ce soit d’un point de vue musical ou géopolitique. Et pourtant, l’œuvre de Giacomo Puccini est reconnaissable tout au long de sa production. Ses dates de naissance et de mort (1858 et 1924) disent combien il est passé, en l’espace de moins de 70 ans, d’un monde à un autre : en 1858, l’unification italienne n’est pas encore réalisée et à l’autre bout du parcours, en 1924, l’Europe panse ses plaies du premier conflit mondial et de la pandémie de la grippe espagnole ; Lénine vient de mourir et Mussolini, que Puccini rencontre en 1923, est premier ministre ! C’est un riche itinéraire que nous explorons ce soir avec la compositeur italien Giacomo Puccini.

Lorsqu’elle est festive, la musique participe aux réjouissances en famille ou entre amis. Ce sera le cas ce soir avec le concert Mozart en fête pour célébrer les 40 ans de l’Orchestre des pays de Savoie. Mais nous retrouverons aussi Nino Rota, Joseph Haydn, Giovanni Gabrieli, Antonio Vivaldi, Franz Liszt, ou encore Jean-Sébastien Bach.

Au lendemain des commémorations de l’armistice de 1918, nous explorons les musiques qui transcendent les frontières, les cultures et les différences. Elles procurent des émotions puissantes et favorisent un sentiment d’unité. Nombreux sont les compositeurs qui ont écrit des œuvres en hommage à la paix : Jean-Philippe Rameau, Georg Friedrich Haendel, Gioacchino Rossini, Giuseppe Verdi, Ralph Vaughan Williams, Gustav Holst, ou encore Paul Tortelier, que nous écoutons ensemble jusqu’à 20h00.

Le compositeur Gabriel Fauré, tombé sous le charme des Alpes, a séjourné à Evian et sur les rives du lac d’Annecy. De 1919 à sa mort en 1924, chaque été, il s’est s'installé dans la villa Dunand à Annecy-le Vieux, où il a reçu de nombreux artistes parmi lesquels les compositeurs Alfred Cortot et Arthur Honegger, le violoncelliste Pablo Casals et la meneuse de revue Joséphine Baker. Hier, le 4 novembre, nous avons honoré le 100ème anniversaire du décès de Gabriel Fauré, l’un des musiciens les plus influents de la fin du 19ème siècle et du début du 20ème siècle ; et nous lui rendons hommage ce soir avec de nombreux extraits de son œuvre.

Le paysage alpin où les montagnes côtoient lacs et vallées nous procure une sensation de sérénité et de bien-être. Depuis ce cadre d’exception, à quelques jours de la Toussaint, nous avons une pensée pour le Paradis céleste. Le mot « Paradis » évoque le vécu ou l'inspiration de quelques grands musiciens que nous écoutons ce soir : de Joseph Kosma à Alexandre Borodine, en passant par Georg Friedrich Haendel, Maurice Ravel, Robert Schumann, Vangelis et bien d’autres.

Ce soir nous honorons les jeunes musiciens de l'Arc alpin et les jeunes talents qui sont déjà sous les projecteurs des grandes scènes internationales avec Michel Pignolet de Montéclair, Leonard Bernstein, John Dowland, Johann Sebastian Bach, Johannes Brahms, Wofgang Amadeus Mozart.

Ce soir nous honorons les jeunes musiciens de l'Arc alpin et les jeunes talents qui sont déjà sous les projecteurs des grandes scènes internationales avec Michel Pignolet de Montéclair, Leonard Bernstein, John Dowland, Johann Sebastian Bach, Johannes Brahms, Wofgang Amadeus Mozart.

Il est né et a grandi en Pologne où il a passé la moitié de sa vie. Frédéric Chopin, compositeur et pianiste franco-polonais est décédé il y aura tout juste 175 ans dans deux jours, le 17 octobre. Une occasion de redécouvrir sa musique avec les plus grands artistes.

Pourquoi la musique nous procure-t-elle tant d’émotions ? Son caractère universel au sein des sociétés humaines montre qu’il y a bien des manières d'être joyeux en musique. Elle est source d’évasion, une respiration, une occasion d’effectuer un voyage immobile et de percevoir des images très personnelles. C’est une musique joyeuse au tempo élevé ou sautillante dans son rythme que nous écoutons ce soir : Francis Lopez, Max Bruch, Jacques Offenbach, Wolfgang Amadeus Mozart, Sergueï Rachmaninoff, Camille Saint-Saëns, Antonio Vivaldi sont au programme.

Les œuvres musicales de la Renaissance et de l’époque Baroque traduisent une piété au plus près de la contemplation du mystère de Dieu. Puis, dans le prolongement de la philosophie des Lumières, le Classicisme musical de Wolfgang Amadeus Mozart fait de l’homme et de sa raison le sujet central de son rapport à Dieu. Mêlant religion, philosophie et mythologie, cette position est exacerbée chez les compositeurs romantiques tardifs, comme Franz Liszt, Richard Wagner ou Alexandre Scriabin. Et la période plus récente témoigne d’une expression de la foi contemporaine avec Krzysztof Penderecki, ou encore Olivier Messiaen. Chacun de ces compositeurs a, à sa manière, interrogé la question de Dieu dans la musique.

La fraternité olympique a transformé Paris au cours de l’été. Ce soir, nous écoutons une partie des musiques associées aux cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux olympiques et des Jeux paralympiques de Paris 2024, une symbiose équilibrée entre les classiques et les modernes, en relation avec l’accueil inouï et la bienveillance prodigués par des dizaines de milliers de volontaires enthousiastes. La trêve olympique a bien changé la vie des sportifs et du public !

Faire vibrer ses cordes vocales, modifier leur tension et leur épaisseur pour qu’elles entrent en résonnance par amplification avec la cage thoracique, le pharynx, la cavité buccale ou les fosses nasales ; la voix humaine est souvent considérée comme le plus ancien instrument de musique.

Avec le chant lyrique, on la classifie en fonction de sa tessiture, c'est-à-dire l'étendue des notes que la voix peut facilement atteindre sans modification du volume ou de la justesse.

Nous l’explorons ce soir avec François Couperin, Clément Janequin, Camille Saint-Saëns, Wolfgang Amadeus Mozart, Georg Friederich Haendel, Léo Delibes, ou encore Georges Bizet.

La force fascinante de la musique se vit partout à Leipzig, en Allemagne centrale. Au cours des derniers siècles, la cité a accueilli plus de cinq cents compositeurs, parmi lesquels de grands noms de l’histoire musicale : Jean-Sébastien Bach, Felix Mendelssohn Bartholdy, Robert Schumann, Richard Wagner, Edvard Grieg, Gustav Mahler ou encore Georg Philipp Telemann.

Si votre cœur est encore un peu en vacances, il faut bien penser à la Rentrée ! Mais peut-être avez-vous déjà repris le travail depuis plusieurs semaines ? Quoi qu’il en soit, chaque mardi, entre 19h00 et 20h00, Tempéraments vous invite à découvrir des itinéraires musicaux originaux. Ce soir, nous explorons les belles pages des festivals estivaux dans lesquels vous avez peut-être eu le plaisir de vous arrêter.

« La Liberté appartient à ceux qui l’ont conquise », affirmait André Malraux. Le terme Liberté ne voisine pas pour autant l’individualisme. Penser, exprimer, agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs, la liberté implique des choix volontaires, responsables et autonomes, dans une harmonie sociale compatible avec l'égalité et la justice : source de droits et de devoirs, « la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui », nous rappelle la Déclaration des droits de l'homme dans son article 4. C’est ce que nous explorons ce soir en musique avec Charles Trénet, Aretha Franklin, Francis Poulenc, Giuseppe Verdi, Pyotr Ilyich Tchaikovsky, Jean Sibelius, François-Joseph Gossec, Robert Schumann, Georges Delerue, ou encore Gabriel Fauré.

Depuis quelques jours, c’est l’été et nous le célébrons ce soir en musique avec Frederick Delius, Richard Strauss, Yann Tiersen, Antonio Vivaldi, Camille Saint-Saëns, Sergheï Prokofiev, Felix Mendelssohn, et bien d’autres.

Au confluent de la terre et de l’océan, il est un pays qui déploie un arsenal de beautés préservées comme peu de territoires peuvent en offrir. Notre itinéraire vespéral nous conduit au Portugal.

Incontournable, la musique portugaise réserve bien des surprises et brille par ses compositeurs, du baroque au classique : Joao de Sousa Carvalho, Francisco António De Almeida, Luís de Freitas Branco, João Domingos Bomtempo. Plus récemment, de jeunes artistes contemporains ont porté haut les couleurs du Portugal.