Toutes les semaines, dans "L'éco des solutions", Patrick Lonchampt s'intéresse à une problématique économique et à ses solutions. Interview, portrait, reportage autant de possibilité pour découvrir ces entrepreneurs du changement. Le programme se décline sur le web où tous les mois vous pouvez retrouver l'intégralité de nos échanges et de manière indépendante le portrait et le reportage.
Chaque année, la Saint-Valentin nous rappelle les vertus de l'amour. Dans une société où la frontière entre vie professionnelle et personnelle est de plus en plus poreuse, le couple doit faire face à de nouveaux défis : l’émancipation professionnelle des femmes, la montée du télétravail, les évolutions sociétales post-MeToo et la quête de sens. Autant de transformations qui interrogent en profondeur notre manière de créer et d’entretenir du lien tout en respectant les carrières respectives des deux membres du couple.
Cela soulève plusieurs questions : l’entreprise est-elle devenue un espace trop normé pour laisser place à la spontanéité des relations humaines ? L’amour et le travail sont-ils désormais incompatibles ? Ou, au contraire, faut-il repenser nos modèles pour concilier performance, égalité et bien-être personnel ?
Il est donc essentiel d’explorer les tensions et opportunités qui redéfinissent le couple dans le monde du travail : l’impact des nouvelles organisations, la charge mentale, la gestion du temps partagé, mais aussi la place de l’émotion et du lien dans un univers encore trop souvent dicté par la seule productivité. Peut-on réussir à deux sans sacrifier son équilibre personnel ? Comment imaginer une entreprise qui prenne en compte à la fois les individus et les relations qui les unissent ?
Alors que le Sommet de l’Élysée sur l’IA ambitionne de positionner la France comme un leader d’une IA souveraine, éthique et responsable, des voix s’élèvent pour rappeler que cette révolution technologique ne doit pas creuser d’avantage la fracture numérique, mais au contraire être au service du bien commun et de l’intérêt général
Frédéric Bardeau, cofondateur et président de Simplon, fellow ashoka est l’un des pionniers français du numérique inclusif. En effet depuis plus de 10 ans SIMPLON travail à rendre les métiers du numérique accessibles aux publics éloignés de l’emploi : personnes en reconversion, jeunes décrocheurs, femmes dans la tech, réfugiés, personnes en situation de handicap.
Mais qu’en est-il pour l’IA qui transforme à grande vitesse nos économies et nos modes de vie ? comment garantir que cette technologie profite à tous, et pas seulement à une élite technologique ? L’IA peut-elle devenir un outil d’insertion sociale et d’émancipation ? Quel rôle doit jouer l’État pour encourager une IA vraiment inclusive ?
C’est autour de ces questions essentielles que nous allons échanger avec Frédéric Bardeau, pour comprendre comment l’IA peut être un facteur d’opportunité plutôt qu’un amplificateur des inégalités.
C’est un homme qui marche entre les colonnes du temps avec une assurance sereine, sans précipitation mais sans jamais perdre le rythme. Yann Rolland, on le croirait façonné comme une pierre précieuse, mêlant solidité et lumière. Comprenant qu'il faut passer de la muraille au vitrail. Son regard, où danse une étincelle d’intuition, laisse deviner un esprit vif et toujours en mouvement, cherchant à capter ce qui dépasse le tangible : le sens, le durable, l’essentiel.
Dans ses gestes et ses choix, on trouve une pudeur élégante, presque désarmante, comme s’il fuyait les éclats de gloire pour mieux illuminer les autres. Cet ancien bâtisseur d’une entreprise florissante, CETIH, aurait pu s’en tenir aux chiffres et aux lauriers, mais ce n’est pas dans sa nature. Non, Yann Rolland est de ces hommes qui considèrent qu’un succès n’a de valeur que s’il irrigue le monde qui l’entoure.
En créant Superbloom, il a donné à sa trajectoire une inflexion profondément humaine. Ce n’était pas une rupture, mais une continuité, une fidélité à ses convictions profondes : que l’entreprise, loin d’être un simple outil de production, peut devenir un levier d’espérance
Yann Rolland n’est pas seulement un chef d’entreprise, un philanthrope ou un pionnier des fondations actionnaires. Il est avant tout un homme qui refuse de se satisfaire des évidences, un constructeur d’utopies concrètes, un passeur d’espérance. Sous son air tranquille, il cache une audace rare : celle de croire, envers et contre tout, que l’avenir peut être meilleur si nous prenons le temps de le bâtir ensemble.
Entreprendre et être marin sont-ils compatibles ? C'est ce que nous allons explorer avec le skipper Paul Meilhat, navigateur et créateur de sa propre équipe. Ayant grandi à l'ombre des tours de la Défense, il découvre très jeune la passion de la voile et de la navigation. Il suit le parcours exigeant des sportifs de haut niveau, qui l’amènera sur toutes les mers du globe. En 2024, il se lancera dans son second Vendée Globe à la barre de son bateau Biotherm. Pour Paul Meilhat, cette course n'est pas seulement une compétition qu'il espère remporter ; elle est aussi dédiée à la protection des océans. Grâce à son sponsor et à une collaboration avec Terra Ocean, il embarquera un passager particulier : un microscope. Ce dernier capturera régulièrement des images de plancton tout au long de la course, contribuant ainsi à la recherche et à l'étude de la santé des mers du globe. Si vous souhaitez découvrir quelques images et comprendre le personnage vous pouvez aller voir ce très beau reportage "BLEU" en 3 épisosdes réalisé par deux jeux journalistes en herbe
"Objets inanimés, avez-vous donc une âme qui à notre âme et la force d'aimer ?" Cette affirmation questionante du poète d'Alphonse de Lamartine nous interpelle sur le pouvoir profond de l'art et des objets qui nous entourent. Dans un monde en perpétuelle évolution, où les défis environnementaux et sociaux sont omniprésents, l'art se révèle être bien plus qu'une simple expression esthétiqubjets inanimés, avez-vous donc une âme qui à notre âme et la force d'aimer ?" Cette affirmation questionante du poète d'Alphonse de Lamartine nous interpelle sur le pouvoir profond de l'art et des objets qui nous entourent. Dans un monde en perpétuelle évolution, où les défis environnementaux et sociaux sont omniprésents, l'art se révèle être bien plus qu'une simple expression esthétique. Il devient un vecteur essentiel de connexion, d'engagement et de transformation et s'invite dans des sphères inattendues, comme celle de l'entreprise, pour devenir un levier de développement durable et d'inclusion.
Aujourd'hui, on s’arrête à Roubaix, cette ville du Nord qui, après avoir été l’emblème du textile français, s’impose aujourd'hui comme le laboratoire du zéro déchet en France. Imaginez une ville qui ne se contente pas de rêver d’un avenir durable, mais qui le construit, jour après jour, déchet par déchet.
En 2014, Roubaix a fait un pari audacieux : réduire de moitié ses déchets ménagers d’ici 2025. Ce n’est pas juste une promesse, c’est une réalité en marche. Des familles, des entreprises, des artisans, toute une communauté qui change ses habitudes, qui réinvente ses façons de consommer. Des ateliers de cuisine anti-gaspi, des marchés sans emballages, des composteurs partagés... Ici, le moindre geste compte.
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