En partenariat avec Office de tourisme de Caen la Mer
L'Office de Tourisme de Caen la Mer a pour vocation la promotion des richesses culturelles, naturelles, architecturales de la ville de Caen et des 48 communes de la communauté urbaine, mais a aussi pour rôle de faire connaître les entreprises locales telles que les commerces, les artisans, ou encore les hôtels et restaurants.
Là où se créent vos souvenirs en famille. Là où on prend le large. Là où commence l'histoire.
Office de tourisme & des Congrès Caen La Mer
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Ouistreham
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Caen
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C'est une statue du Phénix du sculpteur Louis Leygue qui accueille les milliers d'étudiants qui se pressent sur le Campus n°1 de l'université de Caen. Il rappelle que l'honorable institution est re-née des cendres des bombardements de la Libération pour donner naissance à l'un des campus les plus modernes de son époque en 1957. Moderne, mais malgré tout ancré dans la tradition pluriséculaire de l'université normande, comme nous l'explique le guide Patrice Gourbin.
Historiquement situé aux portes de la ville de Caen, le quartier du Vaugueux a traversé l'histoire de la cité en conservant son caractère médiéval. Petit "village"où l'on retrouvait moultes artisans et commerçants, il vit s'installer de nombreux débits de boisson, la garnison du chateau tout proche, de même que les marins du port, offrant des clients en nombre. Les grands parents d'Edith Piaf y avaient un établissement que l'on peut encore voir. Touché par les bombardements de la Libération, le quartier fut rénové dans les années 8O et tout récement encore. On y retrouve de très nombreux restaurants et quelques vestiges visibles de cette riche histoire que nous décryptent le guide, Florent Dufour.
Avec son église dédiée à l'archange Michel, le quartier de Vaucelles, qui se déploie sur une colline surplombant l'Orne, a des airs de Montmartre. Le charme des maisons anciennes et des petites ruelles cotoie une vie locale discrète mais bien réelle. La façade classique avec ses portes rouges, tranchent avec le clocher roman. En face, le café de quartier El camino fait face à la section locale du Parti Communiste. Le décor est planté. Pierre Bonnard nous guide dans ce quartier historique de Caen.
C'est l'un des six cimetières dits "dormant" de Caen, car n'accueillant plus d'inhumations. Pourtant bien vivant, à en croire la végétation et le chant des oiseaux, ce lieu reculé, clos de murs, abrite de nombreuses tombes anciennes. Un ancien maire de Caen, des abbés de divers communautés, un certain Monsieur Loyal ou bien encore un histoirien normand très connu... les histoires, justement, et la grande histoire s'y cotoient.
Désiré avait 8 ans au début de l’occupation allemande, le 19 juin 1940. En rentrant de l'école, la petite ville de Ouistreham « n'était plus qu’une garnison allemande ». Sa famille a fait le choix de rester habiter sur la côte, alors que les combats sévissaient. En 1943, de nombreux enfants sont évacués de la commune, mais Désiré reste avec sa famille, ce qui lui permettra de vivre des instants dont lui seul peut témoigner.
Il vivra sous l’occupation allemande jusqu’au Débarquement, dans la maison de sa grand-mère où sa mère et lui vinrent se réfugier après les premiers bombardements de 1944, maison où il habite toujours avec son épouse Janine.
Janine Dajon-Lamare avait 5 ans en 1944. Habitant à Ouistreham, et en prévision des bombardements, sa famille décide de fuir la côte, parcourant 30 km à pied vers Argences au sud-est de Caen. Elle nous partage son expérience de l'exode.
C'est un quartier carrefour de Caen ouvert sur la route de Paris comme sur celle dite "d'Espagne" empruntée jadis par les ducs de Normandie pour visiter leur province d'Aquitaine. Cétait aussi le point de départ vers le Mont-Saint-Michel et les pélerins pouvaient y trouver auberges et tavernes en nombre, dont celles, rivales, de "A l'âne gris" et du "véritable âne gris". Marqué par la gare qui s'y est installée non loin au XIXème siècle, la partie basse du quartier jusqu'aux rives de l'Orne a été très touchée par les bombardements de l'été 44. C'est Pierre Bonard qui nous guide dans cette découverte de ces rues "laborieuses" caennaises pleines d'histoires.
C'est la principale artère de la reconstruction caennaise. Alors que le périphérique n'existe pas encore et que le quartier Saint-Jean n'est plus qu'un champ de ruines, l'architecte–urbaniste Marc Brillaud de Laujardière la voit comme la voie d'entrée dans la ville de Guillaume le Conquérant, De rives de l'Orne jusqu'au château, l'avenue du 6 juin frappe par son unité architecturale. Cependant, plusieurs bâtiments tranchent avec le style néo-haussmannien en vigueur.
C'est la place emblématique de la reconstruction de Caen après les terribles bombardement de juin et juillet 1944. De l'ancien quartier Saint-Jean, composé de maisons anciennes, il ne reste plus rien. Seul vestige de l'époque médiévale: l'Eglise Saint Pierre. L'architecte Marc Brillaud de Laujardière a voulu une grande place aux allures assez classiques avec des immeubles relativement peu élevés, aux toits d'ardoises et aux murs en pierre de Caen ou simili et aux entrées finement travaillées. Traversée par l'avenue du 6 juin, la place de la Résistance accueille en son centre une statue équestre de Jeanne d'Arc aux origines... méditerranéennes.
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