Chaque jeudi à 11h50 dans M Comme Midi, Didier Rodriguez vous emmène par monts et par vaux à la découverte d'un territoire du Rhône, du Roannais ou du Nord-Isère. À travers une initiative positive et solidaire, un lieu touristique ou spirituel, une création artisanale ou industrielle, découvrez chaque semaine des femmes et des hommes passionnés, fiers de leur savoir-faire et de leur patrimoine.
2023 est une excellente année pour les boulangers du Rhône : au début du mois d’octobre, Alexis Douine, de la boulangerie les 3 V à Lyon, a remporté le titre du meilleur croissant de France. En mai, il avait déjà remporté celui de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
La semaine dernière, c'est un jeune boulanger de 32 ans, installé à Bessenay, le bien nommé Valentin Pain, qui a remporté le titre du meilleur croissant du département du Rhône. Originaire du département de la Côte d’Or, sa formation et son parcours professionnel sont au début étrangers au monde de la boulangerie.
En 2017, il intègre l’Institut Paul Bocuse : cuisine, pâtisserie, boulangerie et management sont au programme des 3 années de formation. En 2019, il obtient un bachelor en cuisine et commence une carrière de chef cuisinier dans un restaurant de la Croix-Rousse. C’est la crise du covid et une activité du restaurant au point mort qui vont faire ressurgir son projet de boulangerie.
C'est à Bessenay, une commune à l'ouest du département du Rhône qu'il reprend une boulangerie fermée depuis plusieurs mois. Il va se lancer dans une rénovation complète du magasin de vente et du laboratoire. Après 6 mois de travaux qu'il entreprend lui-même, la boulangerie ouvre le 13 juillet 2022. Un magasin de vente au design moderne. Une grande baie vitrée permet de voir le laboratoire où travaille Valentin.
Pendant les travaux de sa future boulangerie, il obtient son diplôme de boulanger pâtissier par Validation des Acquis de l’Expérience. Bien sûr, il fait du pain avec des farines et des ingrédients biologiques, « du pain bon pour la santé » comme il aime à le dire. Il fait aussi des viennoiseries et donc des croissants.
En octobre, il participe au concours du meilleur croissant du Rhône dont il remporte le premier prix.
Pour visiter autrement la ville de Lyon en levant les yeux et voir sur les façades ou les angles des immeubles des niches occupées par des statues de la Vierge Marie ou de saints.
Depuis une quinzaine d'années, l'association Madones de Lyon remet en valeur les 200 statues visibles dans la ville dont 85 dans le Vieux Lyon, du quartier Saint-Paul au nord, en passant par la cathédrale Saint-Jean-Baptiste et le quartier Saint-Georges au sud.
Dégradées par la pluie, le vent, la pollution, volées parfois, aucune des statues n'est de l'époque de construction des immeubles. La plupart ont été installées au 19e siècle. Aujourd'hui, l'association promeut la création de nouvelles statues contemporaines. Laurence Benoît, guide-conférencière et secrétaire de l’association des Madones de Lyon, nous fait découvrir ces statues qui invitent à la prière au cours d'une visite du Vieux Lyon.
Cette épicerie sociale de Tarare vient de fêter ses 10 ans.
Son local de vente se trouve au 15 rue de la République (l’ancienne Nationale 7 qui traverse la ville). Elle permet chaque année à près de 160 familles, couples ou personnes seules de Tarare et des villages alentour, ayant de faibles revenus et orientées par des organismes sociaux, de pouvoir faire leurs courses pour un prix modique.
Marlène Granger est depuis 2 ans la coordinatrice de l’association Epi’Autre. Avec elle, une vingtaine de personnes donnent de leur temps pour que les ouvertures d’Epi’Autre puissent avoir lieu le mercredi matin et le vendredi après-midi. Des bénévoles qui se recrutent souvent par connaissance. Nous entendrons Michèle et Nicole.
Pour postuler comme bénévoles à Epi'Autre, appeler le 04 27 48 03 42.
Du 5 au 13 octobre se déroule la 3e semaine nationale des pensions de famille : aujourd’hui en France, 22 000 personnes habitent en pension de famille après avoir connu la rue. Dans ce cadre, elles habitent un logement individuel, sans limite de temps, et ont accès à un espace partagé. Dans notre région, ils en existent plusieurs dont celle de Francheville, une commune de l’ouest lyonnais : La Bouée Sainte-Bernadette.
Dans cette chronique, vous entendrez Françoise Bailly, la présidente de l’association La Bouée Sainte-Bernadette, parler des origines de cette pension de famille créée en 1985.
Gilles est l’un des bénévoles. Il passe de nombreuses heures chaque semaine à Bouée avec les résidents. En 2017, il avait commencé par y mettre le petit doigt mais, comme il le dit si bien, il y passe de plus en plus de temps.
La pension peut accueillir une vingtaine de résidents dans 16 logements. La plupart vivent donc dans un petit studio.
Dounia est arrivée à La Bouée Sainte-Bernadette en 2012, Julien en 2017. Il nous livrent leurs témoignages.
EN SAVOIR PLUS | La Bouée est aujourd'hui gérée par l'association Habitat et Humanisme, une équipe de salariés.
Une extension de la pension de famille est actuellement en projet.
L'association des bénévoles accueille volontiers des personnes qui auraient du temps à donner pour accompagner les résidents.
Sur les hauteurs de Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, un lieu enchanteur avec sa chapelle du 14e siècle consacrée à la Vierge Marie qui verra de nombreux croyants venir en pèlerinage au long des siècles. Et un étonnant jardin de rocailles, construit à côté d’un petit ermitage d’où l’on a une vue incroyable sur toute l’agglomération lyonnaise, les Alpes, les Monts du Lyonnais et le Pilat.
Qui se cache derrière cette prouesse architecturale du jardin de l’Ermitage ? C'est Émile Damidot, dit Frère François, le dernier ermite ayant vécu au Mont Cindre.
Alors que dans les années 1870, les Lyonnais construisent la basilique de Fourvière, que le facteur Ferdinand Cheval édifie son Palais Idéal à Hauterives, dans la Drôme, cet ermite – qui s'est fait apprenti maçon - décide de créer un jardin tout droit sorti de son imagination. Pierre après pierre, pendant 32 ans, il construit un jardin de rocailles d’un peu plus de 300 mètres carrés, des chapelles, un chemin de croix, un belvédère, des niches, des grottes, des bassins.
Visite en compagnie de Marie-Chantal Pralus, présidente de l'association le Mont Cindre et son Ermitage
On peut le visiter toute l’année en semaine et week-end en réservant sur le site ; 7€ pour les adultes, 4€ pour les enfants. La visite dure environ une heure.
Loisir mais aussi sport de compétition, la pétanque est très populaire dans notre pays et au-delà, dans le monde. Focus sur un petit accessoire indispensable pour y jouer : le but, appelé aussi cochonnet. Il est comme une cible dont les joueurs vont essayer de s'approcher le plus possible en lançant leurs boules. Ce Ligérien a créé un cochonnet phosphorescent.
Les parties de pétanque se prolongeant parfois jusque tard dans la soirée, et le traditionnel cochonnet en buis n'est pas toujours bien visible. C'est ce qui a donné l'idée à Pierre Travard, qui depuis quelques années crée des meubles mariant bois et résine époxy, de fabriquer un cochonnet en résine phosphorescente, se rechargeant à la lumière du soleil ou d'une lampe, bien visible dès qu'il fait sombre.
Dans l'attente d'une éventuelle homologation par la Fédération Française de Pétanque et de le trouver en vente dans les magasins de sport, on peut acheter ces cochonnets phosphorescents :
- dans le showroom de Pierre Travard Création, dans le bourg de Saint-Jean-Saint-Maurice-sur-Loire
- sur internet, via sa page Facebook Travard Pierre Création
Alors que les vignobles français sont actuellement en pleine vendanges, et dans notre région, en Beaujolais, dans les Coteaux du Lyonnais, les Côtes Rôtie et sur la Côte Roannaise, reportage à Ambierle, au domaine de la Bénisson-Dieu, découvrir Aude-Reine et Régis Anouil, un couple de nouveaux vignerons.
Chancelière du diocèse de Nanterre et journaliste pour la revue des Missions Étrangères de Paris Églises d'Asie, Aude-Reine et Régis ont changé de vie en devenant vignerons. En 2019, ils s'installent sur la Côte Roannaise en achetant une petite exploitation viticole bio. Un changement qui s'inscrit dans une démarche inspirée de l'encyclique Laudato si' et de leur appartenance à la communauté de la dizaine de familles membres de l'éco-hameau de La Bénisson-Dieu. L’objectif de cet éco-hameau est de mettre en pratique l’écologie intégrale, comprise et vécue comme l’application des vertus écologiques (respect de la nature de chaque chose, sobriété, équilibre, générosité) dans tous les aspects de la vie humaine : agricole, éducatif, social, économique, environnemental, politique, culturel, spirituel.
Samedi 23 septembre, le vin blanc qui sera consacré par le pape François, lors de la messe qu'il présidera au stade Vélodrome de Marseille, provient de la production du domaine de la Bénisson-Dieu. Une fierté pour ces néo-vignerons qui ont proposé spontanément à l'archevêque de Marseille d'offrir le vin de messe mais aussi le vin rouge, de la cuvée Laudato Si, qui sera servi au pape pour le dîner.
L'exposition photo « Ukraine, une enfance en ruine » se tient en ce moment à Roanne.
Cette exposition présente 35 photos de Christian Verdet, journaliste à l’hebdomadaire Pays Roannais et reporter photographe. Depuis le début des années 90, il s’intéresse aux zones de conflits, notamment en Afrique et au Proche-Orient, en photographiant tout particulièrement les enfants. En mars 2023, pendant 18 jours, Christian Verdet a posé son regard d’homme et de photographe sur des enfants qui vivent cette période de guerre.
C'est tous les après-midi de 15h à 20h, jusqu’au dimanche 17 septembre, dans les anciens locaux de la Banque de France, 82 rue Jean Jaurès, à Roanne.
On peut rencontrer Christian Verdet et échanger avec lui.
L’exposition est organisée par l’association roannaise DÉcadrage.
Elles peuvent dévaler les pentes à plus de 80 km/h lors des courses. Nées aux États-Unis en 1933, les caisses à savon colonisent l'Europe à la fin des années 40. En 1981, la première course nationale de caisses à savon se tient à Vénissieux, dans le Rhône. Aujourd'hui, une douzaine de courses sont organisées dans notre région. Chaque année, les constructeurs amateurs se retrouvent pour les championnats de France, comme à Saint-Just-en-Chevalet en 2022 et pour les meilleurs pilotes lors d'un championnat d'Europe.
C'est en 1988 que Bernard Sérol, habitant de Villemontais dans la Loire, découvre cet univers. Ce loisir va bien vite devenir une passion. Les caisses à savon qu'il fabrique, loin des engins folkloriques que l'on peut voir dans les courses, se rapprochent dans leur forme des voitures de course. Pour augmenter leurs performances, il a construit chez lui une soufflerie, sur le modèle Eiffel qui existe à Paris, où il teste les propriétés aérodynamiques de ses futurs modèles.
Pour découvrir l'univers des caisses à savon, une course aura lieu le dimanche 17 septembre, au Crozet, un village au nord-ouest de Roanne. Et pour en savoir plus, le site régional de l'association circas-auvergne.com qui compte un peu plus de 120 adhérents dans le Cantal, la Loire, la Haute-Loire, le Puy-de-Dôme et la Saône-et-Loire.
Après avoir été journaliste à RCF et avoir travaillé pour plusieurs titres de la presse lyonnaise, Blaise Fayolle a choisi de changer de métier et de prendre la suite de son père, de ses grands-parents et arrière-grands-parents dans la ferme familiale à Saint-Martin-en-Haut. Il nous raconte sa nouvelle vie et comment il a fait le choix de devenir maraîcher.
Pour acheter et cuisiner les légumes bio de Blaise Fayolle, rendez-vous le samedi matin sur le marché de Craponne. Et pour en savoir plus, voir les légumes, vous pouvez visiter la page Facebook de Blaise, « Le Jardin de Croix-Carrière ».
Situé à Vienne dans la vallée de Gère, ce musée retrace l’histoire de l’industrie textile viennoise spécialisée dans la draperie de laine. Ce fut la principale activité économique de la région viennoise du 17e siècle jusqu'au milieu du 20e siècle.
Ce nouveau musée de l'industrie textile a vu le jour en 2019, prenant la suite d'un petit musée créé par d'anciens ouvriers des manufactures viennoises. La muséographie montre toutes les étapes de de la fabrication de tissus en laine, depuis le lavage et le cardage jusqu'à la confection de draps et de vêtements.
Visite du musée avec Virginie Durand, chargée des collections dans les musées de Vienne.
C’est aux « Grandes Voisines », ce tiers-lieu social et solidaire installé sur le site de l’ancien hôpital Antoine Charial à Francheville que se trouve la cuisine de La Petite Syrienne, une entreprise de restauration qui propose une cuisine du Moyen-Orient (syrienne, libanaise et irakienne).
Les créateurs de la Petite Syrienne, Ruba et Mhiar Khatib, originaires de Damas et d’Alep en Syrie, sont arrivés à Lyon en 2016 comme réfugiés politiques. Ne pouvant exercer leurs métiers, respectivement responsable RH et business manager dans l’hôtellerie, ils ont décidé de s’orienter dans un domaine qu’ils affectionnent : la cuisine.
C'est en 2018 qu'ils débutent leur activité avec un foodtruck baptisé, "La Petite Syrienne". Depuis, l'organisation de buffets et cocktails, un kiosque dans le 6e arrondissement, un comptoir à la bibliothèque de la Part-Dieu et un restaurant à la médiathèque de Rillieux-la-Pape sont venus sont venus étoffer l'offre de restauration. En février dernier, c'est l'ouverture d'un restaurant, "Le Coin des Amis" dans les locaux des Grandes Voisines. C'est aussi là que se trouve la cuisine centrale où sont préparés tous les repas (en moyenne 400 repas quotidiens) servis dans les différents lieux de l'agglomération.
Ruba et Mhiar n'oublient pas d'où ils viennent et leur histoire. Leur entreprise s'ancre dans la mouvance de l'économie sociale et solidaire.
Leurs projets dans les prochaines semaines sont l'ouverture d'un restaurant au Tennis Club de Rillieux et la participation à deux grands évènements : Solidays (fin juin à Paris) et Dialogues en humanité (en juillet à Lyon).
Fondée en 2004 sous un autre nom, Tim&Colette est une association qui met en relation des personnes à la retraite et de jeunes étudiants ou jeunes professionnels. Les premiers proposant aux seconds un hébergement moyennant une présence au quotidien. C’est la canicule de 2003, mettant en lumière la solitude d’un certain nombre de personnes âgées, qui a suscité la création de Tim&Colette.
La demande de ce type d'hébergement étant forte, l'association organise régulièrement des temps d'informations comme lors de la dernière semaine nationale de la Cohabitation Intergénérationnelle fin mai. Au Café 1000 vies de Saint-Genis-Laval, Soline de Villard, directrice de Tim&Colette, a organisé un goûter de Colette pour informer des personnes souhaitant accueillir un jeune, comme Isabelle, une jeune retraitée.
En 2023, sur Lyon et la métropole, ce sont près d'une centaine de binôme anciens/jeunes qui vivent cette expérience de cohabitation. Alix, qui vit tout près du parc de la Tête d'Or accueille William, un étudiant, pour un séjour de quelques mois.
Depuis décembre 2022, du mardi au jeudi, le B.U.S.S Mobile (pour Bureau d'Utilité Sanitaire et Social) des AJD, en fait un camping-car aménagé pour accueillir le public, sillonne les routes du département du Rhône. Il stationne quelques heures dans l'un des 10 villages partenaires de cette initiative portée par la Fondation AJD Maurice Gounon avec le soutien de plusieurs partenaires institutionnels. Une coordinatrice sociale, une infirmière et une psychologue composent l'équipe au service des populations. On vient au B.U.S.S pour résoudre des problèmes d'accès aux soins, pour trouver des réponses à des problèmes administratifs ou tout simplement pour pouvoir parler en toute confidentialité.
Reportage à Cublize (69) avec Marie, l'infirmière, et Dorothée, la psychologue.
L'équipe du B.U.S.S Mobile assure régulièrement une permanence de quelques heures à Amplepluis, Aveize, Chambost-Allières, Cours-la-Ville, Cublize, Les Sauvages, Poule-les-Écharmeaux, Thizy-les-Bourgs, Haute-Rivoire, Saint-Laurent-de-Chamousset et bientôt à Grandris et Sainte-Foy-l'Argentière.
Le planning est consultable sur le site du département.
Depuis une dizaine d’année, chaque printemps et jusqu’à la fin de l’automne, l'association Autour du Piano d’Or installe un piano dans un kiosque du parc de la Tête d'Or à Lyon. Un piano en libre-service, comme ceux que l’on peut voir et souvent entendre dans les gares, les aéroports et les centres commerciaux. Du débutant au pianiste professionnel, tous ceux qui le veulent peuvent jouer, devant un public éphémère qui s'arrête quelques minutes en entendant la musique.
Autour du Piano d’Or, ce sont aussi des interventions régulières dans deux EHPAD de l'agglomération lyonnaise et un concours ouvert à tous qui aura lieu au kiosque de parc de la Tête d'Or le 10 septembre.
Découverte de de l’association Autour du Piano d'Or avec son président Adrien Tisserand.
INFOS PRATIQUES | En entrant par la porte principale du parc de la Tête d’Or, longer le lac sur la gauche : au bout de quelques minutes de marche, vous apercevrez le kiosque où se trouve le piano.
Chiens et chats, mais pas seulement. Cette semaine, Didier Rodriguez nous invite à découvrir celles et ceux qui viennent en aide aux animaux abandonnés ou pris en charge par la fourrière. Avec l'espoir qu'ils trouvent une famille d'accueil. Découverte du refuge SPA de Brignais.
Antoine Brun (1822-1900), paysan à Sainte-Consorce, un petit village de l’Ouest lyonnais, était passionné par les monuments de la ville de Lyon toute proche et par les monuments du monde entier qu'il découvrait grâce à des illustrations dans des livres ou des revues.
Conjugant sa passion pour le travail du bois et son intérêt pour les monuments, il a réalisé des maquettes en bois qu'il a voulu faire découvrir aux habitants de son village et aux Lyonnais en créant un petit musée : il aurait fabriqué plus de 400 monuments sans jamais avoir voyagé au-delà de la région lyonnaise. Aujourd'hui, le musée conserve une partie de son œuvre. La plus grande part, notamment une maquette de plus de 10 m² représentant la ville de Lyon, a malheureusement disparu.
Visite en compagnie de Benjamin Gurcel, responsable des trois musées de la Communauté de Communes des Vallons du Lyonnais.
INFOS PRATIQUES | Horaires d’ouverture les mercredis, samedis et dimanches : de 14h à 18h. En moment, vous pouvez aussi découvrir une exposition temporaire sur la ligne de chemin de fer Fourvière Ouest Lyonnais qui a relié pendant près de 70 ans Lyon Saint-Just à Vaugneray et Mornant, desservant 13 communes de l’ouest lyonnais. L’adresse : dans le centre bourg de Sainte Consorce. Samedi 13 mai, de 14h à 22h, les trois musées gérés par la Communauté de Communes des Vallons du Lyonnais participent à la Nuit européenne des musées. Entrée gratuite au musée Antoine Brun (Sainte-Consorce), à la Maison du Blanchisseur (Grézieu-la-Varenne) et au Musée Théâtre Guignol (Brindas).
Un concert proposé chaque mois au cœur du Centre Léon Bérard. En cette fin avril, Hélène à la flûte, Hughes à la clarinette basse et Alexis à la clarinette, trois des musiciens lyonnais de l’association Kiosque à Musique sont venus apporter un rayon de soleil, un peu de joie dans un quotidien marqué par la maladie, les soins, l’angoisse parfois, à des malades hospitalisés dans cet hôpital spécialisé dans le traitement des cancers des enfants et des adultes.
Kiosque à Musique a été fondée voilà bientôt 15 ans par Aurélie et Vincent Courion.
Pour en savoir plus sur les actions de cette association, si vous voulez la soutenir en adhérant, en faisant un don kiosqueamusique.org
Le Musée de la Soierie est Installé dans l’ancien Hôtel-Dieu du 18e siècle de cette petite ville du nord de la Loire. Mais ce sont en fait deux musées qui se trouvent sur le même site : le Musée hospitalier, installé dans l'ancienne salle commune des hommes, et le Musée de la Soierie, aménagé en 1992 dans la partie de l’Hôtel-Dieu où étaient hospitalisées les femmes.
C'est Isabelle Boulanger, chargée de l’accueil et des visites aux musées de Charlieu, qui nous sert de guide pour cette visite.
Le Musée de la Soierie et le Musée hospitalier de Charlieu, après quelques semaines de fermeture durant la période hivernale, accueillent à nouveau le public. Durant les vacances scolaires, des ateliers découvertes sont proposés aux enfants entre 4 et 10 ans (ce jeudi 20 avril après-midi sur l’environnement et la santé à partir du jardin de plantes médicinales, et samedi 22 avril après-midi sur l’histoire des Tisseurs).
Tous les renseignements pratiques sur musees-de-charlieu.webnode.fr
Accompagner des familles de réfugiés, c'est l'autre volet de l'action de l'association Festin d’Espérance, basée à Millery (69) : sa centaine de membres, rejoints chaque semaine par des étudiants en médecine et des étudiants de grandes écoles lyonnaises, servent chaque année près de 4 000 repas le dimanche soir place Carnot, à des personnes sans abri et ou vivant dans la précarité.
Elle accompagne deux familles originaires pour l'une d'Albanie, pour l'autre d'Arménie.
Nicolas Shaw, vice-président de l'association, explique comment Festin d'Espérance en est arrivée à prendre en charge ces deux familles. Varham et son épouse Gohar témoignent de leur accueil et de ce qu'ils vivent grâce à Festin d'Espérance.
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