Au service de la congrégation des Salésiens, la Fondation Don Bosco France œuvre depuis plus de 30 ans pour l’éducation et la formation des jeunes, surtout des plus vulnérables.
Convaincue que l’éducation est vecteur de transformation sociale pour créer un monde plus juste et plus humain, elle agit pour le développement intégral de la personne.
Reconnue d’utilité publique depuis janvier 1986, la Fondation Don Bosco est au cœur d’un réseau plus large et international. En effet, les « maisons de Don Bosco » sont présentes dans plus de 130 pays. Ecoles, centres de formation, centres d’action sociale, paroisses, sont développés, soutenus et dirigés par les membres de ces maisons.
Les professionnels, les éducateurs et animateurs qui s’y trouvent, sont formés à la pédagogie préventive initiée par son fondateur Don Bosco (1815-1888) : éduquer par la raison (dialogue), l’amour (respect) et le message évangélique porteur de valeurs telles que la paix, la solidarité, la justice sociale.
Réécoutez la chronique des salésiens sur l'éducation avec Xavier de Verchère, salésien de Don Bosco, prêtre, aumônier général des Scouts et Guides de France, ou Soeur Catherine Fino, salésienne de Don Bosco, théologienne moraliste, professeur à l'Institut Catholique de Paris (où elle est directrice du Département théologie morale et spirituelle) ou Michèle Decoster, salésienne de Don Bosco, formation dans le réseau scolaire Don Bosco (40 000 élèves)
En partenariat avec Fondation Don Bosco
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Cette photographie inédite de la santé mentale de nos écoliers doit tous nous alerter ! En effet, une étude de Santé publique France révèle que 13% des écoliers de six à onze ans présenteraient un trouble mental probable. Elle montre donc que quatre enfants sur une classe de trente élèves souffriraient au plan psychique. Cela touche tous les milieux. C’est donc notre affaire à tous.
Habituellement, les mois de mai et juin constituent des temps forts de la vie chrétienne, à travers les sacrements de l’initiation et de l’engagement. Temps forts dans nos familles et nos communautés. Moments à soigner, de la célébration liturgique aux retrouvailles, où parents, parrains et marraines, accompagnateurs et formateurs voient le fruit de leur attention mûrir chez un chrétien ou une chrétienne qui ose s’engager. Moments révélateurs de l’alliance que Dieu a dans son Église.
Dans un récent article, le journal La Croix relève la difficulté pour les familles catholiques, plus que pour d’autres religions, de transmettre la foi à leurs enfants. C’est un sujet important. Sujet douloureux pour de nombreux parents : ils ont le sentiment de ne pas avoir tout réussi dans l’éducation de leurs enfants.
Le théologien salésien Xavier Thévenot définissait la morale comme "la conversion de l’histoire en histoire la plus sensée possible". Trouver du sens dans sa vie demande d’abord d’avoir pu faire des expériences de paix, de joie, de relations constructives, afin d’acquérir confiance en soi et en l’autre.
Fin mars, je me suis retrouvé à Lourdes, invité par l’assemblée plénière des évêques de France. Nos évêques y étaient réunis pour prendre connaissance, échanger et voter à partir des recommandations des neuf groupes de travail suite au rapport de la Ciase. Étaient invités la centaine d’experts de ces groupes et plusieurs associations d’Église. J’y étais au titre des Scouts et guides de France.
L’éducation rend sensible à un défi récurrent : comment ne pas dévoyer l’obéissance ou à l’inverse l’autorité que l’on a mission d’exercer ? La réponse habituelle chez les chrétiens est de considérer l’autorité comme un service, mais l’expérience actuelle de l’Église nous montre que le risque d’abus de pouvoir est bien présent. Il faut donc se former à exercer l’autorité. Où et comment peut-on s’y former ?