Focus sur l'actualité en Isère

Les 17 et 18 janvier au Sacré-Coeur de Grenoble, 350 personnes engagées dans le diocèse de Grenoble-Vienne étaient rassemblées au Sacré-Coeur de Grenoble pour un temps de formation autour de la question de la mission et de l'annonce de la Parole.
Prêtres, diacres, laïcs, responsables d'établissement catholique d'enseignement ont réfléchis aux ministères de demain, des ministères tout entier dirigés vers le partage de la parole : une parole qui libère.

L'association Alertes 38 qui veille à la qualité de vie de nos aînés s'alarment de l'état de la prise en charge aux urgences. Sollitude, sécurité, prise en compte du grand âge... elle en appelle aux pouvoirs publics pour aller plus loin que le constat.

2024 est l’année la plus chaude jamais enregistrée au niveau mondial. C’est le constat du dernier rapport de Copernicus, l’organisme européen de surveillance du climat. L’an dernier, la température moyenne mondiale dépassait les 15,10°C, un record depuis le début des relevés de Copernicus, en 1850. Le seuil des 1,5°C de réchauffement par rapport à l'ère pré-industrielle a aussi été franchi. Comment ce réchauffement climatique se traduit-il en Isère ? Analyse avec Sophie Teissier, responsable adjointe du centre Météo France des Alpes du Nord.

Depuis lundi matin, Arkema Jarrie est à l’arrêt. Les salariés du sud de l’usine, en grève depuis plus d’un mois, ont été rejoints par leurs collègues du nord du site. Désormais c’est grève générale : plus aucun camion n’entre ou ne sort. L’activité de l’usine chimique doit être recentrée uniquement sur la partie nord. Avec 160 emplois de moins, sur les 340 que compte Arkema Jarrie. Mais l’intersyndicale craint que les coupes de personnels ne soient plus larges, demande des garanties sur la pérennité de l’activité. La partie sud d’Arkema dépendait jusqu’à présent du sel produit par Vencorex, usine chimique de pont de claix redressement judiciaire et qui n’a pour l’instant reçu qu’une seule offre de reprise a minima. Plus globalement c’est toute la chimie grenobloise qui est suspendue au sort de ces entreprises. Le secteur emploie en tout 6000 personnes dans la région, et des plans de licenciements ou des fermetures de sites font craindre un effet domino. Pour en parler, Grégoire Gindre a reçu Cédric Van Der Meiren, président de France Chimie AURA.

Face à l'épidémie de grippe, une vingtaine d’établissements de la région ont activé leur plan blanc et/ou ont mis en place des mesures spécifiques de gestion.La semaine dernière, le CHU de Grenoble a mis en place un plan de mobilisation interne qui permet d'ouvrir des lits supplémentaires. Les hôpitaux de Vienne et de Bourgoin ont aussi é pour un temps leur plan blanc, comme une centaine d’établissements de santé en France indiquait vendredi 10 janvier le ministre de la santé, l’isérois Yannick Neuder. On fait le point sur l'évolution de l'épidémie avec Loïc Mollet, directeur de la délégation départementale de l’Isère à l’ARS d’Auvergne Rhône Alpes.

A partir du 20 janvier, les loyers seront encadrés dans la région grenobloise. Les propriétaires bailleurs auront désormais un prix plafond à ne pas dépasser, déterminé selon le nombre de pièces, l’adresse, l’année de construction… L’objectif c’est de réguler les prix, pour permettre à plus de monde de trouver un logement, explique la Métropole de Grenoble. Cela fait plusieurs années qu’elle se porte candidate pour l’encadrement des loyers. Une mesure proposée par l’Etat, et qui est déjà mise en œuvre à Paris ou Lyon. En Isère, l’expérience doit durer deux ans, jusqu’en fin 2026.

Depuis septembre dernier, le Syndicat mixte des mobilités de l'aire grenobloise (SMMAG) a décidé de fusionner les réseaux de transports en commun de la Métropole de Grenoble (le réseau TAG) et celui du Grésivaudan (le réseau Tougo) sous une seule entité : M-Réso. Objectif : faciliter l’usage des transports et unifier la tarification, avec un ticket unique à 2 euros. Il y a cependant des exceptions : certaines lignes ont des tarifs spéciaux pour les trajet libellés “Destination Neige et Nature" qui permettent de se rendre en montagne
Plusieurs associations d'usager des transports et de la montagne signe une pétition pour réclamer le retour au tarif unique pour un accès facilité à la montagne, sans voiture.
Vincent MARTIN, chargé de Développement Randonnées et Mobilité Douce de l’Association Alpes-Là

La fréquentation est en hausse dans les stations iséroises ! Il y a eu foule tout le mois de décembre sur les remontées mécaniques ! Les vacanciers ont été nombreux à fêter noël et la nouvelle année sous la neige. A l'Alpe du Grand Serre, par exemple, qui doit fermer définitivement ses portes en fin d’année, les skieurs étaient venus en masse. La station a réalisé son chiffre d'affaires de l’année dernière en deux semaines.

La fréquentation est en hausse dans les stations iséroises ! Les vacanciers ont été nombreux à fêter noël et la nouvelle année sous la neige. A l'Alpe du Grand Serre, par exemple, qui doit fermer définitivement ses portes en fin d’année, plus de 10 000 skieurs étaient au rendez-vous. La station a réalisé son chiffre d'affaires de l’année dernière sur les vacances de Noël : 500 000 euros en deux semaines seulement

Jean-Marc Eychenne, évêque du diocèse de Grenoble-Vienne

Mercredi 18 décembre, pour la journée internationale des migrants, programmation exceptionnelle Musée de Grenoble. 14 exilés, formés pour l'occasion, ont fait la visite aux bénévoles et bénéficiaires du collectif Migrants en Isère.

Coraline Saurat, présidente de la Communauté de Communes de la Matheysine répond aux question de Gwendolyne Langlois

L’Église catholique ne vit plus que de dons, et assure ses missions uniquement grâce à la générosité des fidèles. Et la première de ses ressources : c’est le Denier du culte. Sa collecte s'achève dans un peu moins de deux semaine au diocèse Grenoble-Vienne.
Nombre de donateurs, budget à boucler, comment donner…. On fait le point ce matin avec Nicolas Gestin, responsable administratif et financier pour le diocèse et Jérôme Hanot membre du comité des affaires économiques.

Noël approche à grand pas. Et pour que tout le monde puisse profiter de la fête, des associations organisent des réveillons solidaires : des dîners spectacles, avec parfois des distributions de cadeaux, qui luttent contre l’isolement. Des initiatives qui sont soutenues par la Fondation de France Centre-Est. Delphine Allarousse en est la déléguée générale.

Mésanges bleues, charbonnières, erdiers d'Europe, chardonnerets élégants, rougegorges, pinsons... des centaines d’espèces d’oiseaux peuples nos jardins, nos balcon et nos espaces verts.
Toute l’année, la LPO d’Auvergne Rhône Alpes a lancé chaque mois un défi biodiversité : des petits challenge ou des gestes tout simples à mettre en place pour mieux connaître les espèces qui nous entourent, mieux cohabiter et même mieux les protéger.
Pour ce mois de décembre et avec son froid mordant, c’est donc aux oiseaux que l’association environnementale a pensé pour son dernier défi de l’année.
Victorien Duchet reçoit Clarisse Noval de la LPO d'Auvergne-Rhône-Alpes

70 d'entre eux, à Paris, mardi, devant le siège social de l'équipementier automobile français, pour trouver des réponses aux nombreuses questions qui se posent, alors que Valéo cherche toujours un repreneur pour l'usine nord-iséroise.
Notre invité : Pierre-Ange Carmona, membre du syndicat de la confédération autonome du travail et technicien de maintenance pour Valéo à Saint-Quentin Fallavier.

Il y a près de 6 mois;, le hameau de la Bérarde dans l’Oisans était complètement détruit par une crue torrentielle. Des maisons éventrées, des routes dévastées et un village quasiment rayé de la carte.
Alors que les conclusions d’un rapport sur le hameau pour savoir s’il peut accueillir à nouveau des habitants sont encore attendues,
Vincent Koulinski docteur ingénieur en géoscience spécialisé des risques torrentiels veut espérer. Mais il prévient : face au changement climatique ce types de phénomènes extrêmes, il va falloir s’y habituer.

Dans le quartier de la Villeneuve, à Grenoble, un projet de réhabilitation du lac polarise. Près des barres d’immeubles, dans le grand parc jean Verlhac, la mairie veut rendre l’étendue d’eau baignable. Ce qui n'est pas du goût de tous les riverains. Pour s’opposer au projet, le Collectif du lac a été monté par des associations et des riverains. Ils ont déposé un projet de rénovation alternatif dans le budget participatif.