Con Gioia

De la musique pour Noël – des chants de Noël pour être plus précis, car c’est surtout eux qui nous transmettent, comme les anges l’ont fait il y a 2024 ans aux pastoureaux, la grande nouvelle.

Bientôt Noël, donc une avant-première musicale est plus que bienvenue !

© photo : Raymond Petrick

De la musique romantique aujourd’hui sur RCF, avec ses mélodies lyriques ainsi qu’avec ses harmonies des fois dissonantes, histoire de nous apaiser et nous bousculer tour à tour.

Dinu Lipatti, Paul Constantinescu, Nicolae Lungu et George Enescu : fêtons ensemble le 1er décembre, le jour national de mon pays natal, la Roumanie.

©photo : Dan Cristian Péduré

Le 11 novembre, la Belgique fête l’armistice, et on aura Eugène Ysaÿe, Guillaume Lekeu, Henri Vieuxtemps et César Franck dans cette édition.

©photo : Pierre Blaché

Le 28 octobre 1918 – le jour de la fondation de la Tchéquie, et on aura trois de ses compositeurs dans cette édition.

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Le 12 octobre, l’Espagne a fêté son jour national. Souhaitons-lui bon anniversaire, et écoutons de la musique qu’elle a inspirée.

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Le 1er octobre l’on fête, dans le monde chrétien orthodoxe, l’Intercession, ou la Protection de la Mère de Dieu. Ecoutons donc des œuvres de Monteverdi, Bach-Gounod, Schubert et Bach en son honneur.

©photo : Ron Lach

Aram Khatchatourian, Mihail Jora et Sergey Khachatryan – musiciens arméniens, car le 21 septembre on fête le jour national de ce pays.

Le 7 septembre on fête l’indépendance du Brésil – voilà donc une occasion de connaître musicalement ce pays, via ses compositeurs et ses interprètes.

©photo : Athena Sandrini

Un peu de guitare avec Giuliani, la musique profondément russe de Borodin, et un des derniers concertos de Vivaldi, avec pas moins de huit solistes.

Photo : © cottonbro studio
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De la musique qui enchante, donne de la joie et plait, tout simplement, le successeur de Mozart et Beethoven avec un souffle romantique, c’est Schubert aujourd’hui sur RCF.

Photo : © Matheus Viana
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De la musique de film aujourd’hui, pour voyager dans un monde tant auditif, que visuel.

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Le poète du piano a inclus cet instrument dans toutes ses œuvres, il demandait de ses interprètes une technique plus que parfaite, il a élargi les limites de l’instrument et, lui-même un grand, grand pianiste, on l’admirait pour la virtuosité et sensibilité.

Beethoven, avec son immense énergie, sa force unique, son désir de mener la musique encore plus loin et de la transformer en porte-parole des sentiments personnels, mouvementés, exaltés ou d’une infinie douceur.

Avec son expansivité, ses sonorités orchestrales même quand il écrivait de la musique de chambre, sa force, sa délicatesse et douceur, Beethoven est vraiment un grand maître.

Complexité dramatique, spectacle, rythme, joie – Mozart les a. Ecoutons sa musique et profitons-en !

Mon deuxième compositeur préféré est, bien sûr, Wolfgang Amadeus Mozart, car il a de la luminosité, de la profondeur, du sens du théâtrale, de la beauté, tout court.

Des hymnes pour le Précurseur – dont un, qui date depuis 1000 ans – et de la musique écrite par un compositeur qui porte son nom.

© photo : Marcello Bigato

Mon compositeur favori – peut-être le vôtre aussi ? En tout cas, je partage avec vous le miracle de sa musique – et le miracle nommée Johann Sebastian Bach.