Faire découvrir, redécouvrir, aimer la poésie.
Poursuivons cette semaine par la découverte de poètes mauriciens.
Charldes GUEUVIN est né à Pamplemousses le 4 septembre 1834. il publie en 1883 un
recueil de poèmes «Les Savanaises qu’il dit avoir écrit dans le silence, au fond des bois
mystérieux et en ne prenant pour guide que l’inspiration champêtre. Il meurt le 1
er avril
1905.
Extrait de ce recueil, Odile lit «Visite au vieux Grand Port»
Plongeons- nous dans l’atmosphère mauricienne
Charles BAUDELAIRE est envoyé par son beau-père faire un voyage en Inde afin de
l’éloigner de la vie décadente qu’il mène à Paris. Victime de plusieurs circonstances
fâcheuses, l’équipage est contraint de faire une halte à l’île Maurice. Charles
BAUDELAIRE, profitant de son passage à Maurice , il est inspiré par quelques écrits en
prose et en vers.
Voici, lu par Odile HOW SHING KOY «Parfums exotiques» et « à une Malabaraise»
Toute cette semaine, Odile HOW SHING KOY met à l’honneur des poètes mauriciens
pour la plupart du 19ème siècle.
Aujourd’hui, elle a choisi de vous lire un poème de Volsy DELAFAY, né en 1819,
considéré être l’un des tout premiers écrivains à s’inspirer de sa terre natale dans ses écrits.
Il publie un recueil de poèmes, «feuilles jaunies» en 1858. il meurt le 17 février 1859.
Voici «Pamplemousses»
En soixante ans, Andrée Chedid a offert à la littérature en langue française une œuvre riche et
variée. Dans sa préface de l’anthologie parue en 2020 son petit-fils Mathieu Chedid écrit :« La
mort, la perpétuelle renaissance, la vie invincible sont des constantes de sa poésie. »
Ecoutons ces courts poèmes:« La moisson traversée », « L’adolescent sans avenir », « La
plage d’angle » et « La traversée sensible ».
Ecrivaine prolifique, Andrée Chedid a produit romans, nouvelles, essais, théâtre, mais elle se
revendiquait fondamentalement poète. Son petit-fils le chanteur Mathieu Chedid a écrit à son
propos :« Cette perpétuelle bienvenue à la vie, son mouvement, ses surprises, que je lui ai
toujours connue, on l’entend, je crois, en arrière-plan de toute son œuvre. »
Ecoutons ces 2 poèmes « L’existence » puis « Tant de corps et tant d’âme ».
A propos de sa grand-mère Andrée Chedid, le chanteur Mathieu Chedid, a écrit :« J’ai toujours
été impressionné par sa capacité à s’émerveiller de tout... une capacité d’émerveillement qui la
fit rester jeune jusqu’au bout. Elle aimait la jeunesse. »
Ecoutons ces poèmes qui en témoignent :« Chanson pour demain » suivi de 3 courts poèmes
intitulés chacun « Jeunesse ».
Ecrivaine prolifique, Andrée Chedid a produit romans, nouvelles, essais, théâtre, mais elle est
avant tout poète : son écriture ciselée en témoigne.
En référence à une composition musicale, ce poème intitulé « Cités » rassemble Cadence,
Contre-point et allegro.
Née en Egypte, Andrée Chedid, poétesse française, a laissé une œuvre littéraire multiple. Mais
elle se revendiquait fondamentalement poète et ses nombreux recueils poétiques ont été
couronnés de plusieurs prix.
Dans ses premiers poèmes c’est la nature, le sujet principal.
Ecoutons le poème « Arbres » suivi de « Tempête sur la ville ».
Toute l’équipe d’Ondes poétiques vous souhaite une belle et douce année 2023 ; pour la commencer l’émission de cette semaine a choisi des poèmes porteurs d’espoir. Écoutons « Des ailes pour rêver » de Laetitia Sicen publié en 2020 ; l’émission se terminera sur la chanson de Jean Ferrat « C’est beau, la vie ».
Toute l’équipe d’Ondes poétiques vous souhaite une belle et douce année 2023, pour la commencer l’émission de cette semaine a choisi des poèmes porteurs d’espoir. Voici deux poèmes , le premier de Cécile Sauvage « Souvent le cœur qu’on croyait mort » est extrait du recueil Mélancolie , le second s’intitule « Vivre » publié en 2017 par Winston Pérez .
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