Chaque semaine les Kinés et les Psychologues de RCF Sarthe nous offre un moment de bien être pour soigner les maux du quotidien.
Cette semaine, Sébastien nous présente un nouveau risque psycho-social : le harcèlement moral notamment au travail.
La question du harcèlement est un sujet qui est de plus en plus pris en compte par les pouvoirs publics, comme avec la loi du 2 mars 2022 visant à combattre le harcèlement scolaire.
Le harcèlement : c’est le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale.
Vous avez souvent les yeux rouges, qui picotent, une altération de la vue, des maux de tête... Peut-être souffrez-vous de fatigue oculaire ou visuelle ?
La fatigue visuelle c’est quoi ?
Les symptômes qui témoignent d'une fatigue oculaire sont nombreux et variés. Selon l'importance de celle-ci, les sensations peuvent être différentes. Et si elle n'est pas grave, la fatigue visuelle peut vite devenir contraignante et incommodante.
De manière générale, les signaux qui doivent vous alerter sont :
- une baisse de votre vue au cours de la journée.
- des difficultés d’accommodation en passant de la vision de loin à la vision de près
- Votre vision est brouillée, voire floue - Votre champ de vision est altéré.
- Vous avez la sensation de voir double (diplopie).
- Vous avez une sensation d'éblouissement. - Vous avez les yeux irrités ou rouges.
- sensation de brûlure ou de picotement dans les yeux.
- Vous avez régulièrement des maux de tête. - Vous avez la paupière qui tremble.
Quelle sont les causes de la fatigue oculaire ?
- Une exposition prolongée à un écran : ordinateur, tablette ou téléphone.
- Plusieurs heures de conduite dans une situation difficile (nuit, brouillard...).
- De longues heures passées à réviser (livres, cahiers...).
- Un éclairage excessif ou au contraire insuffisant.
- La lumière bleue émise par le soleil, les ampoules LED...
- En cas de correction visuelle non ou mal adaptée : une myopie, une hypermétropie et un astigmatisme non corrigés
- En cas de maladie tel que la cataracte, une dégénérescence maculaire liée à l’âge et en cas d’inflammation...
Quelles solutions contre la fatigue des yeux ?
La douleur oculaire chronique causée par la fatigue oculaire peut être soulagée en adoptant une correction optique adaptée.
Pour éviter la fatigue des yeux, il est recommandé de limiter le temps passé devant un écran. Il est aussi possible de porter des verres équipés de filtres, ou de coller un filtre écran sur les téléphones, tablettes et ordinateurs.
Se protéger les yeux des rayons ultraviolets (UVA et UVB) du soleil est indispensable pour éviter les dommages oculaires.
Une exposition prolongée des yeux au soleil peut entraîner plusieurs pathologies dont la cataracte et la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).
Pour bien choisir vos lunettes de soleil, tournez-vous vers des modèles portant le marquage CE correspondant à la norme européenne. Privilégiez des formes enveloppantes et une teinte de verres adaptés à l’exposition solaire. L’indice d’intensité de la teinte, allant de 0 à 4, est indiqué sur la paire de lunettes. L’indice 0 correspond à la teinte la plus faible et l’indice 4 à la teinte la plus forte.
Quel est l’environnement idéal ?
Les bons gestes devant l’ordinateur :
- Travaillez à bonne distance de l’ordinateur (au moins 30 cm).
- Positionnez toujours votre écran à 20 degrés sous le niveau de vos yeux, en évitant que trop de lumière ne se reflète sur ce dernier.
- Nettoyez régulièrement votre écran afin qu’il soit propre.
- Faites une pause toutes les heures, avec les yeux éloignés de l’écran en regardant au loin.
- Demandez qu’une protection antireflet soit ajoutée à vos lunettes. Si vous portez des lentilles, optez pour des modèles conçus pour réduire les efforts de concentration durant le travail à l’ordinateur.
- De préférence, placez votre écran perpendiculaire à une fenêtre avec un éclairage indirect pour une image plus uniforme et donc plus confortable pour l’œil.
- Une source lumineuse placée derrière l’ordinateur ou la télévision permet à l’œil de ne pas se limiter au seul contraste de l’écran.
Sachez qu'une personne ayant un défaut visuel et étant mal corrigée prend le risque de s'exposer à une fatigue oculaire chronique. Il est essentiel de bien corriger sa vue et d'assurer un bon suivi de sa santé visuelle, en renouveler ses lunettes en cas de besoin.
Aujourd’hui Julia va nous faire découvrir une méthode de gestion de la fertilité de la femme au naturel, la Symptothermie avec la méthode Sensiplan.
1- La symptothermie, qu’est-ce que c’est ?
La symptothermie est une méthode de gestion de la fertilité où la femme observe différents signes de son corps. Ces signes se modifient de manière caractéristique tout au long du cycle et permettent de déterminer les jours fertiles et infertiles.
Les trois signes décisifs sont :
- La température basale du corps
- L’observation de la glaire cervicale
Ou
- L’observation du col de l’utérus
Une femme qui peut interpréter ces signes saura à quels moments elle peut ou non tomber enceinte et pourra donc en fonction de cela s’accorder avec son partenaire pour leur sexualité.
Aujourd’hui je vais vous parler de la méthode Sensiplan, puisque c’est celle que je pratique depuis 2 ans.
2- Pour quelles femmes ou couples cela s’adresse-t-il ?
Cela s’adresse potentiellement à toutes les femmes. Cette méthode s’adresse aux femmes qui souhaitent soit :
- Optimiser leurs chances de tomber enceinte, car on peut déterminer la phase fertile et ovulatoire et faire coïncider ses rapports. Notamment chez les femmes avec un cycle long ou irrégulier.
- Cela peut aussi être une solution avant de recourir à de la procréation médicalement assistée.
- Apprendre à connaître leur corps, leur cycle
- Avoir une méthode de « contraception » naturelle, sans hormones de synthèse, sans effets secondaires.
- Permet de fournir de précieuses informations lorsque le désir d’enfant ne se réalise pas tout de suite ou lorsque les cycles sont irréguliers (le cycle est-il ovulatoire ? La phase lutéale est-elle suffisante ?).
3- Est-ce que c’est fiable ?
La méthode Sensiplan® dispose du même indice de PEARL (indice de nombre de grossesses non-désirées sur 100 femmes pendant un an avec une méthode donné) que la pilule, soit plus de 99% d’efficacité !
C’est une méthode fiable qui a été mise au point par des université de médecines allemandes, et qui existe depuis 30 ans environ, aujourd’hui grâce aux conseillers et formatrices sensiplan plus de 40 000 cycles ont été étudiés pour prouver l’efficacité de la méthode !
Mais c’est une méthode qui nécessite un apprentissage, il faut de préférence être formé par une formatrice sensiplan.
4- Quels sont les avantages ? Inconvénients ?
Avantages :
- Une meilleure connaissance du corps, autonomie et confiance en soi
- Pas d’effets secondaires
- Économique : coût de la formation et d’un thermomètre valable à vie !
Inconvénients :
- Le partenaire doit être en accord et confiant avec cette méthode
- Si vous souhaitez ne pas vous soucier de votre fertilité, ou si une méthode ne doit vous coûter aucun effort, alors cela vous conviendra moins.
- Besoin de 3-4 mois pour être autonome
5- Comment apprendre cette méthode en Sarthe ?
Vous pourrez bientôt l’apprendre avec moi, car je suis en fin de formation pour devenir formatrice Sensiplan ! Je me suis rendue à Bruxelles pour me former car je trouvais cela très complémentaire à la Naturopathie qui utilise des méthodes naturelles pour le retour à la santé. Si vous êtes intéressé,
contactez-moi, vous pouvez retrouver mes coordonnées sur le
site RCF ou sur mon site juliacollet.com !
Prendre RDV pour se former à la symptothermie avec Julia Collet : juliacollet.natuo@gmail.com
En savoir plus sur la méthode sensiplan : https://symptothermie.info/
Article de blog sur la symptothermie :
https://www.juliacollet.com/articles/sa-fertilite-au-naturel-la-
symptothermie
En savoir plus sur la Naturopathie et Julia Collet : https://www.juliacollet.com/
Le massage est un moment privilégié qui vous permet de mieux connaître votre bébé.Si votre bébé a l’air tendu ou agité pendant le massage, mieux vaut réessayer plus tard.
Vous pouvez masser votre bébé de façon intuitive ou prendre des cours de massage bébé. Et après tous ces massages, rien de tel pour terminer la séance qu’un câlin à votre bébé !
Fiche conseils aux parents :
Commencez par installer bébé sur le dos puis :
• Entourez sa cuisse avec vos mains puis faites les glisser jusqu’à la cheville en exerçant une très légère pression avec vos doigts ;
• Faites le chemin inverse et remontez jusqu’en haut de la cuisse ;
• Prenez ses pieds et faites-lui réaliser de petits mouvements, comme sur un vélo, afin de détendre un peu ses hanches.
Masser les bras et les mains
Poursuivez le massage de bébé par les bras et les mains. Cela permettra notamment à votre enfant de détendre plus facilement ses doigts, de les ouvrir et de l’aider à assimiler la préhension.
Pour ce faire :
• Écartez-lui les bras et, depuis les épaules, faites glisser vos mains jusqu’au poignet, comme pour lui étirer les membres supérieurs avec délicatesse ;
• Prenez la main de bébé entre votre pouce et votre index et exercer de légères pressions sur la paume et le dos de la main, depuis le poignet jusqu’aux doigts.
Masser la poitrine et le ventre
Le massage de la poitrine permettra à bébé de mieux respirer, plus profondément. Pour le ventre, votre enfant sera soulagé de différents maux comme les ballonnements, les coliques ou la constipation.
• Écartez-lui les bras à nouveau. Placez vos mains sur sa poitrine et faites-les glisser doucement jusqu’à ses épaules. Répétez le geste plusieurs fois ;
• Posez vos mains sur le ventre de bébé puis massez-le avec le plat de vos doigts en appuyant légèrement dans le sens des aiguilles d’une montre (soit dans le sens du transit) ;
• Faites glisser vos mains et vos doigts de chaque côté du ventre de bébé.
Masser le dos
Pour ce massage du dos, installez bébé sur le ventre. Cela lui permettra de gagner en souplesse et en fermeté et d’avoir plus de facilité à tenir des postures droites.
• Faites glisser lentement vos mains depuis ses épaules jusqu’au bas de sa colonne vertébrale. Répétez l’opération plusieurs fois ;
• Avec vos doigts, réalisez de petits cercles de chaque côté de sa colonne, depuis la nuque jusqu’aux fesses
C’est le printemps, c'est l’heure du grand ménage, mais aussi de la
détox. Il est temps de préparer son corps à sortir de l’hibernation et de retourner aux beaux jours ! Julia Colet nous dévoile quelques conseils.
Aujourd'hui nous allons parler de la cure de sève de bouleau, mais qu'est ce que c'est ?
Une cure de sève de bouleau se fait à partir de sève de bouleau, la sève de l’arbre, qui devient montante et liquide comme de l’eau à la sortie de l’hiver avant la pousse des feuilles (de fin février à fin mars/début avril).
Au début la sève est translucide et légèrement sucrée. Avec le temps elle finira par se troubler et le gout deviendra plus prononcé. La lacto- fermentation a commencé !
Cette transformation naturelle permet à la sève de bouleau de s'enrichir, grâce aux probiotiques présents dans cette eau végétale. On dit que c’est une cure « détoxifiante », qui nous permet d’éliminer les toxines de notre corps ou les excès de l’hiver où nous avions besoin de manger plus riche pour tenir face au froid.
Tout comme la nature, notre corps vit aussi au rythme des saisons. Et il a un regain d’énergie au printemps qui peut nous permettre de faire une cure détoxifiante (selon la santé et la vitalité de chacun, vérifier avec son Naturopathe si vous êtes en bonne santé et avec votre médecin si vous avez des pathologies). Pendant 3 semaines on va boire un verre de sève de bouleau, de préférence le matin, à jeun.
Quels sont les bienfaits d’une cure de sève de bouleau ?
- Draine les reins et le foie qui sont des organes majeurs dans l’élimination de nos toxines et de nos acides. La sève de bouleau leur donne un coup de boost.
- Draine la peau (acné…)
- Reminéralisante : contient 17 acides aminés, des minéraux, des oligo-éléments (manganèse, sélénium, cuivre, cobalt, zinc…)
- Anti-inflammatoire : remarquable pour les douleurs articulaires (arthrites, rhumatismes…)
- Pour les personnes qui ont tendance à faire des crises de goutte, qui ont fait des calculs rénaux (chasse les acides).
- Énergisante, revitalisante : c’est une des rares cures de détox qui ne fatigue pas !
- Lutte contre la rétention d’eau
- Faible en sucre : contient 1% de sucre (glucose et
fructose)
Comment on s’y prend ?
Boire 250ml les matins à jeun pendant 3 semaines.
Pour une première cure on peut débuter à 120ml.
Durant cette cure il serait judicieux de faire également attention à avoir une bonne hygiène de vie pour que la détox soit encore plus efficace : avoir une alimentation saine, bouger, bien dormir…
Si vous avez besoin d’aide pour élaborer une cure complète, vous pouvez vous faire aider d’un Naturopathe.
La sève de bouleau bio se conserve au frais entre 2 et 4°C.
Il est préférable de la consommer dans les 3 semaines suivant l'ouverture de votre produit.
Précautions, contre-indications :
La sève de bouleau est contre-indiquée dans les cas suivants :
- Femmes enceintes et allaitantes
- Enfants
- Diabétiques
- Personnes allergiques au polen de bouleau et aux
dérivées salicylés (aspirine…)
- En cas de lourd traitement médicamenteux
(chimiothérapie par exemple).
En cas d’insuffisance rénale, pensez à demander l’autorisation de votre médecin. Au moindre doute, demandez à votre médecin !
Où trouver la sève de bouleau ?
La choisir fraiche et donc non-pasteurisée ! De préférence bio.
On la trouve en magasin bio, dans les herboristeries….
Mais aussi sur internet, voici un producteur que je recommande :
https://lagedelaperma.fr/
Pour les plus motivés qui souhaitent l’extraire eux-mêmes,
voici une vidéo explicative dans le respect de l’arbre :
https://www.youtube.com/watch?v=ZHKyX9_MVHI
La montagne est un incontournable des vacances d'hiver pour beaucoup ! En même temps, elle nous offre des paysages enneigés à couper le souffle.
Quand on pense aux vacances d’hiver, on pense à l’air frais de la montagne, aux belles randonnées et aux joies de la poudreuse,à la tartiflette, à la fondue savoyarde.. mais aussi à la fatigue , aux blessures et aux courbatures dès le début du séjour !
Heureusement, il existe un moyen de profiter pleinement de ses journées à la montagne. En entamant une petite préparation physique pour votre saison à la montagne, vous pourrez renforcer vos appuis et votre équilibre. Il faut commencer 6 semaines auparavant.
Comment préparer ses jambes pour le ski ? Quels muscles travailler : qu’on soit débutantes ou sportives ?
1. Ciblez le bas du corps et le tronc
Au ski, les muscles les plus sollicités sont ceux des membres inférieurs, notamment ceux des cuisses (quadriceps, ischio-jambiers, adducteurs et fessiers) et ceux de la sangle abdominale et du rachis. Il faut donc orienter l'entraînement sur ces parties du corps pour les renforcer et les tonifier.
Commencez les exercices 6 semaines avant.
2. Pratiquez des activités qui stimulent le cardio
En premier lieu, il faut effectuer des exercices qui renforcent le système cardio-vasculaire et cardio respiratoire. Indispensable pour ne pas être essoufflé juste après avoir enfilés les chaussures ou à mi-pente d'une piste ! Pour développer son endurance et ses capacités respiratoires, certains sports
peuvent être particulièrement recommandés tel que le vélo, du vtt, du roller, de la natation, de la course à pied ou encore de la marche nordique sur une durée minimum de 20 minutes.
Qu’est-ce que je peux faire facilement à la maison ?
Je vous dit tout à travers ces 6 exercices faciles à réaliser chez soi, avec ou sans matériel de sport pour se préparer physiquement au ski !
1/ Le RENFORCEMENT DES CHEVILLES ET Le TRAVAIL DE L’EQUILIBRE
Vous allez sentir les chevilles chauffer, voire le mollet et le tibia de la jambe qui reste au sol. Vous tombez souvent ? Des pertes d’équilibre fréquentes ? Cet exercice est fait pour vous ! Il permet d’améliorer votre équilibre dans votre quotidien, mais également pour vous maintenir droit sur vos skis.
L’exercice du flamand rose, facile et drôle à faire en famille ;)
Faites l’exercice pendant 1 minute chaque jambe, répétez-le 4 fois.
Niveau 1 : Sur un pied, jambe du sol tendue, restez le plus longtemps possible. On se challenge !
Niveau 2 : Sur un pied, ajoutez des mouvements de bras contrôlés comme des cercles de bras sur le côté ou devant vous ou faite passer une balle d’une main à l’autre autour de votre corps sans perdre l’équilibre.
Niveau 3 : Ajouter un support instable( coussin ,une mousse )sous votre pied et monter sur la pointe de pied, cela augmente la difficulté de l'exercice et développe davantage les muscles acteurs de votre équilibre.
2/ Le RENFORCEMENT DES JAMBES AVEC DES SQUATS
Le renforcement des jambes améliore la stabilité du bassin, primordiale lorsqu’on enchaîne les virages et qu’on attaque les bosses des pistes, ou lors de notre descente en raquettes!
Faites 4 séries de 30 flexions.
- Debout, les pieds écartés à largeur des épaules, les pieds et les genoux légèrement tournés vers l’extérieur, le regard droit devant.
- Fléchissez vos jambes en poussant les fesses vers l’arrière et en penchant légèrement le dos vers l’avant, équilibrez-vous avec les bras tendus devant. Le poids du corps dans les talons, la ligne des genoux ne doit pas dépasser celle des orteils, veillez à ne pas décoller les talons. Contractez vos
abdominaux pour garder un dos droit et solide pendant l'exercice.
- Re-tendez les jambes en poussant sur les talons et en contractant les fessiers. On n’oublie pas d’expirer quand on monte et d’inspirer lorsqu’on descend. À ce moment-là, vous devez sentir lesn muscles des cuisses et des fessiers chauffer.
Saviez-vous que le stress et l’anxiété sont souvent liés à un mental qui s’agite en se préoccupant soit du futur, d’évènements qui n’ont pas eu lieu ; soit du passé, où l’on peut ressasser ce qui nous a déplu dans la journée par exemple. Si on ajoute à cela les sur sollicitations par nos écrans :
téléphone portable, ordinateur, notifications.... Notre mental
risque la surchauffe !
C’est pourquoi il est intéressant de ramener son attention sur des moments présents dans la journée, en y mettant toute sa conscience.
Cela permet de débrancher le mental et d’être pleinement
présent à soi-même. Je vous propose 3 techniques pour se reconnecter au moment présent et faire des pauses de pleine conscience dans sa
journée :
La méthode VAKOG :
Abréviation pour Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif et Gustatif.
Il s’agit de se concentrer sur ses 5 sens en vivant un moment.
Faire des pauses VAKOG dans la journée permet donc, en se concentrant sur ses sensations, de se reconnecter au moment présent.
Vous pouvez par exemple lors de votre pause déjeuner vous concentrer pleinement sur ce que vous êtes en train de manger : l’odeur, le goût, la texture, la température de votre repas, le bruit (croquant, croustillant...), le visuel...
Ou encore faire une pause VAKOG lors d’une marche à l’extérieur : sentez le vent qui caresse votre visage, le soleil qui réchauffe votre dos, le contact du sol sous vos pieds, observez et écoutez ce qui vous entoure...
Faire ces petites pauses dans la journée va vous aider au fur et à mesure à profiter de l’instant présent et à déconnecter le mental.
La respiration, un merveilleux moyen de se reconnecter au
moment présent :
La respiration est l’un des moyens par excellence pour se reconnecter au moment présent et à soi. Ce n’est pas pour rien que la sophrologie est recommandée aux personnes stressées, anxieuses et qui ont du mal à lâcher-prise.
Prenez des moments dans la journée, où vous allez faire des pauses, fermer les yeux et vous concentrer sur votre respiration.
Prenez conscience du flux d’air qui entre et qui sort de vos poumons.
Repérez la zone de votre corps qui bouge lors de la respiration (poitrine, cotes, ventre)
Concentrez-vous sur la température de l’air qui passe par vos narines...
Si vous stressez vous pouvez prolonger l’expiration en l’exagérant, vous pouvez aussi essayer de respirer plutôt par le ventre pour vous relaxer.
Prenez 10 minutes de méditation pleine conscience. La méditation pleine conscience nous aide à être plus dans l’instant présent tout en faisant taire le mental. On se place en observateur : on observe sa respiration, ses émotions et ses pensées sans les juger. Il s’agit d’être dans le moment présent.
Vous pouvez vous aider si vous débutez, avec des méditations
guidées.
L’application la plus connue est Petit Bambou et elle propose 10 méditations gratuites, mais vous en trouverez plein sur Youtube également. Vous pouvez aussi vous inscrire à des cours de méditation si vous avez du mal à vous lancer seuls.
Sachez que vous n’avez pas besoin de méditer des heures durant. 10 minutes par jour suffisent déjà pour remarquer un vrai mieux-être.
Vous serez plus serein et arriverez à prendre du recul sur les situations stressantes en gérant mieux vos émotions.
Méditez avec moi :
Tous les lundis soirs (hors vacances scolaires) à l’association Spirales au centre Beaulieu au Mans
https://www.centrebeaulieu-lemans.fr/activites/meditation/
Adresse : 176 avenue François Chancel – 72000 Le Mans
1er cours de découverte gratuit !
En savoir plus sur la Naturopathie et Julia Collet : https://www.juliacollet.com/
Si je vous dis, escarpins, boots, scandales, bottes, basquets, derbies,.. Vous pensez à quoi ?
Chaussures ?
En effet aujourd’hui, nous enlevons nos chaussures pour marcher pieds nus car c’est bon pour la santé.
Qu’il est bon, l’été, de quitter chaussettes et chaussures, pour marcher pieds nus dans le sable ou dans l’herbe ! Une habitude qui fait vraiment du bien.
À part à la plage l’été, rares sont ceux d’entre nous qui marchent régulièrement pieds nus.
Socialement peu acceptable. On marche que très rarement pieds nus à l’extérieur comme à la maison.
Et pourtant, laisser ses pieds respirer et oser les laisser entrer en contact avec le sol a de nombreux bénéfices, chez les adultes et surtout chez les enfants.
L’inconvénient principal, qui n’est pas des moindre, est que l’on risque de se blesser en marchant sur un objet tranchant. C’est vrai, mais nos pieds ont cependant les moyens de compenser ce risque : plus l’on marche pieds nus et plus la peau devient résistante...
Pourquoi est-il bon de marcher pieds nus ?
Un meilleur équilibre et la coordination Se déplacer pieds nus contribue à muscler les pieds et les membres inferieurs tout en améliorant
leur proprioception, qui est la perception inconsciente des mouvements et de l’orientation dans l’espace, cela envoie des informations nerveuses vers le cerveau et permet de nous adapter en permanence à notre environnement.
Les signaux entre les pieds et la tête sont réactivés et le sens du toucher peut à nouveau se développer.
Dérouler son pied naturellement
Marcher sans chaussures permet aussi d’utiliser son pied d’une façon plus naturelle : en posant le talon en premier, puis en déroulant la plante et la pointe. Le pied est composé d’une vingtaine de muscles, de 107 ligaments, d’os et il a besoin d’être travaillé pour fonctionner correctement.
Marcher pieds nus permet de gagner en adresse et en agilité. Une manière de réveiller tous nos petits capteurs (200 au cm2) qui nous rendent plus vigilants.
Stimuler la circulation sanguine
Marcher pieds nus permet ainsi de stimuler la circulation sanguine, de faciliter l’oxygénation du corps ainsi que l’apport des nutriments vers les organes et les muscleset donc evite l’effet jambe lourde.
Muscler ses pieds
Marcher pieds nus permet de remuscler nos pieds pour qu’ils remplissent leur rôle de stabilisateur et qu’ils évitent de se raidir avec le temps. Les muscles du mollet, de la jambe et du dos sont aussi tonifiés. Le corps est renforcé.
Pour stimuler nos 200 000 terminaisons nerveuses
Les bébés ont particulièrement intérêt à marcher pieds nus car cela leur permet d’avoir une meilleure sensation et conscience du sol, ils sont plus connectés à leur environnement. C’est ce qui est recommandé aux parents, au moins jusqu’au moment où les enfants commencent à bien
marcher.
Et la course pieds nus ?
Le pied est naturellement fait pour courir. Il ne devrait pas avoir besoin de chaussures modernes qui amortissent les ondes de choc. Mais attention : vous lancer dans un running pieds nus demande de l’entraînement. La première fois, essayez de courir seulement dix minutes. Puis ajoutez une minute
le lendemain, progressivement. Le pied doit se former à sa nouvelle activité pied nus.
Choisissez soigneusement le lieu de votre course : pas de sol brûlant, comme le béton, préférez une surface plane comme un chemin de randonnée (sans cailloux ni épines) ou une plage de sable fin.
Comment prendre soins de mes pieds ?
Après avoir marché pieds nus, ou après une longue marche en général, accordez-vous un peu de temps pour chouchouter vos pieds. Pour les détendre, trempez-les dans une bassine d’eau tiède avec du gros sel et pourquoi pas quelques gouttes d’huiles essentielles.
Complétez ce soin avec un massage de la voûte plantaire et des orteils. Vous pouvez aussi utiliser une balle de golf en exerçant des pressions du talon jusqu’aux orteils.
Et il existe des exercices pour muscler des pieds ?
les fleurs de Bach qu'est ce que c'est ?
Les fleurs de Bach ont été mises au point par le Dr Bach dans les années 1930. Ce médecin londonien, bactériologiste d’abord très cartésien découvre qu’il n’est plus pleinement satisfait par son métier après avoir soigné des blessés de la première guerre mondiale.
Il s’intéresse d’abord à l’homéopathie avant de créer ses 38 fleurs de Bach. Selon le Dr Bach, nous sommes en santé quand nous sommes pleinement nous-mêmes, or certaines émotions nous en empêchent. C’est ainsi que les fleurs de Bach ont été créé.
Concrètement ce sont des fioles où la macération de fleurs au soleil a été extrêmement diluée dans un mélange d’eau et de cognac.
Aujourd’hui la recherche continue et il existe plus de 100 fleurs de Bach différentes.
Comment cela fonctionne t-il ?
Le Dr Bach a établi qu’à chaque fleur correspond une émotion. Les fleurs de Bach font partie des méthodes holistiques qui considèrent que nous sommes plus qu’un corps physique.
Les fleurs de Bach travaillent essentiellement sur l’émotionnel. Aujourd’hui la manière la plus scientifique de l’expliquer serait d’utiliser la physique quantique qui considère que tout est vibration.
En prenant une fleur de Bach, celle-ci émet une vibration bien plus élevée que l’émotion à laquelle vous êtes confrontée. Et cela permet de la dépasser.
Exemples concrets d’émotions et de fleurs de Bach :
Pour la colère : le houx
Pour les peurs :
- Peurs concrètes (peur du noir, peur de la maladie, peur
de la mort...) : Mimulus Jaune
- Peurs paniques, la terreur : Hélianthème
- Peur de perdre la raison de craquer : Prunus
- Peurs inexpliquées, qui peuvent provoquer des tremblements : Tremble
Manque de confiance en soi : Mélèze
Ne pas réussir à dire non aux autres et oui à soi : Centaurée
Idées fixes, obsessionnelles, mental qui cogite : Marronnier blanc
Chocs récent ou passé, mauvaise nouvelle : Étoile de Bethléem
Lors de période de changements (changement de travail, déménagement, arrivée de bébé...) : Noyer
On peut prendre les fleurs de Bach ponctuellement comme le Rescue, ou en cure de 3 à 4 semaines, voire sur plusieurs mois. Tout dépend des objectifs de la personne, de l’intensité et de la durée de l’existence de l’émotion.
Si l’émotion fait partie de notre personnalité (autoritaire, craintif, manque de confiance en soi depuis l’enfance...) cela va prendre plusieurs mois.
Si l’émotion est plus récente cela en prendra moins.
Chaque individu est différent mais en moyenne il faut attendre 2 semaines avant de voir des résultats flagrants. Les enfants par exemple réagissent très bien et très rapidement aux fleurs de Bach.
Un laboratoire que je recommande, où l’on peut faire son
propre mélange : https://www.deva-lesemotions.com/
Tableau des émotions du Dr. Bach : https://www.onatera.com/page-comment-choisir-parmi-les-38-
les-fleurs-de-bach,253.html
En savoir plus sur la Naturopathie et Julia Collet :
https://www.juliacollet.com/
Bonjour Sébastien, comment allez-vous en ce début d’année ?
Bonjour Mélody, eh bien j’oscille entre une forte envie de pleurer et une forte
envie de me mettre en colère car j’ai été contrarié par un collègue qui ne s’est
pas rendu pas compte de ce qu’il m’a dit…
Ah bon ? Ne seriez-vous pas un peu susceptible ?
Eh bien ça dépend. Si je me vexe ou si je ressens de la colère pour si peu, alors je suis susceptible. Mais si je pleure pour si peu, alors je suis hypersensible.
Notez que dans les deux cas, je reste avec une sensibilité beaucoup trop forte aux interactions sociales, et que cela m’amène à la fois des difficultés
émotionnelles à gérer, mais aussi des problèmes avec les autres.
Mais cela vient d’où ?
Certains pourraient chercher dans mon enfance, savoir si j’ai été bercé plus à
droite qu’à gauche, plus bercé par mon père ou ma mère, ou si je suis l’aîné de
la fratrie qui doit tout assumer et donner le modèle, ou le second qui a du mal à trouver sa place, ou le dernier que l’on chouchoute trop, ou le premier qui perd sa place quand le second arrive… Ou l’inverse de tout cela, car quand on veut psychologiser, eh bien on fait feu de tout bois !
Or, ce serait faire de la psychologie de comptoir, et vous savez, en cette mi-
janvier, eh bien les comptoirs sont interdits !
On pourrait aussi penser que la cause vient d’autrui, par exemple que c’est
l’autre qui me parle mal, et donc heurte ma sensibilité.
Dans ce cas, ce serait rejeter sur autrui la responsabilité de mes propres réactions émotionnelles, lesquelles viennent de moi et non des autres.
Ah oui, comme quand les gens disent « tu m’énerves »… alors que ce sont
eux-mêmes qui s’énervent sur autrui…
Exactement ! penser que cela vient d’autrui, c’est penser que les autres doivent avoir pour centre d’attention ma propre sensibilité à fleur de peau, visiblement un peu exacerbée, ce que d’autres appellent être susceptible…
De là à dire que cela me permettrait d’être un brin irresponsable de mes
réactions émotionnelles, il n’y a qu’un pas…
Mais alors, quelle serait la cause de cette hypersensibilité ?
Eh bien, on peut faire une sorte de circuit des émotions pour tenter de décrypter le mécanisme.
Ainsi, l’émotion n’est pas le départ de la chose, mais sa conséquence, et ce n’est pas non plus la dernière étape du circuit. Car après l’émotion trop vive, il y a l’action ou la réaction qui va s’imposer à nous, dominé par nos émotions et non par la raison ! Et nous voici devenus susceptible, ou hypersensible…
A quel moment la difficulté arrive-t-elle alors ?
Eh bien, le point de départ va être l’analyse qu’on va faire de la situation. Je vais vous donner un exemple de vie de couple qui m’a été rapporté.
Une femme commence en premier à faire la vaisselle, à 1h du matin, après le
départ des amis. L’homme prend une poêle pour la laver à côté d’elle, dans
l’autre bac de l’évier. Dans cette situation, on peut s’attendre à ce que madame soit ravie de l’initiative de monsieur, d’autant plus qu’il est 1h du matin.
Or, elle s’énerve brutalement car il se met à faire ce qu’elle était en train de
faire. Elle a le sentiment qu’il ne la respecte pas puisqu’il intervient sans le lui
demander, et que, en quelque sorte, il lui prend sa place.
Donc là, vous nous décrivez la situation de départ. Comment agit
l’hypersensibilité ici ?
Eh bien de façon assez simple. Lui était animé par la volonté de participer à
vaisselle pour que cela aille vite, d’autant qu’il était 1h du matin et qu’il avait
plus envie de se coucher que de faire la vaisselle.
Elle, elle était animée par l’envie contraire, celle de faire la vaisselle plutôt que
d’aller se coucher malgré l’heure tardive. Et elle pensait visiblement que cela lui
revenait, qu’elle en avait la responsabilité, ou la gestion.
L’initiative de son conjoint a été ressenti comme quelque chose d’agressif. Cela a généré un premier sentiment, celui de ne pas être respectée, voire agressée,
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