La chronique du Secours catholique - Caritas France - page 3

Comme chaque année le 31 mars marque la fin de la trêve hivernale et la reprise de l’angoisse des expulsions pour les personnes en impayés de loyer ou hébergées. Et nous craignons de voir se multiplier les remises à la rue jusqu’à l’été.

Les chiffres de l’inflation sont là : une nouvelle hausse de 15% sur les factures de gaz et d’électricité depuis le début de l'année et +14,5% en février 2023 sur les produits alimentaires. Déjà affaiblies par la crise sanitaire, les personnes que nous accompagnons subissent l’inflation de plein fouet. Au Secours catholique nous sommes témoins de leurs dilemmes toujours plus insolubles, et toujours plus insupportables à vivre jour après jour.

La pauvreté en milieu rural est souvent silencieuse, peu perceptible et identifiable. Pourtant, en ce qui concerne l'accès aux soins et aux services publics, les inégalités se creusent dans les territoires ruraux. Des zones où les personnes souffrent particulièrement d’isolement et de solitude. Au Secours catholique, on s'engage pour combattre la pauvreté en monde rural.

Le salon de l’agriculture à Paris me donne l’occasion de parler d’un sujet primordial pour nous : celui de l’accès digne à l’alimentation de qualité pour toutes et tous.

C'est un bien triste anniversaire qui se profile ce vendredi 24 février. Un an de la guerre en Ukraine. Un an de bombardements, de morts, de familles dévastées, de nuits d’angoisse, de journées dans le froid sans gaz, ni électricité… mais aussi d’espérance et de gratitude.

Cette journée va être marquée par la mobilisation d’hommes et de femmes inquiets pour leur niveau de vie à la retraite. Au Secours catholique, nous ne sommes pas des experts sur ce sujet, mais cette question prend toute sa place dans la réflexion que nous menons sur une société plus juste et plus fraternelle, où chacun puisse vivre dignement.

Aucun homme ou une femme quitte son pays avec ses enfants de gaieté de cœur. Ils prennent tous les risques pour traverser les mers sur des bateaux de fortune dans l'espérance d’une vie meilleure. Ils fuient des contrées devenues inhospitalières en raison du dérèglement climatique comme au Bangladesh, d'autres fuient la guerre ou la famine ou encore la dictature comme en Érythrée. 

En ce début d’année je souhaite prendre le temps de remercier toutes celles et ceux qui nous ont soutenu l’an passé et toutes celles et ceux qui s'engagent à nos côtés en ce début d’année ! Amis auditeurs, je vous souhaite une belle année 2023, riche en joies et partages. 

À quelques jours de la nuit de Noël, les bénévoles du Secours Catholique sont sur le pont. 

Nous sommes dans la période de l’avent, une période de joie qui doit nous mener à la naissance de Jésus, signe d’espérance et d’amour pour tous les chrétiens. C’est une période propice au partage, à la gratitude, aux sourires.

Le 5 décembre, c'est la journée mondial du bénévolat, l’occasion de remercier les 12 millions de bénévoles français.

La semaine passée, vous nous présentiez le rapport sur l’état de la pauvreté que le Secours Catholique a publié. Cette semaine, vous nous racontez une rencontre inhabituelle qui a eu lieu grâce à ce rapport…

Vous publiez aujourd’hui votre rapport annuel sur l'état de la pauvreté en France. Quels en sont les principaux enseignements ? Qui sont les personnes accueillies par les 60 000 bénévoles du Secours Catholique ?

La COP27 a débuté il y a quelques jours en Égypte à Charm el-Cheikh et ce matin vous vouliez vous faire le porte-voix de Lucy Esipila, qui travaille pour Caritas Africa.