Une émission de psychologie positive qui ouvre les auditeurs à la bienveillance, la gratitude, l’altruisme et le pardon. Avec des psychologues, thérapeutes, médecins ou coachs, l’émission défriche des voies de croissance personnelle et de communion fraternelle. Des exemples concrets et simples, un langage ouvert et des suggestions accessibles, pour se mettre en route vers un mieux-être, avec soi-même et avec les autres.
Depuis notre plus tendre enfance, quelque chose nous pousse à nous lever chaque matin. Enfant ou adulte, nous nous fixons des objectifs. Et pour cela, la motivation est un puissant moteur pour les atteindre. Cet état d’esprit est pourtant un réel défi, et il est parfois difficile de retrouver de la motivation dans notre quotidien. Qu’est ce qui nous pousse à nous mettre en action ? Réponse avec Yves Assouline, diplômé de l’institut national polytechnique de Grenoble, conseiller en recrutement et en formation, auteur de "La course incessante des êtres humains" (éditions Atract).
Après l'hypnose et la psychanalyse, Marie-Charlotte Laudier continue d'explorer l'univers des psychothérapies en évoquant cette semaine les TTC ou Thérapies Comportementales et Cognitives, nées dans les années 1970, qui affichent des résultats quantifiables et probants. D'où viennent-elles ? Dans quel cas sont elles indiquées ? Qui les pratiquent et comment ? Qui Frédéric Fanget, invité de Voyage Intérieur, est membre de l’Association Française de thérapie comportementale et cognitive et enseignant à l’université dans ce domaine.
Et si la parentalité positive aidait les parents dans leur rôle éducatif ? Cette approche a été souvent critiquée, assimilée à une forme de laxisme où l'enfant est roi. Or, la bienveillance, qui est le maître-mot de la parentalité positive, n'empêche pas la fermeté. On en parle avec Emmanuelle Ducassé, praticienne en psychologie positive et fondatrice de Feel & Woop.
Troubles psychologiques, pathologiques, sexuels, sociaux, financiers... Les conséquences de l'usage problématique de l'alcool impactent en premier lieu les malades de l'alcool - près de 8% de la population adulte en France - mais aussi son entourage. Parfois incomprise, voire mise sous silence, la souffrance des proches est bien réelle. Comment peut-elle être entendue ? Un conjoint, un fils, une fille peuvent-ils aider à guérir de cette dépendance ? Pour en parler, Anne-Laure Drouard Chanel reçoit le Docteur Jean-Pierre Aubert, médecin généraliste, auteur de "Histoires d'alcool - Peut-on en parler à son médecin ?" (éd. Cerf).
La plupart du temps, on boit pour passer un bon moment entre amis, fêter un diplôme, soutenir un chagrin, oublier ses soucis, accompagner un bon plat... Mais que se passe-t-il lorsqu’on boit parce qu’on ne peut plus s’en passer ? Encore tabou en France, la dépendance à l’alcool concerne 8% de la population adulte, soit près de 4 à 5 millions de personnes. L’alcoolisme est une maladie souvent mal comprise, y compris par les médecins généralistes. Pour mieux comprendre la souffrance des personnes malades de l’alcool et celles de leurs soignants, Anne-Laure Drouard Chanel reçoit le Docteur Jean-Pierre Aubert, médecin généraliste, auteur de "Histoires d'alcool - Peut-on en parler à son médecin ?" (éd. Cerf).
Nous n'avons pas tous les mêmes capacités de résilience, c'est-à-dire les mêmes aptitudes à nous relever après un choc. De multiples facteurs entrent en jeu, mais le psychiatre Emmanuel Contamin, spécialiste de la thérapie des troubles post-traumatiques, et auteur de "Les 5 cercles de la résilience" (éd. Larousse), insiste sur la flexibilité mentale.
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