Ce sont les arts plastiques dans la principauté de Liège et les pays voisins, qui sont évoqués dans l'émission "D'art et d'histoire de Liège". L'historien de l'art Pierre-Yves Kairis passe en revue, avec ou sans invités, des oeuvres d'art ou des artistes, souvent peu connus, du passé principautaire.
L'histoire de l'art étant toujours en marche, l'accent est mis sur les apports récents à la connaissance du passé artistique de la région liégeoise au Moyen Age et aux Temps modernes, avec quelques réflexions méthodologiques.
La sculpture, l'orfèvrerie, les décors, le vitrail, le mobilier, l'enluminure, la peinture murale, la gravure et surtout la peinture seront abordés chaque semaine dans des séquences d'une demi-heure diffusées le jeudi de 16h à 16h30 sur RCF Liège.
Né à Liège le 8 août 1931, Pierre Colman a travaillé initialement aux ACL (devenu l’IRPA) à l’issue de sa licence en histoire de l’art à l’Université de Liège. Après son doctorat sur l’orfèvrerie religieuse liégeoise, il a rejoint le corps académique de l’ULg, où il a enseigné l’histoire de l’art des Temps modernes pendant une trentaine d’années. Par son approche hyper-critique, il a profondément marqué de nombreuses générations d’étudiants.
Au cours de quatre séquences, il nous raconte son parcours, son enseignement et ses recherches dans le domaine de l’art liégeois.
À l’occasion de la diffusion des émissions que lui consacre RCF Liège, l’Institut royal du Patrimoine artistique vient de mettre en ligne son ultime publication : un répertoire des poinçons d’orfèvres liégeois qui ravira les chercheurs dans le domaine.
Né à Liège le 8 août 1931, Pierre Colman a travaillé initialement aux ACL (devenu l’IRPA) à l’issue de sa licence en histoire de l’art à l’Université de Liège. Après son doctorat sur l’orfèvrerie religieuse liégeoise, il a rejoint le corps académique de l’ULg, où il a enseigné l’histoire de l’art des Temps modernes pendant une trentaine d’années.
Par son approche hyper-critique, il a profondément marqué de nombreuses générations d’étudiants.
Au cours de quatre séquences, il nous raconte son parcours, son enseignement et ses recherches dans le domaine de l’art liégeois.
À l’occasion de la diffusion des émissions que lui consacre RCF Liège, l’Institut royal du Patrimoine artistique vient de mettre en ligne son ultime publication : un répertoire des poinçons d’orfèvres liégeois qui ravira les chercheurs dans le domaine.
Né à Liège le 8 août 1931, Pierre Colman a travaillé initialement aux ACL (devenu l’IRPA) à l’issue de sa licence en histoire de l’art à l’Université de Liège. Après son doctorat sur l’orfèvrerie religieuse liégeoise, il a rejoint le corps académique de l’ULg, où il a enseigné l’histoire de l’art des Temps modernes pendant une trentaine d’années. Par son approche hyper-critique, il a profondément marqué de nombreuses générations d’étudiants.
Au cours de quatre séquences, il nous raconte son parcours, son enseignement et ses recherches dans le domaine de l’art liégeois.
À l’occasion de la diffusion des émissions que lui consacre RCF Liège, l’Institut royal du Patrimoine artistique vient de mettre en ligne son ultime publication : un répertoire des poinçons d’orfèvres liégeois qui ravira les chercheurs dans le domaine.
Né à Liège le 8 août 1931, Pierre Colman a travaillé initialement aux ACL (devenu l’IRPA) à l’issue de sa licence en histoire de l’art à l’Université de Liège. Après son doctorat sur l’orfèvrerie religieuse liégeoise, il a rejoint le corps académique de l’ULg, où il a enseigné l’histoire de l’art des Temps modernes pendant une trentaine d’années. Par son approche hyper-critique, il a profondément marqué de nombreuses générations d’étudiants.
Au cours de quatre séquences, il nous raconte son parcours, son enseignement et ses recherches dans le domaine de l’art liégeois.
À l’occasion de la diffusion des émissions que lui consacre RCF Liège, l’Institut royal du Patrimoine artistique vient de mettre en ligne son ultime publication : un répertoire des poinçons d’orfèvres liégeois qui ravira les chercheurs dans le domaine.
En Belgique, on classe des monuments depuis une centaine d’années, mais on ne classe des objets que depuis 2010.
À ce jour, 229 biens culturels mobiliers ont été érigés au titre de « trésor national » dans la partie francophone du pays ou plutôt, comme on dit chez nous, de « trésor de la Communauté française », ce qui renforce opportunément leur protection en raison de leur valeur exceptionnelle.
Près d’un quart de ces biens relèvent des arts plastiques de la principauté de Liège (Xe-XVIIIe siècle), thème de cette émission. Comme ils sont issus d’une principauté épiscopale, on ne s’étonnera pas d’y retrouver une large majorité de pièces à thématique religieuse.
Au cours de cette séquence un peu particulière, M. Claude Vandewattyne et Mme Géraldine Jaffré, attachés à la Direction du Patrimoine culturel de la CF-FWB, nous expliquent les modalités de ces classements ainsi que les bases légales de la protection du patrimoine mobilier : les décrets communautaires du 11 juillet 2002 et du 17 mars 2022.
Partons à la découverte du Diptyque Palude. Ces deux petits panneaux du Grand Curtius figurent parmi les rares témoins de la peinture du XVe siècle au pays de Liège. Après 1489, ils seront attribué au peintre maestrichtois Jan van Bruessel ou à son atelier.
Deux ensembles de peintures murales du XV e siècle, aussi exceptionnels que méconnus, ont récemment fait l’objet d’une enquête interdisciplinaire exemplaire : il s’agit des peintures de la voûte de la chapelle du château de Ponthoz et des peintures du chœur et des nefs de l’église Saint-Lambert de Bois-et-Borsu. Ces deux décors peuvent être attribués à un même maître, par ailleurs miniaturiste. Ce travail nous est présenté par la coordinatrice de cette étude, Mme Ilona Hans-Collas, docteur en histoire de l’art de l’Université de Strasbourg et spécialiste reconnue de l’étude des peintures murales de nos régions.
Quoique le concept continue à évoluer, l’art mosan se rapporte aux productions artistiques du Moyen Âge dans le très vaste diocèse de Liège. Nous évoquons cette semaine l’âge d’or de la miniature mosane, le XII e siècle, en compagnie d’Aleuna Macarenko, jeune docteur en histoire de l’art qui a récemment consacré une thèse de doctorat au groupe de manuscrits dit de Floreffe-Averbode.
L’entretien se poursuit avec Isabelle Lecocq sur les principales verrières de la Renaissance au pays de Liège. Dans la seconde moitié du XVI e siècle, l’italianisme, de la Haute Renaissance désormais, s’affirme, comme on peut en juger à Liège même, dans les verrières du chœur de Saint-Paul, du transept de Saint-Martin ou dans celles qui ornaient jusqu’il y a peu l’église paroissiale Saint-Servais.
Dinant, bonne ville de la principauté de Liège et ville hanséatique, fut un carrefour européen de premier plan dans le commerce du marbre. La dynastie Tabaguet représenta l’une des plus importantes familles de marbriers dinantais, elle commerça avec toute l’Europe et fournit des marbres noirs ou jaspés pour maints monuments prestigieux. Elle nous est présentée par M. Francis Tourneur, docteur en géologie de l’UCL, géologue au Service de Géologie de Wallonie, chargé de cours à la Faculté d’Architecture de l’ULg et professeur invité au Centre Raymond Lemaire de la KUL.
Lors de l’invasion des Pays-Bas autrichiens et de la principauté de Liège en 1794, les troupes révolutionnaires françaises étaient accompagnées de commissaires chargés de prélever, dans les églises et couvents essentiellement, des dizaines de chefs-d’œuvre de la peinture dite flamande afin de compléter les collections du jeune Muséum central des Arts, futur Musée de Louvre. Pour Liège, ces commissaires se sont appuyés sur les choix de leur représentant local, le peintre Léonard Defrance, un acharné de l’envoi des chefs-d’œuvre de l’art liégeois à Paris.
Depuis un demi-siècle s’est progressivement établi un étonnant corpus de pièces du XIVe siècle sculptées en marbre de Carrare et apparemment d’origine liégeoise. À telle enseigne que ces sculptures furent bientôt attribuées à un maître au nom de convention : le Maître des
Madones mosanes en marbre. Les études récentes tendent à indiquer que, derrière les quelques dizaines de pièces conservées, se cachent en réalité plusieurs ateliers éminents. Nous en parlons aujourd’hui avec M. Benoît Van den Bossche, professeur d’histoire de l’art du Moyen Âge à l’Université de Liège.
La serrurerie monumentale renvoie au travail du fer forgé dans sa notion de clôture. Elle s’applique donc aux grilles, aux garde-corps et aux rampes d’escalier. Bénéficiant d’une longue tradition du travail du métal, les serruriers liégeois du XVIII e siècle ont développé une grande pratique, inscrite dans le développement des styles caractéristiques du siècle. La question est abordée avec le grand spécialiste du sujet qu’est M. Bernard Wodon, docteur en histoire de l’art de l’Université catholique de Louvain qui a longtemps enseigné à l’IHECS à Bruxelles et à la section d’histoire de l’art de l’Université de Liège.
Abordons un nouveau pan d'histoire de l'art liégeois celui du collectionnisme,
au travers de la personnalité du plus important collectionneur de peintures et mécène à Liège au XVIIe siècle : le chanoine Lambert de Liverlo (1621-1693).
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