Tempo · Le podcast d'actualité de RCF Lyon RCF - page 11

Le 15 avril 2019, Notre-Dame de Paris en flamme, et beaucoup de dégâts : la flèche, la charpente, l’intérieur de la cathédrale sont gravement endommagés par l’incendie. Depuis, artisans, architectes, ébénistes, vitraillistes fourmillent dans le chantier avec l’objectif de rouvrir la cathédrale le 8 décembre 2024. Parmi toutes ces forces vives au chevet du monument, un atelier du Rhône prend part à l’effort national : l’atelier Vitrail-Saint-Georges, à Saint-Genis-les-Ollières.

Vitrail-Saint-Georges fait partie des 8 ateliers et groupements de maîtres-verriers et serruriers d’art attributaires des travaux de nettoyage et de restauration des vitraux. Un atelier désigné après appel d’offres émis par l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, sur la base des études réalisées notamment par les architectes en chef des monuments historiques, les maîtres d’œuvre.

Dans cet épisode :
- Jean Mône, directeur de l'atelier Vitrail-Saint-Georges
- Rémi Perrin, maître verrier et chef d'atelier
- Annick Louradour, maître verrier

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Pour sa 7e édition, le festival Arta Sacra investit Vaulx-en-Velin mais aussi cette année Jonage, Décines-Charpieu et Meyzieu. Au programme : spectacles, conférences, contes musicaux, ateliers de calligraphie, tout est gratuit. L'invité de Tempo est le coordinateur du festival, Saïd Kebbouche.

Ils viennent du Burkina Faso, du Bénin ou encore du Sénégal mais aussi de Pologne ou de Belgique. Les prêtres étrangers viennent prêter main forte à des paroisses en souffrance, souvent en ruralité. Aujourd'hui, 1 prêtre sur dix vient d’un autre pays dans le diocèse de Lyon. Un chiffre amené à grossir à l’avenir.

Prêtres étudiants, "fidei donum" ou religieux et aumôniers membres d'une congrégation religieuse : crise des vocations en France, contexte géopolitique compliqué dans certains pays d'Afrique sahélienne, on analyse dans cet épisode de Tempo les raisons de leur venue, leurs profils et leurs missions.

Dans cet épisode :
- le père Michel Clémencin, chef du service de coopération missionnaire du diocèse de Lyon
- le père Matthieu Thouvenot, vicaire général du diocèse de Lyon
- le père Dieudonné Baloitcha, curé de la paroisse Sainte Joséphine Bakhita de Vaulx-en-Velin

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Un ciné-concert « Kaamelott : premier volet » en tournée dans toute la France jusqu'à la fin de l'année : ce samedi 23 septembre, ce spectacle hors les murs de l'ONL passera à la Halle Tony Garnier, à Lyon. L'événement devrait rassembler des milliers de fans. Une communauté omniprésente sur internet, très fidèle et nombreuse depuis presque 20 ans.

« Le gras, c'est la vie », « on en a gros », « c'est pas faux », des répliques devenues culte que vous connaissez peut-être. Ces punchlines sont tout droit venues d'une série télévisée française née dans les années 2000 : Kaamelott. La série s'inspire de la légende du Roi Arthur et des chevaliers de la Table Ronde. Elle naît en 2003 dans l'esprit du Lyonnais Alexandre Astier. Diffusée à l'origine sur M6 à partir de janvier 2005, son ton humoristique, parfois dramatique mais toujours décalé, va vite séduire le public. Rapidement, une communauté de fans très fidèle et nombreuse se forme autour de Kaamelott.

Dans cet épisode :
- Yann Fillon, Roannais co-administrateur de la page Facebook « Kaamelott, ma religion »
- David Peyron, sociologue de l'art et de la culture, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université d’Aix-Marseille

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En ce mois de rentrée littéraire, la concurrence fait rage parmi les maisons d'édition. Si les grands prix sont trustés par les grandes maisons parisiennes, de plus petits éditeurs indépendants existent notamment à Lyon, où l'on dénombre une cinquantaine d'entre eux. De quelle manière ? La réponse dans Tempo.

Dans cet épisode :
- Stéphane Perraud, cofondateur de la maison d’édition Les Crocos
- Guillaume de Uffrédi, fondateur de la maison d’édition Les Passionnés de Bouquins et président du collectif Les Éditeurs Solidaires
- Catherine Foulsham, fondatrice de la maison d’édition Atelier les Éclaireurs

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Au mois de septembre, Bourgogne, Beaujolais, Côte Roannaise et vallée du Rhône vivent au rythme des vendanges. Des vignobles du nord au sud de notre territoire. Zoom sur deux projets originaux autour de la vigne qui sont comme un retour aux sources pour les vignerons qui en sont à l'origine.

À Vienne, Stéphane Ogier et Pierre-Jean Villa, deux viticulteurs du vignoble de Côte-Rôtie, se sont lancé le défi de planter un demi hectare de vigne, entre la chapelle de Pipet et le théâtre antique, où se déroule chaque été le festival Jazz à Vienne. Sur ce petit terrain en forte pente, une vigne était plantée jusque dans les années 1920-1930. Et l’on se plait à imaginer que les Romains y cueillaient aussi des raisins voilà deux-mille ans. Les 3 500 pieds plantés au printemps 2020 sont vendangés pour la première fois cette année. La récolte devrait permettre de commercialiser quelques centaines de bouteilles du Domaine de Pipet.

Soixante-dix kilomètres plus au nord, nous sommes à Saint-Lager, au pied du mont Brouilly qui a donné son nom à l’un des dix crus du Beaujolais. Là-bas, les vignerons réunis dans l’Espace Brouilly, ont eu l’idée de créer un espace de découverte des espèces de vigne : Le Clos Vitis.
Inauguré en octobre 2021, les viticulteurs y ont planté une quarantaine d’espèces de Vitis, provenant de plusieurs continents.

Dans cet épisode :
- Stéphane Ogier, viticulteur à Ampuis, qui a planté la vigne de Pipet
- Franck Tavian, viticulteur à Cercié et président de l’Espace des Brouilly - Clos Vitis

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Bouchon lyonnais, visite patrimoniale, passage par la passerelle sous le toit : la plus connue des salles de concert lyonnaises ouvre ses portes le temps d'un week-end pour les Journées européennes du Patrimoine. Passage en revue des animations avec Thierry Pilat, directeur général de la Halle Tony Garnier.

Un mastodonte doté de 64 cloches, caché dans la tour de guet, le beffroi, côté place des Terreaux. Le Carillon de l'Hôtel de Ville de Lyon est le deuxième plus grand de France après celui de Chambéry, grand par sa taille et son histoire.

Comme tous les ans, pour les Journées Européennes du Patrimoine, l'Hôtel de Ville de Lyon ouvre ses portes pour profiter d'un concert et d'une rencontre avec le maître-carillonneur ; pour autant, impossible de visiter le carillon.

Plongée exceptionnelle dans cet instrument pas comme les autres.

Dans cet épisode :
- Jean-Bernard Lemoine, ancien carillonneur
- Charles Dairay, actuel maître carillonneur

Trois jours pour savoir qui seront les champions parmi les 69 métiers représentés. La compétition française des WorldSkills pose ses valises à Lyon du 14 au 16 septembre. 800 jeunes compétiteurs vont s'affronter à Eurexpo Lyon. L'édition 2023 représente la première étape avant la compétition mondiale des WorldSkills qui aura lieu en septembre 2024, aussi à Eurexpo Lyon. Avant le début de la compétition, on vous emmène dans les coulisses de l'entrainement.

Avant le début de la compétition, Corentin Dubois vous emmène dans les coulisses de l'entrainement : Pauline Laurent, maroquinière de 22 ans formée chez les Compagnons du devoir, s'entraine depuis plusieurs mois. La jeune créatrice a été accompagnée tout au long de sa préparation par une coach qu'elle a choisie : Camille Berthezene, 10 ans d'expérience dans la maroquinerie, a notamment travaillé pour Hermès.

Dans cet épisode :
- Pauline Laurent, compétitrice aux WorldSkills France
- Camille Berthezene, sa coach en maroquinerie
- Sophie Cruz, présidente d'Auvergne-Rhône-Alpes Orientation et conseillère régionale

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Cet été, une dizaine de cours d’école à Lyon et à Villeurbanne a été dé-bitumée. Plantation d’arbres, désimperméabilisation des sols, installation d’enrobés clairs, un souffle d’air frais qui sonne la fin de la récré bétonnée. Mais derrière ce changement à l’apparence légère se cache un chantier complexe et qui prend du temps. À Lyon, il a pris du retard au démarrage.

C’est une photo que l’on a vu accompagner de nombreux articles de presse à l'été 2023. Des pelleteuses dans des cours d’école pour enlever du béton et le remplacer par du bois, de la terre, des végétaux. Finies, les cours d’école en béton, ombragées par d’incontournables platanes, meilleure recette pour la création d'îlots de chaleur en mai, juin et septembre. Des fournaises pour nos enfants.

Rafraîchir ces lieux de vie devient urgent pour leur bien-être, mais aussi pour les sols eux-mêmes, en les rendant perméables pour laisser passer les eaux de pluie et réduire les effets du dérèglement climatique.

Dans cet épisode :
- Vanessa Villeneuve, maître d’œuvre, travaille dans le service aménagement des espaces publics et naturels de Villeurbanne
- Samar Antoun, directrice de l’école maternelle Antonin Perrin à Villeurbanne
- Lucille Paulet travaille pour l’association Robins des Villes sur les projets de végétalisation des cours d’écoles du 7e et 8e arrondissement

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La Coupe du monde de rugby arrive en France jusqu’au 28 octobre : c'est la deuxième fois que notre pays accueille la compétition, après l’édition de 2007. La France, un véritable pays de rugby, avec de grands clubs : Toulouse, Bayonne, Clermont-Ferrand, Toulon... mais aussi Lyon, évidemment ! Cinq matchs sont programmés dans la capitale des Gaules, et la sélection néo-zélandaise a choisi d’installer son camp de base à Gerland, au Matmut Stadium, l'antre du Lou Rugby depuis 2017. Une implantation qui ne doit rien au hasard : même si le ballon ovale a souvent un accent du sud-ouest dans l’esprit collectif, notre territoire n’est pas en reste.

Plus de 7 000 licenciés, répartis dans une trentaine de clubs sur notre territoire rhodanien… Les chiffres paraissent bons, mais se trouvent finalement bien loin de l’engouement, par exemple, pour le football, où le district du Rhône compte près de 60 000 licenciés : dix fois moins donc pour le ballon ovale. Pour comprendre l’attachement d’un territoire pour un sport, Johan Fresse s’intéresse dans cet épisode à son histoire, son implantation et ses actions en région lyonnaise.

Dans cet épisode :
- René Piroird, membre de l’amicale des anciens du LOU Rugby, joueur dans les années 70
- Jacky Cadario, ex-président du club de 2000 à 2005, ex-joueur de l’équipe première de 1975 à 1985, co-président actuel de l’association du Lou
- Philippe Agostini, directeur de la formation au sein du club depuis 5 ans
- Bartholomé, étudiant de 18 ans à l'INSA, fraîchement débarqué au centre de formation du LOU
- Jérôme Allemane, président du club centenaire Stade Olympique De Givors

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Président de l'Olympique Lyonnais pendant 36 ans, entrepreneur à succès avec son entreprise Cegid, Jean-Michel Aulas a été choisi pour représenter les Lyonnais ce vendredi 8 septembre à Fourvière pour le renouvellement du Vœu des Échevins. Interview exclusive à quelques heures de l'événement au micro de RCF Lyon.

L'interview en version écrite est à lire sur rcf.fr ou sur l'application RCF.

C’est une tradition bien lyonnaise : la cérémonie de renouvellement du « Vœu des Échevins » a lieu vendredi 8 septembre 2023 en la basilique de Fourvière. Depuis 1643, Lyon et ses représentants remercient tous les 8 septembre la Vierge Marie d’avoir protégé la ville de la peste. Depuis, cette cérémonie mélangeant religion et politique s'est inscrite dans l'héritage lyonnais, ce qui la rend aussi inédite dans un pays laïc comme la France. À Fourvière, le maire de Lyon est donc invité à assister à une messe, ainsi qu'à y tenir un rôle à part entière, celui de remettre symboliquement un écu d'or à l'archevêque.

Mais, depuis 2020, Grégory Doucet, le maire de Lyon, refuse d’y participer au nom de la laïcité. Une décision qui a pu étonner, voire n’a pas été comprise par une part des catholiques lyonnais attachés à cette longue tradition. Invoquant le principe de laïcité, le maire décide de ne pas remettre l’écu et de ne pas entrer dans la basilique Notre-Dame de Fourvière, un lieu de culte. En revanche, depuis 2021, l'édile écologiste tient un discours ou participe à une table ronde à la sortie de la cérémonie.

L'absence du maire à Fourvière avait été présentée, il y a trois ans, comme une nouveauté. Pourtant, l'histoire nous montre que le maire de Lyon n’a pas toujours participé au Vœu des Échevins et que cette cérémonie témoigne des soubresauts de l’Histoire de France : de l'Ancien Régime à Gérard Collomb en passant par la Révolution française, Édouard Herriot et Louis Pradel, Charlotte Mongibeaux s'est plongée dans le passé pour mieux comprendre la polémique actuelle. Une Histoire loin d’être linéaire, souvent assez mal connue.

Dans cet épisode :
- Bernard Berthod, historien et conservateur du musée de Fourvière
- Georges Képénékian, maire de Lyon de 2017 à 2018

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La Biennale de la danse de Lyon est de retour ! Du 9 au 30 septembre, la 20e édition va essaimer dans toute la Métropole de Lyon, et notamment au Centre Chorégraphique National de Rillieux-la-Pape : parmi les 19 centres de ce type en France, il est l'un des seuls à être situé en plein cœur d’un quartier populaire. Une implantation qui fait du CCNR plus qu'un « simple » centre culturel : c’est aussi une institution sociale, vecteur de lien entre les habitants.

Lundi 28 août : nous avons la chance d'assister aux premiers mouvements de la nouvelle pièce du Centre Chorégraphique National de Rillieux-la-Pape, Silver Rosa, qui sera présentée pendant la Biennale. C’est la nouvelle création de Yuval Pick, directeur du CCNR et chorégraphe de la troupe. Ce jour de répétition, dans le studio de danse de la Velette, 10 danseurs s’échauffent et répètent le spectacle.

Dans cet épisode :
- « Les petits CP/CE2, c'est génial, il y un truc hyper spontané, libre » : Axel, danseur du CCNR issu de la première promotion de la jeune compagnie "YuPi"
- « Montrer ce qu'on fait, c'est permettre de faire comprendre que c'est sportif, physique » : Madoka Kobayashi, danseuse d’origine japonaise de la troupe de Yuval Pick
- « Souvent mes thèmes touchent la notion de collectif » : Yuval Pick, directeur et chorégraphe du CCNR
- « Par la danse, trouver un commun, trouver un dialogue » : Sharon Eskenazi, assistante de Yuval Pick au CCNR et présidente de l'association Danser Sans Frontières

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Voiture, transports en commun, vélo ou modes de ramassage alternatifs. En région lyonnaise, plusieurs centaines de milliers d’enfants sont de retour dans les salles de classe après les grandes vacances : mais concrètement, comment les accompagner sur le chemin de l'école ? Entre modes doux, sécurité et aspect pratique, on le point sur les mobilités scolaires.

Chaque enfant a ses habitudes : à pied, en voiture, à vélo ou en bus. En 2021, une étude de l’IFOP montre que la voiture, avec 31 % des trajets, représente encore le moyen numéro 1 des Français pour emmener leurs enfants à l’école. Mais à l’heure du réchauffement climatique et des problématiques écologiques, certaines familles font d’autres choix.

Dans cet épisode :
- Laure et son fils Roméo, scolarisé à l’école Jean Gerson du 5e arrondissement de Lyon, adeptes du vélo
- Tristan Debray, conseiller municipal à la Ville de Lyon, en charge de l'opération « Rue des Enfants »
- Laurent Duperray, parent coordinateur du groupe de pédibus de l'école d'Albigny-sur-Saône

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Adieu aux vacances, réveil difficile, cartable chargé : ce lundi 4 septembre, c'est jour de rentrée des classes pour les 630 000 élèves de l’Académie de Lyon. Une première journée classique, entre organisation des classes, présentation des professeurs et du programme. Focus dans ce premier épisode de Tempo sur les établissements hors contrat, ces écoles indépendantes qui ne signent pas de contrat avec l’Éducation nationale et sont libres d’établir leur programme scolaire : ces écoles sont de plus en plus nombreuses en France.

L'essor se confirme dans la région de Lyon. On compte pour cette rentrée de septembre dix nouvelles écoles hors contrat dans la métropole de Lyon et dans le Rhône : majoritairement des maternelles, des écoles primaires mais aussi quelques collèges. Le chiffre peut paraître bas, mais cache une véritable dynamique de fond, puisque le nombre d’écoles hors contrat en France a été multiplié par quatre depuis 10 ans (environ 500 établissements du genre en 2012 pour plus de 2 500 aujourd'hui, soit 100 000 élèves, selon le décompte de la Fondation pour l'école, qui accompagne les projets d’ouverture d’écoles depuis 25 ans).

Volonté de se rapprocher de la nature (forest school), importance de la bienveillance et de la communication non-violente dans la pédagogie, retour aux apprentissages traditionnels (dictée, méthode syllabique, analyse grammaticale) : les raisons poussant les parents à inscrire leurs enfants dans ces lieux d'éducation alternatifs sont multiples.

Dans cet épisode :
- Anne-Françoise de Saint-Albin, responsable du pôle développement et communication de la Fondation pour l'école
- Anne Durand, co-fondatrice du collège Déclic, ouvert en 2019 dans le 8e arrondissement de Lyon
- Nolwenn de Belloy : cette mère de famille lyonnaise, pour qui la foi dépasse le domaine du catéchisme, a inscrit son quatrième et dernier enfant en primaire hors contrat à Francheville, à l'école confessionnelle catholique Sainte-Jeanne d'Arc
- Anne Coffinier, principale porte-parole et défenseuse en France des écoles indépendante, fondatrice de l'association Créer son école
- Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de 2014 à 2017

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